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International

OMS estime que ls vaccins contre le covid-19 seront disponibles en 2022

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a abaissé ses attentes quant à l’arrivée précoce d’un vaccin contre la covid-19. Selon l’organisme, la généralisation des vaccins aura lieu jusqu’en 2022. Cela a été envisagé par la scientifique en chef de l’OMS, Soumya Swaminathan.

Elle a dit qu’elle ne s’attend pas à ce que d’éventuels vaccins soient prêts pour la population avant deux ans, mais elle estimé que les premiers groupes à risque pourraient être vaccinés au milieu de l’année prochaine. « Beaucoup pensent qu’au début de l’année prochaine viendra une panacée qui résoudra tout, mais ce n’est pas le cas », a souligné.

L’OMS a souligné que la sécurité est le pilier de la recherche de tout vaccin. Elle a également dit que c’était une exigence indispensable qui devrait guider les essais cliniques. Le message a été donné à la suite de la suspension de l’essai clinique de vaccin AstraZeneca.

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MARN1

International

Tapachula emploie des migrants pour embellir la ville en attendant leur régularisation

La plus grande ville de la frontière sud du Mexique, Tapachula, emploie des migrants bloqués en raison des restrictions imposées par le président américain Donald Trump. Ces travailleurs sont intégrés aux équipes municipales pour « embellir » la ville, qui est la principale porte d’entrée des étrangers dans le pays.

Les migrants travaillent dans le cadre d’un programme d’assistance humanitaire mis en place par le gouvernement fédéral et l’État du Chiapas, une région frontalière de l’Amérique centrale. Leur principal objectif est d’obtenir un emploi pour subvenir à leurs besoins alimentaires et payer leur logement en attendant le traitement de leur demande auprès de la Commission mexicaine d’aide aux réfugiés (Comar).

Parmi ces centaines de migrants figure Carlos, un membre de la communauté LGBTI qui a fui Cuba en raison de la discrimination sexuelle. Il affirme que le gouvernement mexicain lui a offert des opportunités et a respecté ses droits humains.

« Je ne réfléchis pas trop, car le simple fait de collaborer ici m’aide beaucoup. Je me sens bien en attendant mes papiers (de la Comar). Pour autant que je sache, nous allons balayer les rues et nettoyer cet endroit », a-t-il déclaré lors d’une interview avec EFE.

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International

Gustavo Petro : « Le cartel de Sinaloa dirige désormais l’ELN »

Le président colombien, Gustavo Petro, a déclaré vendredi que le cartel mexicain de Sinaloa, héritier de l’empire de la drogue de Joaquín « El Chapo » Guzmán, « est le chef actuel de l’ELN », la guérilla responsable de la pire vague de violence en Colombie depuis une décennie.

« Les véritables propriétaires de ces structures ne sont pas des commandants colombiens, mais ceux qui achètent la cocaïne d’origine mexicaine. Le cartel de Sinaloa est le chef actuel de l’ELN (Armée de libération nationale) », a affirmé le président de gauche lors d’un discours à Bucaramanga, dans le nord-est du pays.

Depuis la mi-janvier, le gouvernement colombien mène une offensive militaire contre les rebelles à la frontière avec le Venezuela, après une attaque sanglante du groupe armé contre des civils et des membres d’une faction dissidente des anciennes Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC).

Cette vague de violence a fait au moins 53 morts confirmés, huit disparus et plus de 50 000 déplacés.

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International

Présidentielle en Équateur : Noboa vise la réélection, González rêve du retour du correísmo

L’Équateur retourne aux urnes ce dimanche pour ses élections générales, un scrutin polarisé entre l’actuel président, Daniel Noboa, qui cherche à être réélu pour un mandat complet (2025-2029), et sa principale rivale, Luisa González, qui porte une nouvelle fois l’espoir du correísmo de revenir au pouvoir.

Bien que le bulletin de vote comprenne quatorze autres candidats à la présidence, le chef d’État, héritier de l’une des plus grandes fortunes du pays, et l’alliée de l’ancien président Rafael Correa (2007-2017) apparaissent comme les favoris sur lesquels se concentrera le vote. Il n’est pas exclu que la compétition puisse être décidée dès le premier tour.

Pour cela, un candidat doit obtenir plus de la moitié des votes valides, ou au moins 40 % des suffrages avec un écart d’au moins dix points de pourcentage sur son adversaire le plus proche. Sinon, un second tour aura lieu entre les deux candidats les plus votés, qui, selon tous les sondages, devraient être Noboa et González.

Ainsi, les deux protagonistes des élections anticipées de 2023 s’affronteront à nouveau. Lors de ce scrutin, Noboa avait battu González au second tour pour achever le mandat 2021-2025 laissé inachevé par l’ancien président Guillermo Lasso.

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