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International

Le dépouillement des voix en Bolivie a commencé hier après la clôture du scrutin à la fin de la journée électorale à partir de laquelle le nouveau président du pays sera élu. Ce fut une journée calme où la participation était élevée, contrastant avec la tension vécue dans les jours qui ont précédé la date cruciale. À la fin de la journée, la présidente par intérim, Jeanine Áñez, a donné un message aux Boliviens. Elle a remercié d’avoir permis le développement d’élections calmement. De plus, elle a demandé à la population de faire preuve de patience pendant le décompte des voix. « Patience pour attendre les résultats sans générer de violence », a exhorté. Salvador Romero, président du Tribunal suprême électoral, a déclaré que les décomptes officiels pouvaient prendre jusqu’à cinq jours. La population espère que les élections ramèneront la nation à son avenir démocratique, car l’année dernière le pays a été plongé dans des affrontements politiques, ce qui s’est aggravé en raison de la paralysie de l’économie due à la pandémie du covid-19.

Le dépouillement des voix en Bolivie a commencé hier après la clôture du scrutin à la fin de la journée électorale à partir de laquelle le nouveau président du pays sera élu. Ce fut une journée calme où la participation était élevée, contrastant avec la tension vécue dans les jours qui ont précédé la date cruciale.

 

À la fin de la journée, la présidente par intérim, Jeanine Áñez, a donné un message aux Boliviens. Elle a remercié d’avoir permis le développement d’élections calmement. De plus, elle a demandé à la population de faire preuve de patience pendant le décompte des voix. « Patience pour attendre les résultats sans générer de violence », a exhorté.

 

Salvador Romero, président du Tribunal suprême électoral, a déclaré que les décomptes officiels pouvaient prendre jusqu’à cinq jours.

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La population espère que les élections ramèneront la nation à son avenir démocratique, car l’année dernière le pays a été plongé dans des affrontements politiques, ce qui s’est aggravé en raison de la paralysie de l’économie due à la pandémie du covid-19.

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International

Saint-Domingue : le bilan de l’effondrement d’une discothèque grimpe à 225 morts

Le nombre de victimes décédées suite à l’effondrement du toit d’une discothèque à Saint-Domingue, survenu mardi dernier, s’élève désormais à 225, ont annoncé les autorités sanitaires dominicaines ce samedi.

Le ministre de la Santé publique, Víctor Atallah, a communiqué ces chiffres aux médias. Jusqu’à hier, le bilan faisait état de 221 morts et 189 blessés.

Selon Atallah, quatre nouveaux décès ont été enregistrés dans des établissements de santé entre la nuit de vendredi et la matinée de ce samedi.

« Le nombre actuel de décès est de 225, mais ce chiffre pourrait encore augmenter, espérons que non », a déclaré le ministre lors d’une conférence de presse à l’Institut de Pathologie Médico-légale (IPF).

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Amérique centrale

Présence militaire américaine au Panama : accord sensible autour du canal

Le Panama autorisera la présence de troupes américaines dans des zones d’accès et adjacentes au canal interocéanique, selon un accord bilatéral diffusé ce jeudi par le gouvernement panaméen, qui précise qu’il ne s’agit pas de bases militaires.

La présence de troupes américaines reste un sujet sensible dans ce pays d’Amérique centrale, rappelant l’époque où les États-Unis disposaient d’un enclave avec des bases militaires, avant de restituer le canal au Panama en décembre 1999.

Selon l’accord signé par le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, et le ministre panaméen de la Sécurité, Frank Ábrego, les militaires et contractuels américains « pourront utiliser les emplacements autorisés, les installations et les zones désignées pour fournir de la formation, mener des actions humanitaires (…) et des exercices ».

L’accord, d’une durée initiale de trois ans renouvelable, stipule que les installations resteront la propriété de l’État panaméen et seront utilisées de manière conjointe avec les forces de sécurité des deux pays.

Mercredi, Hegseth avait déclaré lors d’une conférence de presse à Panama que les exercices conjoints de défense représentaient « une opportunité de faire revivre » une « base militaire » opérée par des troupes américaines, des propos qui ont suscité de vives réactions.

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« Nous ne pouvons accepter ni bases militaires ni sites de défense », a réagi Ábrego lors de la même conférence.

Depuis son retour au pouvoir en janvier dernier, le président Donald Trump a menacé de « récupérer » le canal de Panama, construit par les États-Unis, en affirmant qu’il se trouve désormais sous influence chinoise.

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International

Le Nicaragua rejette la déclaration finale du sommet de la Celac : « Aucun consensus »

Le Nicaragua a dénoncé ce jeudi l’absence de consensus autour de la déclaration finale de la IXe Sommet des chefs d’État et de gouvernement de la Communauté des États latino-américains et caribéens (Celac), tenue mercredi au Honduras, a indiqué le ministère des Affaires étrangères à Managua. L’Argentine et le Paraguay ont exprimé des réserves similaires.

« Une déclaration de ce Sommet devrait aborder les graves conséquences des politiques tarifaires décrétées par les États-Unis contre le monde, et convenir d’actions et de mesures communes pour faire face à leurs effets », a déclaré le ministre nicaraguayen des Affaires étrangères, Valdrack Jaentschke, qui représentait son pays lors de cette réunion.

Il a ajouté : « Une déclaration de la Celac doit inclure un message de solidarité envers les sœurs et frères qui ont dû émigrer hors de leurs pays, et exiger un traitement digne pour ceux qui sont renvoyés dans leurs patries. »

Le message officiel, intitulé « Le Nicaragua à la Celac : Il n’y avait pas, et il n’y a pas de consensus », critique le document final connu sous le nom de Déclaration de Tegucigalpa, adopté mercredi à l’issue du sommet, auquel les coprésidents nicaraguayens Daniel Ortega et Rosario Murillo n’ont pas assisté.

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