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Amérique centrale

Le gouvernement vénézuélien réclame la libération de ses citoyens détenus au Salvador

Un cabinet d’avocats engagé par le gouvernement du Venezuela a déposé ce lundi (24.03.2025) un recours devant la Cour suprême du Salvador pour obtenir la libération de 238 Vénézuéliens emprisonnés dans ce pays après avoir été expulsés des États-Unis.

Pour les expulser le 16 mars, l’administration de Donald Trump a invoqué une loi datant de 1798, utilisée pour la dernière fois pendant la Seconde Guerre mondiale, et a affirmé qu’ils étaient membres du groupe criminel vénézuélien Tren de Aragua, ce que leurs familles démentent.

« Comme première mesure, nous déposons devant la Salle constitutionnelle de la Cour un recours en habeas corpus », a déclaré à l’AFP l’avocat Jaime Ortega.

Il a ajouté qu’il s’agissait d’une démarche visant à garantir la liberté de ces personnes, puisqu’elles n’ont commis aucun crime au Venezuela. Ortega, accompagné de deux autres avocats, a officiellement présenté la demande.

L’avocat a précisé qu’il avait été mandaté par le gouvernement vénézuélien et par un Comité des familles de Vénézuéliens détenus au Salvador, une organisation jusqu’ici inconnue du public.

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Amérique centrale

Le Salvador renforce sa guerre contre les gangs en récupérant des milliers de maisons

Le gouvernement du Salvador a récupéré plus de 11 000 maisons occupées par des gangs présumés dans le cadre de la guerre contre ces groupes criminels, décrétée il y a trois ans par le président Nayib Bukele, a annoncé le ministère du Logement ce vendredi 28 mars 2025.

Le 27 mars 2022, en réponse aux 87 homicides enregistrés le week-end précédent, Bukele a instauré un régime d’exception pour combattre les gangs qui contrôlaient alors 80 % du territoire.

« Nous avons récupéré plus de 11 000 logements à l’échelle nationale », indique le ministère dans un rapport.

La police et l’armée ont été déployées dans les quartiers contrôlés par les gangs, ce qui a facilité la récupération des maisons occupées par des membres présumés des gangs ou abandonnées par leurs propriétaires.

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Amérique centrale

Ricardo Martinelli surpris par la décision du Panama de lui accorder un salvoconducto

 

La concession du salvoconducto permettant à l’ex-président panaméen Ricardo Martinelli (2009-2014) de quitter l’ambassade du Nicaragua, où il s’est réfugié il y a plus d’un an pour éviter la prison dans une affaire de blanchiment d’argent, et de se rendre au Nicaragua, a pris de court le Panama ce jeudi et a provoqué une vague de réactions, dont beaucoup de rejet.

Le premier surpris a été l’ex-président lui-même, un magnat de 73 ans qui avait soutenu l’actuel président du Panama, José Raúl Mulino, lorsqu’il était ministre de la Sécurité et l’appelait « ami » pendant la campagne électorale qui l’a mené au pouvoir en 2024.

« Maintenant, on me donne cette surprise, et nous analysons pour prendre une décision », a déclaré Martinelli dans un message sur les réseaux sociaux, peu après que le ministre des Affaires étrangères du Panama, Javier Martínez-Acha, ait annoncé l’octroi du salvoconducto, avec un délai non prorogeable jusqu’au 31 mars pour qu’il parte au Nicaragua.

Le porte-parole de Martinelli et député actuel à l’Assemblée nationale (AN) pour son parti Realizando Metas (RM), Luis Eduardo Camacho, a déclaré à la télévision locale Telemetro que seul l’ex-président décidera de ce salvoconducto accordé, mais a assuré qu’il « ne veut pas » quitter le Panama et qu’il estime qu’il devrait « être libre », car « il a été condamné politiquement pour l’invalider ».

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Amérique centrale

La Cour suprême du Guatemala rejette l’appel du journaliste José Rubén Zamora

La Cour suprême du Guatemala a rejeté ce jeudi l’appel du journaliste José Rubén Zamora visant à annuler l’ordre qui l’a renvoyé en prison il y a deux semaines, après avoir révoqué son arrestation à domicile qu’il avait obtenue depuis octobre.

Le journaliste de 68 ans a passé plus de 800 jours en détention. Il fait face à deux procédures parallèles lancées en 2022 par le Ministère public, que des organisations internationales considèrent comme une attaque contre la liberté de la presse.

Le président du Guatemala, Bernardo Arévalo, a critiqué ces procédures, mais il ne peut pas intervenir dans le travail du Ministère public, qui accuse Zamora de blanchiment d’argent, de chantage et d’obstruction à la justice.

La Chambre de protection de la Cour a décidé « à l’unanimité de suspendre définitivement » les recours de la défense de Zamora, après qu’une chambre d’appel ait annulé l’arrestation à domicile, selon un communiqué du pouvoir judiciaire.

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