Connect with us

Amérique centrale

Nicaragua: Ortega veut accueillir des troupes russes et américaines

AFP

Le président du Nicaragua Daniel Ortega a demandé au Parlement de ratifier un décret autorisant l’entrée de troupes étrangères, notamment russes et américaines, pour effectuer des exercices conjoints d’assistance humanitaire et de lutte contre le trafic de drogues.

Ce décret présidentiel a été transmis cette semaine « en urgence » au Parlement, contrôlé par des soutiens du chef de l’Etat, et a été inscrit à l’ordre du jour de mardi, selon l’agenda législatif publié samedi par le journal officiel du pays.

Ce texte porte sur du personnel militaire étranger ainsi que sur des navires et des aéronefs. Il autorise l’entrée « par roulements » de militaires russes pour participer avec des soldats nicaraguayens « à un échange d’expériences, à des entraînements de l’armée et à des opérations d’aide humanitaire ».

Et il prévoit également des exercices dans la marine et dans les airs pour lutter contre les narcotrafiquants et le crime organisé international. 

Advertisement
20250301_vacunacion_vph-728x90
20241211_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Des actions qui ont vocation à être aussi menées avec des troupes venues des Etats-Unis, du Mexique, de pays d’Amérique centrale, du Venezuela, de Cuba et de République dominicaine, précise le décret.

Le président sollicite aussi l’accord des parlementaires pour la sortie du territoire de militaires nicaraguayens pour aller dans ces mêmes pays.

La relation entre le Nicaragua et les Etats-Unis s’est crispée depuis que Washington a imposé des sanctions visant M. Ortega afin qu’il procède à des changements politiques et pour obtenir la libération de 182 membres de l’opposition parmi lesquels sept anciens candidats à la présidence.

Ces derniers ont été placés en détention avant l’élection de 2021, remportée par Daniel Ortega, 76 ans, qui a ainsi décroché son quatrième mandat consécutif.

Advertisement
20250301_vacunacion_vph-728x90
20241211_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow
Continue Reading
Advertisement
20250301_vacunacion_vph-300x250
20241211_mh_noexigencia_dui_300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

Amérique centrale

Nicaragua abandonne l’action contre Israël pour des raisons économiques, selon le gouvernement.

Le gouvernement du Nicaragua a annoncé ce samedi que son retrait de la procédure contre Israël pour génocide, entamée par l’Afrique du Sud devant la Cour internationale de justice (CIJ) de l’ONU, est dû au « coût financier élevé » que cela représenterait pour eux de poursuivre ce processus judiciaire.

« Cette décision est motivée par le coût financier élevé que représente pour un pays en développement, et soumis aux restrictions économiques que subit le Nicaragua, la poursuite de ces procédures judiciaires », a indiqué dans un communiqué le gouvernement sandiniste dirigé par Daniel Ortega et sa femme, Rosario Murillo.

Comme l’a annoncé la CIJ mercredi dernier, dans une demande datée du 1er avril, « le Nicaragua a informé la Cour de sa décision de retirer la demande d’autorisation d’intervenir » qu’il avait déposée le 23 janvier 2024, dans l’affaire concernant l’application de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide dans la bande de Gaza par l’Afrique du Sud contre Israël.

Dans sa demande, maintenant retirée, le Nicaragua affirmait avoir « des intérêts juridiques qui découlent des droits et obligations imposés » par la Convention à tous les pays signataires et, en particulier, de « l’universalité tant de la condamnation du génocide que de la coopération nécessaire ‘pour libérer l’humanité de ce fléau odieux' ».

Continue Reading

Amérique centrale

La présidente mexicaine confirme sa présence de deux heures à la IXe CELAC

La présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum, a confirmé ce vendredi qu’elle se rendra pour « environ deux heures » à la IXe Conférence de la Communauté des États Latino-Américains et Caribéens (CELAC), qui se tiendra le 9 avril au Honduras, après un appel téléphonique avec la présidente hondurienne, Xiomara Castro.

« Je vais participer à la CELAC le 9 avril, mais pour très peu de temps. Je ne pourrai pas rester toute la journée. Nous définissons encore l’horaire exact, mais je verrai si je peux être présente à l’inauguration. Je serai à Tegucigalpa environ deux heures », a déclaré Sheinbaum lors de sa conférence de presse matinale.

Ce sera son deuxième voyage à l’étranger depuis son entrée en fonction le 1er octobre, après sa participation au sommet du G20 en novembre à Rio de Janeiro, au Brésil.

Contrairement à ce déplacement, effectué en vol commercial avec une escale au Panama, elle utilisera cette fois un avion des Forces armées mexicaines, en raison du peu de temps dont elle dispose.

La cheffe de l’État mexicain, qui a promis de maintenir la politique de voyages internationaux limités de son prédécesseur, Andrés Manuel López Obrador (2018-2024), a exprimé son souhait d’accompagner Xiomara Castro et le président colombien Gustavo Petro, qui assumera la présidence tournante de la CELAC lors de cette rencontre.

Advertisement

20250301_vacunacion_vph-728x90
20241211_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL

previous arrow
next arrow

Continue Reading

Amérique centrale

Le départ de Ricardo Martinelli vers le Nicaragua toujours en suspens

Le départ de l’ex-président panaméen Ricardo Martinelli (2009-2014) vers son asile au Nicaragua reste incertain. Ce mercredi, l’un de ses avocats a déclaré qu’il ne s’attendait pas à un départ dans les prochaines heures, alors que le sauf-conduit accordé par le gouvernement panaméen expirera ce jeudi à minuit.

Martinelli, un magnat de 73 ans, s’est réfugié à l’ambassade du Nicaragua depuis plus d’un an pour éviter d’être incarcéré après avoir été condamné à plus de 10 ans de prison pour blanchiment d’argent. Son voyage vers le Nicaragua a été suspendu à la dernière minute lundi dernier.

Le gouvernement de Daniel Ortega et Rosario Murillo a déclaré dans un communiqué qu’il ne recevrait pas l’ex-président panaméen tant qu’une possible alerte rouge d’Interpol contre lui ne serait pas clarifiée. Les autorités panaméennes ont toutefois précisé que cette alerte n’existait pas, car elle était infondée.

« Nous attendons ce communiqué officiel du Nicaragua autorisant le voyage », a déclaré Alfredo Vallarino, l’un des avocats de l’ancien dirigeant, aux journalistes. Il a également rappelé que le sauf-conduit expirera « demain (jeudi) à minuit », après avoir été prolongé lundi dernier par le gouvernement panaméen.

Continue Reading

Trending

News Central