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International

Poutine et Modi discuteront lundi de l’énergie et de la défense (Kremlin)

AFP

Les thèmes de l’énergie et de la défense domineront les discussions prévues lundi à New Delhi entre le Premier ministre indien Narendra Modi et le président russe Vladimir Poutine, a indiqué vendredi le Kremlin.

Il s’agira pour M. Poutine de son unique déplacement à l’étranger depuis le début de la pandémie de coronavirus, hormis un sommet en Suisse en juin avec son homologue américain Joe Biden.

« Nous attachons beaucoup d’importance au renforcement de nos relations avec l’Inde », un partenaire « stratégique privilégié », a assuré à la presse le conseiller du Kremlin Iouri Ouchakov.

Selon lui, cette rencontre — la première depuis novembre 2019 entre les deux hommes — vise à renforcer la coopération dans le domaine énergétique et celui de la défense, sans pour autant donner davantage de détails.

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Alors que l’arrivée de M. Poutine dans la capitale indienne est attendue dans la soirée lundi, une réunion d’une commission russo-indienne sur la coopération militaire aura lieu à New Delhi dans la matinée, en présence du ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou et de son homologue indien, a encore précisé M. Ouchakov.

Cette réunion sera suivie d’une rencontre en format 2+2 entre les chefs de la diplomatie et de la défense des deux pays, qui précèdera également les discussions entre les dirigeants russe et indien, a-t-il indiqué.

La Russie a commencé cette année la livraison à l’Inde de systèmes de défense anti-aérienne dernier cri S-400, au grand dam de Washington, qui n’a pas exclu d’adopter des sanctions envers New Delhi en représailles.

La première unité doit être livrée à l’Inde d’ici la fin de l’année, selon le Service fédéral russe pour la coopération militaire et technique.

Le patron du géant pétrolier Rosneft, Igor Setchine, devrait également se rendre en Inde en marge de la visite de M. Poutine pour prendre part aux discussions sur l’énergie.

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Après les pourparlers avec leurs délégations, MM. Poutine et Modi se retrouveront pour un déjeuner en tête-à-tête, a ajouté M. Ouchakov, saluant un format propice à l’évocation des « sujets les plus sensibles ».

Une dizaine d’accords « très importants » doivent être signés lors de cette visite, selon le conseiller.

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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