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International

Equateur: deux Néerlandais tués et douze blessés dans un accident de bus

AFP

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Deux ressortissants néerlandais sont morts et une douzaine d’autres ont été blessés dimanche lors d’une collision entre deux autobus dans le sud-est de l’Equateur, a-t-on appris lundi de sources concordantes. 

« Dimanche soir, deux Néerlandais sont morts dans un tragique accident de bus à Tena en Equateur », a tweeté le ministère des Affaires étrangères néerlandais.

« Les personnes décédées sont une femme âgée de 74 ans de Haarlem (ville située à l’ouest d’Amsterdam) et un homme âgé de 73 ans de Hilversum (au sud-est d’Amsterdam) », a précisé le ministère.

« Il y avait au total 21 Néerlandais dans le bus. Douze Néerlandais ont été blessés et transportés à l’hôpital. Ils voyageaient en groupe », toujours selon la même source.

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Un premier bilan des services de secours équatoriens faisait état d’une personne tuée. Deux blessés se trouvent dans un état critique, avait indiqué à la presse Fabian Chango, directeur de l’hôpital de la ville de Tena.

Au total, vingt personnes, dont 19 ressortissants néerlandais âgés de 41 à 75 ans et un Equatorien de 55 ans, ont été transportés à l’hôpital, selon les services de secours équatoriens.

Selon Hugo Amores, un officier de police, l’accident s’est produit sur la route entre Tena (à environ 1120 km au sud-est de la capitale Quito) et Baeza, dans la province de Napo, et le véhicule le plus gravement atteint est le bus transportant les touristes néerlandais. 

Les accidents de la circulation sont l’une des principales causes de mortalité en Equateur. 

En 2021, 2.131 décès ont été enregistrés dans le pays, contre un record annuel de 2.322 en 2014. Depuis le début de l’année, près de 1.500 personnes sont mortes dans des accidents de la circulation, selon l’Agence nationale des transports (ANT). 

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En juillet, un autocar s’est renversé dans la banlieue de Quito, faisant huit morts et 20 blessés. 

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Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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