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International

Argentine: nouveau record de cas Covid mais assouplissement des isolements

AFP

L’Argentine a enregistré mardi un nouveau record de contaminations au Covid-19 en 24 heures mais a néanmoins allégé l’isolement pour les cas contact vaccinés trois fois pour ménager les « services essentiels », évoquant un « changement de paradigme ».

Selon le bilan ministériel quotidien, 134.439 nouveaux cas ont été recensés soit 34.000 de plus que le précédent record qui datait de vendredi. Et 26 fois plus que les chiffres qui prévalaient encore mi-décembre (environ 5.000).

Pour autant, les décès (50 en 24 heures) restent eux dans une moyenne stable sans aucune commune mesure avec l’explosion des nouveaux cas. Ni surtout avec les décès quotidiens, autour de 500, recensés fin mai, aux temps les plus dramatiques de la pandémie en Argentine.

Le gouvernement a annoncé mardi un degré supplémentaire d’assouplissement de l’isolement : les cas contact avec 3e dose « depuis plus de 14 jours et ne présentant pas de symptômes » seront exempts d’isolement, a-t-il annoncé. Jusqu’à présent, ces profils devaient s’isoler cinq jours.

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Les cas contacts avec un schéma vaccinal à deux doses depuis cinq mois ou moins et eux aussi asymptomatiques pourront  réduire l’isolement strict à condition de réaliser un test entre les 3e et 5e jours. Pour les non-vaccinés, l’isolement de dix jours reste obligatoire.

Ce cadre est « une recommandation », à adapter en fonction des provinces, qui ont « des situation différentes », a souligné la ministre de la Santé Carla Vizzotti.

Ce nouvel allègement –il y a deux semaines la quarantaine des positifs était passée de 10 à 7 jours– « est une adaptation à une nouvelle étape, totalement différente », du virus, a expliqué Mme Vizzotti. Elle intègre « un écart persistant entre le nombre élevé de cas et le nombre d’hospitalisations et de décès », qui reste modéré.

Il s’agit d’éviter aussi l’impact « très important » des confinements et donc de l’absentéisme « sur le système de santé et sur les services essentiels, transports aériens, pompiers, police, sécurité, énergie, et le secteur privé ».

« Ce que nous faisons, c’est donner beaucoup de valeur à la vaccination, en particulier la dose de rappel », a souligné Mme Vizzotti. Plus que le taux d’occupation des unités de soins intensifs (40%) « ce que nous préoccupe est l’absentéisme au travail ».

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Elle a cité les exemples de l’Uruguay et de « l’Espagne (qui) s’avance vers un changement de paradigme encore plus important qui consiste à considérer (le Covid) comme une endémie ».

Quelque 74% des 45 millions d’Argentins ont reçu deux doses de vaccin, et 17,3% une dose de rappel.

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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