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International

Venezuela: nouvelle phase de vaccination ouverte aux plus de 40 ans

AFP

Le Venezuela, où sont apparus récemment des cas du variant Delta, a entamé ces derniers jours une nouvelle phase de vaccination, désormais ouverte aux plus de 40 ans, a annoncé dimanche la vice-présidente vénézuélienne Delcy Rodriguez.

« On s’approche des 19% de la population (de 30 millions d’habitants) vaccinée (…) Cette (nouvelle) étape correspond aux plus de 40 ans, principalement à ceux qui ont une plus grande vulnérabilité aux autres maladies qui accompagnent » parfois le virus, a affirmé Mme Rodriguez à la télévision nationale aux côtés du président Nicolas Maduro. 

Elle a notamment lancé un appel à tous les plus de 40 ans pour qu’ils contactent un numéro mis en place ces derniers jours pour organiser la vaccination.

Le Venezuela compte notamment sur l’arrivée imminente de vaccins du programme Covax, a annoncé le président Maduro.

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« Le système Covax a confirmé qu’il allait nous faire des livraisons (…), 6,2 millions de personnes seront vaccinées avec les vaccins que nous avons achetés à travers le système Covax (…) et dans les prochains jours les avions vont commencer à arriver (…) ce qui va renforcer tout le système de vaccination qui comprend les vaccins chinois, russes » et cubains, s’est félicité le président Maduro.

La livraison des vaccins par le programme Covax, qui vise à garantir un accès équitable aux vaccins anti-Covid, est un feuilleton qui dure depuis des mois alors que le pays fait face à des sanctions économiques internationales et le gel de certains avoirs. Début juillet, Nicolas Maduro avait même lancé un ultimatum au programme Covax, assurant que son pays avait payé ces vaccins mais ne les avait toujours pas reçus.

Auparavant, il avait accusé les Etats-Unis d’avoir bloqué 10 millions de dollars, dernier paiement de son pays pour bénéficier du programme Covax, en raison des sanctions notamment américaines prises contre le Venezuela. 

Les Etats-Unis considèrent l’opposant Juan Guaido comme président par intérim du Venezuela et ne reconnaissent pas Nicolas Maduro comme président légitime. Depuis trois ans, ils ont multiplié les pressions diplomatiques et les sanctions économiques pour chasser ce dernier du pouvoir, mais sans succès.

Avec l’arrivée des vaccins Covax, le ministre de la Santé Carlos Alvarado espère pouvoir avancer de décembre à octobre l’objectif de vaccination de 70% de la population. « Plus de 4,1 millions de personnes ont reçu au moins la première dose. Avec ces nouveaux vaccins (Covax) qui arrivent en août, on peut arriver à 70% de vaccination pour la rentrée des classes au mois d’octobre ».

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Le pays connaît une forte hausse du nombre de personnes touchées depuis mars, avec plus de 305.000 cas pour près de 3.300 morts, selon les chiffres officiels, mis en doute par l’opposition.

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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