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International

Collecte de signatures pour défendre la sécurité sociale en Uruguay

Photo: Izquierda Diario

7 décembre |

La centrale syndicale uruguayenne Plenario de Intersindical de Trabajadores- Convención Nacional de Trabajadores (PIT-CNT) a annoncé mercredi que 65 933 signatures avaient été recueillies pour le plébiscite sur la sécurité sociale.

Le responsable de l’organisation syndicale, Marcelo Abdala, a déclaré que depuis le 5 octobre, un rythme de 33 000 signatures par mois a été atteint. Cependant, les 270 000 signatures doivent être dépassées avant le mois d’avril prochain.

Selon les médias locaux, la centrale syndicale avait initialement fixé un objectif d’un demi-million de signatures. Cependant, tous les syndicats impliqués n’ont pas exprimé leur soutien à l’initiative.

Pour sa part, M. Abdala a déclaré qu’en dépit des difficultés financières auxquelles la campagne a été confrontée, il existe une « volonté populaire massive » d’organiser le plébiscite en même temps que les élections générales prévues pour le mois d’octobre de l’année prochaine.

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« Si, avec les énormes difficultés que nous avons rencontrées au début, nous avons maintenant ce chiffre, il est plus que probable que notre peuple pourra décider le dernier dimanche d’octobre si nous défendons la sécurité sociale en tant que droit de l’homme », a-t-elle déclaré.

De son côté, la présidente de l’Association des travailleurs de la sécurité sociale, Nathalie Barbé, a souligné le soutien des secteurs populaires à l’initiative, tout en appelant les organisations à déployer leurs militants en faveur d’une « sécurité sociale plus juste et plus digne ».

Le projet du PIT-CNT vise à modifier l’article 67 de la Constitution afin de fixer l’âge de la retraite à 60 ans, d’égaliser les pensions au salaire minimum et de supprimer les administrateurs de fonds d’épargne retraite (AFAP).

International

Drame à Saint-Domingue : les causes de l’effondrement restent inconnues

Alors que les questions s’accumulent autour de l’effondrement du toit de la discothèque Jet Set à Saint-Domingue, les enquêtes commencent pour déterminer les causes de l’accident. Pendant ce temps, les familles des victimes perdent patience dans les morgues, dans l’attente de pouvoir identifier leurs proches.

Quatre jours se sont écoulés depuis que le toit de la célèbre discothèque Jet Set, haut lieu de la vie nocturne à Saint-Domingue, capitale de la République dominicaine, s’est effondré sur environ 400 personnes présentes dans l’établissement. Le dernier bilan officiel fait état de 221 morts et 189 blessés, mais les causes de cette tragédie restent encore floues.

Le gouvernement dominicain a publié un rapport préliminaire vendredi concernant l’effondrement, mais celui-ci n’éclaircit pas les raisons de la catastrophe. Des experts nationaux et internationaux poursuivent les investigations afin de déterminer les éventuelles défaillances structurelles.

Témoignant de l’inquiétude générale, le président dominicain Luis Abinader a déclaré vendredi que le pays doit désormais obtenir des réponses claires sur « ce qui s’est passé, pourquoi cela s’est produit, et comment cela a pu arriver ».

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International

Saint-Domingue : le bilan de l’effondrement d’une discothèque grimpe à 225 morts

Le nombre de victimes décédées suite à l’effondrement du toit d’une discothèque à Saint-Domingue, survenu mardi dernier, s’élève désormais à 225, ont annoncé les autorités sanitaires dominicaines ce samedi.

Le ministre de la Santé publique, Víctor Atallah, a communiqué ces chiffres aux médias. Jusqu’à hier, le bilan faisait état de 221 morts et 189 blessés.

Selon Atallah, quatre nouveaux décès ont été enregistrés dans des établissements de santé entre la nuit de vendredi et la matinée de ce samedi.

« Le nombre actuel de décès est de 225, mais ce chiffre pourrait encore augmenter, espérons que non », a déclaré le ministre lors d’une conférence de presse à l’Institut de Pathologie Médico-légale (IPF).

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Amérique centrale

Présence militaire américaine au Panama : accord sensible autour du canal

Le Panama autorisera la présence de troupes américaines dans des zones d’accès et adjacentes au canal interocéanique, selon un accord bilatéral diffusé ce jeudi par le gouvernement panaméen, qui précise qu’il ne s’agit pas de bases militaires.

La présence de troupes américaines reste un sujet sensible dans ce pays d’Amérique centrale, rappelant l’époque où les États-Unis disposaient d’un enclave avec des bases militaires, avant de restituer le canal au Panama en décembre 1999.

Selon l’accord signé par le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, et le ministre panaméen de la Sécurité, Frank Ábrego, les militaires et contractuels américains « pourront utiliser les emplacements autorisés, les installations et les zones désignées pour fournir de la formation, mener des actions humanitaires (…) et des exercices ».

L’accord, d’une durée initiale de trois ans renouvelable, stipule que les installations resteront la propriété de l’État panaméen et seront utilisées de manière conjointe avec les forces de sécurité des deux pays.

Mercredi, Hegseth avait déclaré lors d’une conférence de presse à Panama que les exercices conjoints de défense représentaient « une opportunité de faire revivre » une « base militaire » opérée par des troupes américaines, des propos qui ont suscité de vives réactions.

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« Nous ne pouvons accepter ni bases militaires ni sites de défense », a réagi Ábrego lors de la même conférence.

Depuis son retour au pouvoir en janvier dernier, le président Donald Trump a menacé de « récupérer » le canal de Panama, construit par les États-Unis, en affirmant qu’il se trouve désormais sous influence chinoise.

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