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International

Brésil : Lula participera au 1er débat de la campagne

AFP

L’ancien président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a confirmé samedi sa participation dimanche au premier débat de la campagne pour l’élection présidentielle d’octobre, après plusieurs jours d’incertitude quant à sa présence.

Son principal rival, le président Jair Bolsonaro, ne s’est pas encore prononcé sur sa participation.

« On se voit sur Band [le diffuseur Rede Bandeirantes] demain à 21H00 » (00H00 GMT lundi), a tweeté Lula samedi. 

Le débat, organisé par un groupe de médias brésiliens, dont Rede Bandeirantes et le journal Folha de Sao Paulo, est le premier prévu de la campagne de l’élection présidentielle du 2 octobre. 

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Le président Bolsonaro a fait savoir vendredi qu’il devrait être présent à ce débat, mais a précisé que la décision finale n’avait pas encore été prise. 

« Je dois y être dimanche. Je suis en train de décider », a déclaré vendredi M. Bolsonaro. « A un certain moment je pensais que je ne devais pas y aller, maintenant je pense que je devrais. Je vais me faire fusiller, ils vont me tirer dessus à longueur de temps (…) mais je pense que ma stratégie va fonctionner », a-t-il dit lors d’une interview à la radio Jovem Pan.

Interrogé par l’AFP samedi, les services de M. Bolsonaro n’ont pas précisé si sa présence était confirmée.

Les deux candidats ont été interviewés séparément cette semaine dans le journal télévisé du soir de TV Globo, premiers temps forts de la campagne qui a officiellement débuté le 16 août. Les analystes politiques ont estimé que Lula s’en était largement mieux sorti que M. Bolsonaro.

Lula mène la course dans les sondages avec 47% d’intentions de vote, contre 32% pour Jair Bolsonaro, selon l’institut Datafolha. D’autres sondages donnent une moindre avance à Lula.

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Outre les deux favoris, les organisateurs du débat ont invité quatre autres candidats, dont l’ancien ministre des Finances Ciro Gomes du PDT (centre-gauche) et la sénatrice Simone Tebet du MDB (centriste), troisième et quatrième dans les sondages.

En 2018, l’année où il a remporté l’élection, M. Bolsonaro n’a participé qu’aux deux premiers débats. Un mois avant le premier tour, il a été poignardé lors d’un meeting et après avoir subi une opération chirurgicale, n’a pas repris les débats.

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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