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International

Au moins 39 civils tués dans deux attaques terroristes dans l’ouest du Niger

Au moins 39 civils ont été tués dans deux attaques terroristes dans les villages de Kokorou et Libiri, dans le département de Tera, dans l’ouest du Niger, a annoncé dimanche le ministère nigérien de la Défense.

Dans un communiqué diffusé à la télévision gouvernementale, le ministère de la Défense a indiqué que les attaques ont été perpétrées par des hommes armés à bord de motos dans ces localités frontalières avec le Burkina Faso, une zone d’intense activité djihadiste de groupes fidèles à l’État islamique et à Al-Qaïda.

La note n’a pas précisé les dates des attaques, mais une source de la région contactée par EFE a indiqué qu’elles se sont produites entre vendredi et samedi et que le nombre de morts serait plus élevé.

Des groupes djihadistes sont actifs au Niger

Les groupes djihadistes actifs au Niger, qui opèrent également dans les voisins du Mali et du Burkina Faso, attaquent à la fois les populations civiles des villages et les positions militaires.

La dernière attaque mortelle menée contre les forces de défense et de sécurité nigériennes remonte à quelques jours dans la même zone, et a fait dix morts et huit blessés.

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Selon la plateforme ‘Armed Conflict Location And Event Data Project’ (ACLED), qui surveille la violence dans le monde, entre mai 2023 et le même mois de cette année, 1 460 personnes sont mortes au Niger dans des événements violents mettant en scène des groupes non étatiques et 997 autres aux mains des forces de l’État.

Le Niger, gouverné par une junte militaire putschiste depuis juillet 2023, est l’un des pays les plus pauvres d’Afrique et occupe la 189e place (sur un total de 195) dans l’indice de développement humain de l’ONU, un organisme qui estime que 91 % de sa population est pauvre selon son indice de pauvreté multidimensionnel.

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Amérique centrale

Présence militaire américaine au Panama : accord sensible autour du canal

Le Panama autorisera la présence de troupes américaines dans des zones d’accès et adjacentes au canal interocéanique, selon un accord bilatéral diffusé ce jeudi par le gouvernement panaméen, qui précise qu’il ne s’agit pas de bases militaires.

La présence de troupes américaines reste un sujet sensible dans ce pays d’Amérique centrale, rappelant l’époque où les États-Unis disposaient d’un enclave avec des bases militaires, avant de restituer le canal au Panama en décembre 1999.

Selon l’accord signé par le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, et le ministre panaméen de la Sécurité, Frank Ábrego, les militaires et contractuels américains « pourront utiliser les emplacements autorisés, les installations et les zones désignées pour fournir de la formation, mener des actions humanitaires (…) et des exercices ».

L’accord, d’une durée initiale de trois ans renouvelable, stipule que les installations resteront la propriété de l’État panaméen et seront utilisées de manière conjointe avec les forces de sécurité des deux pays.

Mercredi, Hegseth avait déclaré lors d’une conférence de presse à Panama que les exercices conjoints de défense représentaient « une opportunité de faire revivre » une « base militaire » opérée par des troupes américaines, des propos qui ont suscité de vives réactions.

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« Nous ne pouvons accepter ni bases militaires ni sites de défense », a réagi Ábrego lors de la même conférence.

Depuis son retour au pouvoir en janvier dernier, le président Donald Trump a menacé de « récupérer » le canal de Panama, construit par les États-Unis, en affirmant qu’il se trouve désormais sous influence chinoise.

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International

Le Nicaragua rejette la déclaration finale du sommet de la Celac : « Aucun consensus »

Le Nicaragua a dénoncé ce jeudi l’absence de consensus autour de la déclaration finale de la IXe Sommet des chefs d’État et de gouvernement de la Communauté des États latino-américains et caribéens (Celac), tenue mercredi au Honduras, a indiqué le ministère des Affaires étrangères à Managua. L’Argentine et le Paraguay ont exprimé des réserves similaires.

« Une déclaration de ce Sommet devrait aborder les graves conséquences des politiques tarifaires décrétées par les États-Unis contre le monde, et convenir d’actions et de mesures communes pour faire face à leurs effets », a déclaré le ministre nicaraguayen des Affaires étrangères, Valdrack Jaentschke, qui représentait son pays lors de cette réunion.

Il a ajouté : « Une déclaration de la Celac doit inclure un message de solidarité envers les sœurs et frères qui ont dû émigrer hors de leurs pays, et exiger un traitement digne pour ceux qui sont renvoyés dans leurs patries. »

Le message officiel, intitulé « Le Nicaragua à la Celac : Il n’y avait pas, et il n’y a pas de consensus », critique le document final connu sous le nom de Déclaration de Tegucigalpa, adopté mercredi à l’issue du sommet, auquel les coprésidents nicaraguayens Daniel Ortega et Rosario Murillo n’ont pas assisté.

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International

Le Pérou demande à l’OEA de classer le Tren de Aragua comme organisation terroriste

La présidente du Pérou, Dina Boluarte, a annoncé ce jeudi que son pays a demandé à l’Organisation des États américains (OEA) de déclarer le groupe criminel transnational Tren de Aragua comme une organisation terroriste internationale.

La cheffe de l’État a fait cette déclaration à l’issue de la réunion quotidienne tenue au Palais présidentiel avec les ministres et les hauts responsables des forces de sécurité, afin de suivre les actions contre la criminalité à Lima et dans la province voisine du Callao, toutes deux déclarées en état d’urgence face à la montée de la délinquance.

À ce sujet, le ministre des Affaires étrangères, Elmer Schialer, a précisé que, lors de son intervention à Washington devant l’OEA, il a souligné que le Tren de Aragua — un gang né dans les prisons vénézuéliennes — ainsi que d’autres groupes criminels similaires, « représentent l’un des principaux défis pour la sécurité des peuples latino-américains ».

Il a ajouté que leurs actions sont « de nature terroriste » et nécessitent donc « une évaluation des alternatives pour les combattre de manière conjointe ».

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