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International

Couvercle de chambre forte découvert dans un site archéologique du Yucatan, au Mexique

Couvercle de chambre forte découvert dans un site archéologique du Yucatan, au Mexique
Photo: @SPRInforma

13 septembre |

Le ministère de la culture du gouvernement mexicain, par l’intermédiaire de l’Institut national d’anthropologie et d’histoire (INAH), a annoncé la découverte d’une peinture murale inédite sur un bloc de pierre utilisé par les anciens Mayas comme couvercle de voûte.

Selon le communiqué, il s’agit de l’une des structures de l’acropole d’Ek’ Balam, ce qui porte à sept le nombre de couvercles de voûtes peints retrouvés cette année dans la zone archéologique du Yucatan.

Au cours de la conférence de presse, présidée par la secrétaire d’État à l’Intérieur, Luisa María Alcalde Luján, a été présentée l’avancée des travaux du quatrième tronçon du train maya, qui parcourra 239 kilomètres entre les gares d’Izamal, dans le Yucatán, et l’aéroport de Cancún, dans le Quintana Roo.

Pour sa part, le directeur général de l’INAH, Diego Prieto Hernández, a indiqué que les travaux de conservation et d’étude de cet objet sont déjà en cours, et que 30 de ces éléments architecturaux ont été enregistrés sur le site pendant plusieurs années.

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Il a également indiqué que les découvertes ont fourni des données importantes sur les souverains du royaume de Talol (Ek’ Balam), les dates de construction du palais royal ou de l’acropole.

Le communiqué précise que, contrairement aux couvercles connus, le couvercle de la voûte découvert récemment ne présente pas de traces de peinture noire, mais de la peinture rouge et un symbole en forme de U qui pourrait représenter une grotte avec de l’eau souterraine ou une possible allusion au monde souterrain.

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International

Drame à Saint-Domingue : les causes de l’effondrement restent inconnues

Alors que les questions s’accumulent autour de l’effondrement du toit de la discothèque Jet Set à Saint-Domingue, les enquêtes commencent pour déterminer les causes de l’accident. Pendant ce temps, les familles des victimes perdent patience dans les morgues, dans l’attente de pouvoir identifier leurs proches.

Quatre jours se sont écoulés depuis que le toit de la célèbre discothèque Jet Set, haut lieu de la vie nocturne à Saint-Domingue, capitale de la République dominicaine, s’est effondré sur environ 400 personnes présentes dans l’établissement. Le dernier bilan officiel fait état de 221 morts et 189 blessés, mais les causes de cette tragédie restent encore floues.

Le gouvernement dominicain a publié un rapport préliminaire vendredi concernant l’effondrement, mais celui-ci n’éclaircit pas les raisons de la catastrophe. Des experts nationaux et internationaux poursuivent les investigations afin de déterminer les éventuelles défaillances structurelles.

Témoignant de l’inquiétude générale, le président dominicain Luis Abinader a déclaré vendredi que le pays doit désormais obtenir des réponses claires sur « ce qui s’est passé, pourquoi cela s’est produit, et comment cela a pu arriver ».

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International

Saint-Domingue : le bilan de l’effondrement d’une discothèque grimpe à 225 morts

Le nombre de victimes décédées suite à l’effondrement du toit d’une discothèque à Saint-Domingue, survenu mardi dernier, s’élève désormais à 225, ont annoncé les autorités sanitaires dominicaines ce samedi.

Le ministre de la Santé publique, Víctor Atallah, a communiqué ces chiffres aux médias. Jusqu’à hier, le bilan faisait état de 221 morts et 189 blessés.

Selon Atallah, quatre nouveaux décès ont été enregistrés dans des établissements de santé entre la nuit de vendredi et la matinée de ce samedi.

« Le nombre actuel de décès est de 225, mais ce chiffre pourrait encore augmenter, espérons que non », a déclaré le ministre lors d’une conférence de presse à l’Institut de Pathologie Médico-légale (IPF).

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Amérique centrale

Présence militaire américaine au Panama : accord sensible autour du canal

Le Panama autorisera la présence de troupes américaines dans des zones d’accès et adjacentes au canal interocéanique, selon un accord bilatéral diffusé ce jeudi par le gouvernement panaméen, qui précise qu’il ne s’agit pas de bases militaires.

La présence de troupes américaines reste un sujet sensible dans ce pays d’Amérique centrale, rappelant l’époque où les États-Unis disposaient d’un enclave avec des bases militaires, avant de restituer le canal au Panama en décembre 1999.

Selon l’accord signé par le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, et le ministre panaméen de la Sécurité, Frank Ábrego, les militaires et contractuels américains « pourront utiliser les emplacements autorisés, les installations et les zones désignées pour fournir de la formation, mener des actions humanitaires (…) et des exercices ».

L’accord, d’une durée initiale de trois ans renouvelable, stipule que les installations resteront la propriété de l’État panaméen et seront utilisées de manière conjointe avec les forces de sécurité des deux pays.

Mercredi, Hegseth avait déclaré lors d’une conférence de presse à Panama que les exercices conjoints de défense représentaient « une opportunité de faire revivre » une « base militaire » opérée par des troupes américaines, des propos qui ont suscité de vives réactions.

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« Nous ne pouvons accepter ni bases militaires ni sites de défense », a réagi Ábrego lors de la même conférence.

Depuis son retour au pouvoir en janvier dernier, le président Donald Trump a menacé de « récupérer » le canal de Panama, construit par les États-Unis, en affirmant qu’il se trouve désormais sous influence chinoise.

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