Connect with us

International

Equateur: un ex-vice-président condamné pour corruption en liberté conditionnelle

Photo: Galo Paguay / AFP

| Par AFP |

L’ancien vice-président de l’Equateur Jorge Glas, incarcéré depuis 2017 pour corruption et détournement de fonds, a été libéré, bénéficiant de l’annulation mi-novembre d’une des trois affaires dans lesquelles il a été condamné.

Agé de 53 ans, M. Glas a quitté lundi sa prison dans le nord de Quito vers 19H20 heure locale (00H20 GMT), ont constaté des journalistes de l’AFP. L’organisme qui administre les prisons, le SNAI, a indiqué dans un dans un communiqué avoir « reçu l’autorisation de libération ».

Cette libération conditionnelle le contraint à se présenter chaque semaine devant une autorité judiciaire et lui interdit de quitter le pays.

Le 10 novembre, la Cour nationale de justice avait déclaré « la nullité procédurale de tous les actes depuis le dépôt de plainte devant le bureau du procureur général » en 2019 dans l’affaire dite « Singue » de détournement de fonds présumés dans le cadre d’un marché pétrolier.

Advertisement
20240920_mh_amnistia_fiscal_728x90
20240813_lechematerna_728x91
20240701_vacunacion_728x90
20231124_etesal_728x90_1
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
20230816_dgs_728x90
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
CEL
previous arrow
next arrow

Cette décision suspendait la peine de première instance de huit ans de prison à laquelle a été condamné en 2021 Jorge Glas, deux anciens ministres et quatre autres responsables du gouvernement de l’ex-président socialiste Rafael Correa (2007-2017).

Elle autorisait également la défense de l’ex-vice-président à formuler une demande de remise en liberté, ce dernier ayant purgé 40% de sa peine unifiée pour deux autres affaires de corruption.

L’ancien vice-président avait été condamné à six ans de détention pour avoir reçu des pots-de-vin de la part de l’entreprise de travaux public brésilienne Odebrecht.

Il avait ensuite écopé de huit ans de prison pour avoir exigé auprès d’entrepreneurs des subsides en échange de contrats publics, à l’issue d’un procès dans lequel l’ex-président Correa a également été condamné par contumace. M. Correa vit depuis 2017 en Belgique, pays de son épouse, où il a obtenu en avril le statut de réfugié.

C’est la deuxième fois que Glas bénéficie d’une libération conditionnelle. Il avait été temporairement libéré en avril pour raisons de santé mais la décision avait été par la suite révoquée.

Advertisement
20240920_mh_amnistia_fiscal_728x90
20240813_lechematerna_728x91
20240701_vacunacion_728x90
20231124_etesal_728x90_1
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
20230816_dgs_728x90
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
CEL
previous arrow
next arrow

International

Jorge Valdivia inculpé de viol une nouvelle fois en Chile, après sa libération récente

Le parquet chilien a inculpé jeudi l’ex-joueur de football Jorge Valdivia d’un nouveau chef d’accusation de viol, quelques jours seulement après sa libération de prison dans le cadre d’une autre accusation similaire.

Valdivia, âgé de 41 ans, est arrivé en silence au Huitième Tribunal de Santiago, accompagné de son avocate, Paula Vial, pour affronter l’audience de formalisation des charges relatives à la deuxième plainte de viol portée contre lui, laquelle devrait durer plusieurs heures.

Le parquet a indiqué qu’il présentera lors de cette séance les éléments de cette nouvelle plainte, déposée par une femme qui, à l’instar de l’autre affaire en cours, affirme que l’ex-footballeur l’a agressée après une rencontre entre eux.

Il a également précisé que le procureur en charge de l’affaire, Rodrigo Celis, devra à nouveau demander la détention préventive de Valdivia.

Continue Reading

International

Marco Rubio promet de redynamiser la politique américaine en Amérique latine sous un second mandat de Trump

Marco Rubio, d’origine cubaine et premier Hispano-américain nommé secrétaire d’État des États-Unis, promet de recentrer l’attention de Washington sur l’Amérique latine dans un second mandat de Donald Trump, à un moment critique marqué par la question migratoire et les investissements chinois dans la région.

La grande promesse de campagne du président élu est de réaliser la plus grande déportation de l’histoire du pays, ce qui laisse entendre que « l’Amérique latine jouera un rôle central dans la politique étrangère des États-Unis au cours des 30 dernières années », déclare Brian Winter, expert de l’organisation Americas Society.

À la tête de la diplomatie américaine, Rubio « apportera une attention considérable à une région que les États-Unis ont souvent négligée », ajoute Henry Ziemer, du Centre d’Études Stratégiques et Internationales (CSIS).

Considéré comme un « faucon » en politique étrangère, ce sénateur de Floride, né à Miami il y a 53 ans, s’est distingué par sa position ferme envers la Chine et l’Iran, ainsi que son soutien inébranlable à Israël.

Il a également accordé une grande attention à l’Amérique latine, soutenant fermement les sanctions contre Cuba, le Venezuela et le Nicaragua, tout en étant critique des gouvernements de gauche du Mexique et de la Colombie, et en soutenant l’Argentine de Javier Milei.

« Rubio voit la région à travers un prisme idéologique très marqué : il la divise entre les dirigeants de gauche et de droite, entre rivaux et alliés », explique Winter.

Continue Reading

International

Manifestations à Lima contre l’extorsion à l’occasion du sommet APEC

Des centaines de transporteurs et de commerçants ont manifesté ce mercredi à Lima pour exiger des mesures contre l’extorsion, un problème récurrent qu’ils souhaitent mettre en lumière lors du sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC), qui sera présidé par les présidents des États-Unis et de la Chine.

Les manifestations se poursuivront jusqu’à vendredi, date à laquelle s’ouvrira la réunion des dirigeants du Forum de Coopération économique Asie-Pacifique (APEC), qui réunit des responsables de 21 économies.

« Nos enfants meurent à cause de la violence et de l’extorsion ! Ça suffit ! », a déclaré à l’AFP Rosa Juárez, une commerçante de 66 ans.

Avec des boucliers, la police a bloqué le passage de la marche, sans faire état de blessés.

Dans des régions du Pérou telles que Junín, Cusco, Puno, Áncash et Arequipa, des marches et des brûlages de pneus ont également été signalés, selon les images des médias locaux.

À Lima, le gouvernement a déployé un contingent de 13 000 policiers pour garantir la sécurité de l’événement international.

« Dehors les troupes américaines du Pérou ! », ont crié quelques manifestants qui ont rejoint la protestation tout en brûlant un drapeau américain.

Sous une forte surveillance policière, le groupe de manifestants a tenté de se rapprocher du centre de congrès qui accueillera le sommet, où les présidents Joe Biden et Xi Jinping se rencontreront samedi.

Continue Reading

Trending

News Central