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International

Venezuela: l’ONU et Nicolas Maduro discutent droits humains

Photo: Federico PARRA / AFP

28 janvier | Par AFP |

Le Haut-Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU, Volker Türk et le président du Venezuela Nicolas Maduro se sont réunis vendredi pour parler de la situation des droits humains dans le pays, sur invitation de Caracas.

« Réunion fructueuse avec Volker Türk, Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, qui a aimablement accepté notre invitation au Venezuela. Nous avons ratifié notre engagement en faveur de la défense des droits de l’homme et la volonté d’avancer dans l’amélioration du système judiciaire », a déclaré M. Maduro sur Twitter, quelques minutes après la réunion qui s’est tenue à huis clos dans le palais présidentiel Miraflores.

M. Türk et sa délégation ont rencontré, depuis leur arrivée jeudi, des ONG, des représentants de la société civile et des victimes dénonçant « des violations systématiques ».   

Quatre-vingt-dix ONG ont appelé à « renforcer » le travail en faveur de la protection des droits humains.

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Il est « nécessaire d’élever nos voix, publiquement et au plus haut niveau (…) et de renforcer le travail commun pour prévenir et arrêter définitivement les graves violations qui continuent de se produire au Venezuela de manière systématique », ont-elles déclaré.

Le gouvernement se défend en pointant du doigt l’impact des sanctions économiques américaines, tout en insistant vouloir mener « un dialogue constructif ».  

L’ancienne présidente chilienne Michelle Bachelet, qui avait précédé Volker Türk, avait mis en place une commission au Venezuela en 2019 pour surveiller et aider la situation des droits humains dans le pays. 

Dans son dernier rapport avant de quitter ses fonctions, Mme Bachelet a déclaré avoir constaté des progrès en matière de droits au Venezuela, tout en soulignant qu’il y a encore « beaucoup à faire ».

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International

Ecuador: Noboa et González s’affrontent pour la présidence dans un second tour très serré

Le président Daniel Noboa et l’opposante de gauche Luisa González se disputeront un deuxième tour présidentiel très disputé ce dimanche en Équateur, un pays endetté, divisé et en proie à la violence du narcotrafic.

González, avocate de 47 ans, aspire à devenir la première présidente élue par les urnes. Noboa, un homme d’affaires millionnaire de 37 ans, espère gouverner encore quatre ans après avoir remporté les élections anticipées de 2023 par surprise.

Les dernières années ont été brutales pour cette nation de 18 millions d’habitants, traversée par des volcans et autrefois connue pour être un bastion de tranquillité dans une région agitée.

La violence alimentée par le narcotrafic a augmenté les meurtres, provoqué l’assassinat d’un candidat à la présidence, pris en otage des prisons par des bandes criminelles et attaqué une chaîne de télévision armée, alors que ses journalistes diffusaient en direct.

« Dans les informations, pure violence, fusillades, enlèvements, extorsions. On ne peut pas vivre ainsi et en plus ce qu’on gagne ne suffit pas », déclare à l’AFP Raquel García, 23 ans, sans emploi stable.

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Noboa et González ont presque égalisé lors du premier tour électoral, avec une différence de 0,17% en faveur du président. Pour le deuxième tour, les experts et les sondages prévoient une lutte de tous les instants pour chaque voix.

Cela a apporté beaucoup de tension et de nervosité pour ce second tour, a déclaré à Teleamazonas le chef adjoint de la mission d’observateurs de l’Union européenne, José Antonio de Gabriel.

Lors du premier tour, Noboa a dénoncé une fraude, bien que des organisations internationales aient rejeté ses accusations.

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Amérique centrale

Le président du Costa Rica accusé d’abus de pouvoir pour avoir favorisé un ancien collaborateur

Le Parquet du Costa Rica a accusé ce lundi le président Rodrigo Chaves de supposée abus de pouvoir pour avoir favorisé un ancien collaborateur avec des fonds provenant d’un contrat financé par des fonds internationaux, a indiqué l’institution dans un communiqué.

Cette accusation intervient au milieu d’un conflit entre les pouvoirs de l’État. Chaves accuse le Parquet, la Cour suprême de justice et le Congrès de freiner ses initiatives gouvernementales, tandis que les dirigeants de ces institutions lui reprochent des dérives autoritaires.

Chaves a été mis en cause par le procureur général Carlo Díaz, avec qui il entretient un affrontement ouvert, d’avoir contraint une entreprise de services de communication, engagée par la Présidence, à remettre 32 000 dollars à son ami et ancien conseiller en communication Federico Cruz.

Le Parquet attribue au président le crime de concusion, puni de deux à huit ans de prison pour les fonctionnaires qui obligent ou incitent à « donner ou promettre indûment, pour soi-même ou pour un tiers, un bien ou un avantage patrimonial ».

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International

Crise à la Cour suprême argentine : Milei essuie un double refus du Sénat

Le président argentin Javier Milei avait proposé Manuel García-Mansilla, ainsi que le juge fédéral Ariel Lijo, pour pourvoir deux postes vacants à la Cour suprême, composée de cinq membres, après le départ à la retraite de deux magistrats. Les deux candidatures nécessitaient une approbation du Sénat à la majorité qualifiée.

Alors que Lijo n’a jamais assumé ses fonctions, García-Mansilla occupait déjà le poste depuis février, à la suite d’un décret présidentiel de Milei, pris en raison du retard du Congrès à débattre des candidatures — une mesure qualifiée d’inconstitutionnelle par une large part de la classe politique et des experts en droit.

Jeudi, le Sénat a rejeté à une large majorité les deux candidatures, ce qui a conduit García-Mansilla à présenter sa démission ce lundi.

« J’ai accepté cette nomination avec la conviction que le manque d’intégration de la Cour suprême représentait un grave problème institutionnel nécessitant une solution urgente », a écrit García-Mansilla dans une lettre adressée à Milei et relayée par la presse locale.

Cependant, « mon maintien au poste n’aiderait pas les responsables de l’intégration du Tribunal à prendre conscience de la gravité de cette situation », a-t-il ajouté en présentant sa « démission irrévocable ».

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