Connect with us

International

La fin de la pandémie en vue mais encore loin, nuance le chef de l’OMS

Photo: Jack Guez / AFP

AFP

Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé a affirmé jeudi que la fin de la pandémie de Covid-19 était certes en vue mais encore loin, modérant ainsi ses propos tenus la semaine dernière.

« Nous avons passé deux ans et demi dans un long et sombre tunnel, et nous commençons tout juste à entrevoir la lumière au bout de ce tunnel », a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d’une conférence de presse depuis New York, où il assiste à la réunion de l’Assemblée générale des Nations unies.

« Mais on en est encore loin, et le tunnel est encore sombre, avec de nombreux obstacles qui pourraient nous faire trébucher si nous ne faisons pas attention », a-t-il ajouté.

Les propos du Dr Tedros tranchent avec ceux du président américain Joe Biden, qui, lors d’une interview diffusée dimanche, a affirmé que la pandémie était « terminée » aux Etats-Unis.

Mais le Dr Tedros avait lui aussi adopté un ton plus optimiste la semaine dernière.

Advertisement
20240920_mh_amnistia_fiscal_728x90
20240813_lechematerna_728x91
20240701_vacunacion_728x90
20231124_etesal_728x90_1
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
20230816_dgs_728x90
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
CEL
previous arrow
next arrow

Il a tenté de s’en expliquer jeudi: « Lors des points de presse des deux dernières semaines, j’ai dit que la pandémie n’était pas terminée, mais que la fin était en vue » et « les deux sont vrais ». 

« Etre capable de voir la fin ne signifie pas que nous sommes au bout du chemin », a-t-il dit.

Interrogé sur les propos tenus par le président américain, la Dr Maria Van Kerkhove, responsable technique de la gestion de l’épidémie de Covid-19 à l’OMS, a souligné que l’objectif de l’organisation était de « mettre fin à cette urgence partout » tout en reconnaissant que la situation épidémiologique pouvait être différente selon les pays.

Selon le Dr Tedros, le nombre de décès signalés chaque semaine dans le monde continue de baisser et ne représente plus que 10% de ce qu’il était au pic de janvier 2021. En outre, dans la plupart des pays, les restrictions ont pris fin et les deux tiers de la population mondiale sont vaccinés, dont les trois quarts des agents de santé et des personnes âgées.

« Mais 10.000 décès par semaine, c’est 10.000 de trop », a-t-il dit.

Advertisement
20240920_mh_amnistia_fiscal_728x90
20240813_lechematerna_728x91
20240701_vacunacion_728x90
20231124_etesal_728x90_1
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
20230816_dgs_728x90
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
CEL
previous arrow
next arrow

« Nous avons tous besoin d’espérer que nous pouvons – et que nous allons – arriver au bout du tunnel et laisser la pandémie derrière nous. Mais nous n’y sommes pas encore », a-t-il assuré.

Selon les statistiques en ligne de l’OMS, la pandémie de Covid-19 a fait plus de 6,5 millions de morts dans le monde.

Continue Reading
Advertisement
20240920_mh_amnistia_fiscal_300x250
20240813_lechematerna_300x200_1
20240813_lechematerna_300x200_2
20240701_vacunacion_300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230816_dgs_300x250
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

International

Jorge Valdivia inculpé de viol une nouvelle fois en Chile, après sa libération récente

Le parquet chilien a inculpé jeudi l’ex-joueur de football Jorge Valdivia d’un nouveau chef d’accusation de viol, quelques jours seulement après sa libération de prison dans le cadre d’une autre accusation similaire.

Valdivia, âgé de 41 ans, est arrivé en silence au Huitième Tribunal de Santiago, accompagné de son avocate, Paula Vial, pour affronter l’audience de formalisation des charges relatives à la deuxième plainte de viol portée contre lui, laquelle devrait durer plusieurs heures.

Le parquet a indiqué qu’il présentera lors de cette séance les éléments de cette nouvelle plainte, déposée par une femme qui, à l’instar de l’autre affaire en cours, affirme que l’ex-footballeur l’a agressée après une rencontre entre eux.

Il a également précisé que le procureur en charge de l’affaire, Rodrigo Celis, devra à nouveau demander la détention préventive de Valdivia.

Continue Reading

International

Marco Rubio promet de redynamiser la politique américaine en Amérique latine sous un second mandat de Trump

Marco Rubio, d’origine cubaine et premier Hispano-américain nommé secrétaire d’État des États-Unis, promet de recentrer l’attention de Washington sur l’Amérique latine dans un second mandat de Donald Trump, à un moment critique marqué par la question migratoire et les investissements chinois dans la région.

La grande promesse de campagne du président élu est de réaliser la plus grande déportation de l’histoire du pays, ce qui laisse entendre que « l’Amérique latine jouera un rôle central dans la politique étrangère des États-Unis au cours des 30 dernières années », déclare Brian Winter, expert de l’organisation Americas Society.

À la tête de la diplomatie américaine, Rubio « apportera une attention considérable à une région que les États-Unis ont souvent négligée », ajoute Henry Ziemer, du Centre d’Études Stratégiques et Internationales (CSIS).

Considéré comme un « faucon » en politique étrangère, ce sénateur de Floride, né à Miami il y a 53 ans, s’est distingué par sa position ferme envers la Chine et l’Iran, ainsi que son soutien inébranlable à Israël.

Il a également accordé une grande attention à l’Amérique latine, soutenant fermement les sanctions contre Cuba, le Venezuela et le Nicaragua, tout en étant critique des gouvernements de gauche du Mexique et de la Colombie, et en soutenant l’Argentine de Javier Milei.

« Rubio voit la région à travers un prisme idéologique très marqué : il la divise entre les dirigeants de gauche et de droite, entre rivaux et alliés », explique Winter.

Continue Reading

International

Manifestations à Lima contre l’extorsion à l’occasion du sommet APEC

Des centaines de transporteurs et de commerçants ont manifesté ce mercredi à Lima pour exiger des mesures contre l’extorsion, un problème récurrent qu’ils souhaitent mettre en lumière lors du sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC), qui sera présidé par les présidents des États-Unis et de la Chine.

Les manifestations se poursuivront jusqu’à vendredi, date à laquelle s’ouvrira la réunion des dirigeants du Forum de Coopération économique Asie-Pacifique (APEC), qui réunit des responsables de 21 économies.

« Nos enfants meurent à cause de la violence et de l’extorsion ! Ça suffit ! », a déclaré à l’AFP Rosa Juárez, une commerçante de 66 ans.

Avec des boucliers, la police a bloqué le passage de la marche, sans faire état de blessés.

Dans des régions du Pérou telles que Junín, Cusco, Puno, Áncash et Arequipa, des marches et des brûlages de pneus ont également été signalés, selon les images des médias locaux.

À Lima, le gouvernement a déployé un contingent de 13 000 policiers pour garantir la sécurité de l’événement international.

« Dehors les troupes américaines du Pérou ! », ont crié quelques manifestants qui ont rejoint la protestation tout en brûlant un drapeau américain.

Sous une forte surveillance policière, le groupe de manifestants a tenté de se rapprocher du centre de congrès qui accueillera le sommet, où les présidents Joe Biden et Xi Jinping se rencontreront samedi.

Continue Reading

Trending

News Central