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International

Jeunes présidents défient les politiciens traditionnels face à la gestion du Covid-19

L’urgence mondiale générée par la Covid-19 a mis à la vue du public les mesures de réaction et de confinement promues et exécutées par les présidents du monde.

Dans un monde qui a évolué rapidement au cours des dernières décennies, l’une des plus grandes variations est l’arrivée de très jeunes dirigeants politiques pour diriger le destin des pays, et cette crise sanitaire a mis en évidence cette caractéristique.

Les jeunes dirigeants ont pris de très bonnes décisions, des mesures dures mais précises ce qui a eu un impact positif sur les résultats de la gestion des urgences, ont souligné le Premier ministre finlandais Sanna Marin, Nayib Bukele Président du Salvador et Jacinda Ardern Premier ministre néo-zélandais.

La vision de ces 3 dirigeants qui n’ont pas plus de 39 ans, a été largement applaudie par les autorités et l’opinion publique du monde entier. La prise de la crise au sérieux, la priorisation de la vie de leurs compatriotes et l’application des politiques publiques qui privilégient la distanciation sociale, ont joué un rôle clé dans la gestion de la crise dans leurs pays respectifs.

Les décisions des présidents ont été durement remises en question par différents groupes dans leur pays, en particulier leur opposition politique, mais ils ont parié différemment; obtenir des résultats bénéfiques pour ses citoyens.

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Cette attitude contraste avec la réponse des politiciens traditionnels avec plus d’années d’expérience, comme c’est le cas du président américain Donald Trump, du président brésilien Jair Bolsonaro et du mexicain Manuel López Obrador.

Ces présidents depuis l’alerte de l’Organisation mondiale de la santé sur le risque de pandémie du coronavirus, ont sous-estimé l’urgence, n’ont pas pris de mesures préventives et leurs politiques publiques n’ont pas privilégié les quarantaines domiciliaires obligatoires.

À ce jour, le nombre de décès à cause du virus et le débordement de leurs systèmes de santé, sont l’indicateur qui nous permet de dire que les jeunes leaders ont mieux réagi face à la crise mondiale.

 

 

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MARN1

Amérique centrale

Nicaragua : Ortega annule 15 ONG supplémentaires, dont Save the Children

Le gouvernement du Nicaragua, dirigé par le président Daniel Ortega, a annulé ce mercredi 15 ONG supplémentaires, dont Save the Children, dans le cadre de la campagne répressive lancée dans le pays d’Amérique centrale après les manifestations antigouvernementales de 2018.

Le décret, publié dans le journal officiel La Gaceta, souligne que Save the Children International, active depuis 2011, a été fermée pour « dissolution volontaire par décision du conseil d’administration après l’achèvement de son portefeuille de projets au Nicaragua ».

Dix autres organisations ont été dissoutes pour des raisons similaires, dont de nombreuses religieuses. De même, cinq fondations et associations ont été fermées pour ne pas avoir présenté leurs états financiers sur de longues périodes.

Ces mesures sont courantes depuis les manifestations de 2018. Le gouvernement a privé de nationalité des dissidents, expulsé des ambassadeurs, fermé des milliers d’ONG nationales et internationales, ainsi que des médias et des organisations religieuses, invoquant des irrégularités administratives.

La Haute-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Nada al Nashif, a déclaré en décembre qu’un « climat répressif » règne dans le pays à la suite des récentes réformes constitutionnelles promues par le président Ortega, suscitant « la peur » parmi les Nicaraguayens, y compris ceux en exil.

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« La situation des droits de l’homme au Nicaragua continue de se détériorer. Un grave climat répressif prévaut. Ces derniers mois, les réformes visaient à concentrer davantage de pouvoir entre les mains de la Présidence et à criminaliser les voix dissidentes », a-t-elle souligné.

L’amendement à la Constitution promu par Ortega prolonge le mandat présidentiel de cinq à six ans et supprime l’interdiction de censurer la presse dans la Charte fondamentale. Il stipule également que tous les droits fondamentaux peuvent être suspendus en état d’urgence et abaisse les conditions pour que le gouvernement puisse mobiliser l’armée pour des raisons de « sécurité ».

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Sin categoría

La Cour interaméricaine exige la libération immédiate du journaliste Leo Cárcamo au Nicaragua

La Cour interaméricaine des droits de l’homme a ordonné ce mercredi au Nicaragua de libérer « immédiatement » le journaliste Leo Cárcamo, détenu en novembre 2024 et dont le lieu de détention reste inconnu.

« Il est demandé à l’État du Nicaragua de procéder à la libération immédiate de Catalino Leo Cárcamo », indique la résolution du tribunal continental, basé à San José.

Elle a également ordonné des « mesures urgentes » pour protéger « efficacement ses droits à la vie, à l’intégrité personnelle, à la liberté et à la santé ».

Le journaliste à la retraite, âgé de 62 ans, aurait été arrêté le 22 novembre 2024 « par des autorités étatiques, et son lieu de détention reste inconnu à ce jour », selon un rapport de la Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH), basée à Washington.

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International

María Corina Machado appelle les Vénézuéliens de l’étranger à « effacer les frontières » et à manifester

La leader de l’opposition María Corina Machado a exhorté ce mercredi les Vénézuéliens de l’étranger à « effacer les frontières » et à « se faire entendre » le 9 janvier, jour où des rassemblements ont été convoqués au Venezuela et dans différentes villes du monde. Ces manifestations auront lieu à la veille du 10 janvier, date prévue pour l’investiture présidentielle que le président sortant Nicolás Maduro et l’opposant Edmundo González Urrutia ont tous deux promis d’assumer.

« Jamais auparavant nous n’avons été autant appelés à nous unir, à effacer les frontières qui n’ont fait que nous séparer, nous éloigner et briser nos familles… ce sont des années de distance et d’absence », a déclaré Machado, dans un message vidéo publié depuis la clandestinité sur son compte X.

« Vénézuéliens du monde, tournez votre regard vers chez vous. Aujourd’hui, nous sommes un seul Venezuela. Il n’y a plus ceux de l’intérieur et ceux de l’extérieur, il n’y a qu’un Venezuela. Faisons-nous entendre, réalisons cela ensemble. Chaque ville et chaque pays du monde ressentira notre force, notre présence, notre courage et notre gloire. Nous serons les acteurs de notre liberté », a-t-elle affirmé.

Machado a prédit que ce jeudi, « le Venezuela fera vibrer le monde entier », espérant que celui-ci « chante également Gloire au peuple courageux », une référence au titre de l’hymne national du pays.

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