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International

Les candidats clôturent leur campagne à l’approche des élections présidentielles au Paraguay

Les candidats clôturent leur campagne à l'approche des élections présidentielles au Paraguay
Photo: @concertacionpy

27 avril |

Les candidats tiendront leur cérémonie de clôture de campagne au Paraguay jeudi, avant les élections générales prévues dimanche prochain, au cours desquelles 4,7 millions de Paraguayens se rendront aux urnes.

La coalition d’opposition Concertación Nacional tiendra sa cérémonie de clôture à partir de 19 heures (heure locale) au club 2 de febrero, dans la ville de Capiatá, où le candidat à la présidence Efraín Alegre et la candidate à la vice-présidence Soledad Núñez seront présents.

Pour sa part, l’Association nationale républicaine (ANR), également connue sous le nom de Parti Colorado, tiendra sa cérémonie de clôture de campagne à 18h00 (heure locale) au siège de l’Association des fonctionnaires de l’Institut de la sécurité sociale (IPS) à Asunción.

M. Alegre a souligné que la campagne de la coalition n’est pas dirigée contre le Parti Colorado, mais contre « l’argent sale » provenant du crime organisé, tout en assurant que le candidat de l’ANR à la présidence fait partie de la mafia du pays.

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Se référant à Santiago Peña et Horacio Cartes, il a souligné qu’ »ils sont poursuivis au Brésil, en Colombie et aux Etats-Unis. Ils représentent un Paraguay isolé car ce modèle d’illégalité n’est plus toléré par la communauté internationale ».

M. Alegre a également souligné que l’opposition était prête à contrôler les bureaux de vote dans tout le pays, tout en précisant que dans 90 % des bureaux de vote, elle disposera de deux représentants contre un seul pour le parti Colorado.

« Nous sommes en mesure de présenter les résultats à la justice électorale. Nous avons les calculs, nous avons la technologie, nous n’allons donc pas permettre la fraude », a-t-il souligné.

Le chef de la mission électorale de l’Union européenne, Gabriel Mato, a affirmé que « nous espérons que les élections pourront se dérouler en toute liberté », et a informé que le rapport final des élections sera publié un mois après leur tenue.

Quelque 9 095 candidats issus des différentes villes du pays sont en lice pour un siège où seront élus le président et le vice-président de la République, 45 sénateurs, 30 suppléants, 80 députés et 80 suppléants.

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International

Le chanteur Arcángel sort de l’hôpital après une opération du cœur

Le reggaetonero portoricain Arcángel a annoncé ce mardi avoir quitté l’hôpital, après avoir subi ce qu’il décrit comme “l’épreuve la plus grande” que Dieu et la vie lui aient imposée, suite à une intervention chirurgicale sur son cœur “malade et gravement blessé”.

“Je traverse et, en même temps, je surmonte l’épreuve la plus GRANDE que DIEU et la VIE m’aient imposée. J’ai un cœur malade et mal en point qui, malgré tout, REFUSE d’arrêter de battre”, a écrit le chanteur, de son vrai nom Austin Santos, dans une publication sur son compte Instagram.

Dans le post, on voit Arcángel torse nu, allongé sur un lit d’hôpital, une plaie bandée sur la poitrine et un tube semblant servir de drainage pour le cœur. Il partage également une photo en compagnie d’un professionnel de santé, ainsi qu’une vidéo émotive de son départ de la chambre où il était hospitalisé.

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International

Affaire Odebrecht : Ollanta Humala reconnu coupable et écroué à Lima

La justice péruvienne a condamné ce mardi l’ancien président Ollanta Humala à 15 ans de prison pour blanchiment d’argent, après l’avoir reconnu coupable d’avoir reçu des fonds illégaux de la part de l’entreprise brésilienne Odebrecht et du gouvernement vénézuélien pour financer ses campagnes électorales de 2011 et 2006, respectivement.

Âgé de 62 ans, Humala a été arrêté dans la salle d’audience à l’issue de la lecture du verdict, mettant ainsi fin à plus de trois années de procès contre cet ancien lieutenant-colonel de gauche modérée, qui a dirigé le Pérou entre 2011 et 2016. Il devient ainsi le deuxième ancien chef d’État péruvien condamné dans le cadre du scandale Odebrecht, parmi les quatre ex-présidents impliqués.

« Une peine privative de liberté effective de 15 ans est imposée à M. Ollanta Humala », a déclaré la juge Nayko Coronado du Troisième Tribunal de la Cour supérieure lors de la lecture du jugement de première instance, que la défense de l’ex-président prévoit de contester en appel.

Le procureur Germán Juárez s’est déclaré satisfait de la décision judiciaire, affirmant qu’elle avait été rendue « dans le respect du droit à un procès équitable, avec objectivité et impartialité ».

Odebrecht, dont le scandale de corruption et de pots-de-vin a ébranlé plusieurs pays d’Amérique latine, avait reconnu en 2016 avoir versé des dizaines de millions de dollars en dessous-de-table et en financements électoraux illégaux au Pérou depuis le début du XXIe siècle.

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Selon le parquet, le scandale a également impliqué d’autres anciens présidents : Alan García (2006–2011), qui s’est suicidé en 2019 avant d’être arrêté ; Pedro Pablo Kuczynski (2016–2018), toujours sous enquête ; et Alejandro Toledo (2001–2006).

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Amérique centrale

Nicaragua : La CIDH dénonce la répression étatique continue sous le régime d’Ortega

La Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH) a dénoncé et condamné ce lundi « la consolidation d’un régime autoritaire » au Nicaragua, un pays dirigé par l’ex-guérillero sandiniste Daniel Ortega depuis 2007, et qui vit depuis sept ans une crise socio-politique et des droits humains.

« A sept ans du début de la crise des droits de l’homme au Nicaragua, la CIDH condamne la répression étatique continue et la consolidation d’un régime autoritaire », a indiqué l’organisme dans une déclaration publique.

En avril 2018, des milliers de Nicaraguayens sont descendus dans les rues pour protester contre des réformes controversées de la sécurité sociale, qui, après une réponse violente de l’État, se sont transformées en une exigence de démission du président, Daniel Ortega.

Les manifestations ont fait au moins 355 morts, selon la CIDH, bien que des organismes nicaraguayens augmentent ce chiffre à 684, tandis qu’Ortega reconnaît « plus de 300 » et maintient qu’il s’agissait d’une tentative de coup d’État.

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