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International

Blinken et Lavrov à la réunion de l’OSCE à Stockholm la semaine prochaine

AFP

Les chefs de la diplomatie américaine Antony Blinken et russe Sergueï Lavrov seront présents à la réunion des ministres de l’OSCE en fin de semaine prochaine à Stockholm, a annoncé vendredi la présidence suédoise de l’organisation.

C’est la première fois depuis 2017 que les ministres américains et russe seront présents ensemble à la réunion annuelle des ministres, a souligné leur homologue suédoise Ann Linde lors d’un point presse.

L’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, rare forum international dont les Etats-Unis et la Russie soient tous les deux membres, s’efforce de jouer un rôle accru depuis l’invasion de la Crimée en 2014 et le rebond des tensions Est-Ouest.

Parmi plusieurs déclarations, la Suède va soumettre à l’OSCE un texte sur l’Ukraine qui selon toute vraisemblance va être bloqué par Moscou, notamment parce qu’il affirme que la Crimée est en Ukraine.

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La réunion des 2 et 3 décembre intervient dans un contexte de tensions à la frontière entre l’Ukraine et la Russie, où Kiev et l’Occident redoutent une offensive de Moscou.

« Nous devons toujours avoir les yeux ouverts, mais il n’y a pas de signe selon laquelle la Russie ne va pas tenir ses engagements », a affirmé Mme Linde, qui a rencontré M. Lavrov à Moscou la semaine dernière.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assuré vendredi que son pays était « entièrement préparé » à une éventuelle escalade militaire avec Moscou, accusé d’avoir déployé de nouvelles troupes près des frontières ukrainiennes.

Le dossier des migrants à la frontière du Bélarus et de l’Union européenne doit également être évoqué la semaine prochaine.

Au total, une cinquantaine de ministres sont annoncés, dont la Britannique Liz Truss et les chefs de la diplomatie ukrainienne et bélarusse, selon Stockholm.

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Organisée dans un centre de conférence près de l’aéroport de Stockholm Arlanda, la réunion devrait pouvoir avoir lieu dans le format prévu, déjà relativement réduit, malgré le rebond du Covid-19 et l’apparition d’un nouveau variant problématique depuis l’Afrique du Sud. 

La Suède, qui assure en 2021 la présidence tournante de l’OSCE, doit passer le relais à la Pologne pour 2022.

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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