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International

Visite d’adieu d’Angela Merkel en Israël du 28 au 30 août

AFP

Angela Merkel, qui quittera le pouvoir à l’automne, va effectuer une visite en Israël du 28 au 30 août, avec notamment à la clé une rencontre avec le Premier ministre Naftali Bennett, a annoncé vendredi une porte-parole du gouvernement allemand.

La chancelière, sur le départ après 16 années au pouvoir, rencontrera M. Bennett dimanche matin à Jérusalem, a indiqué la porte-parole, Ulrike Demmer, lors d’une conférence de presse à Berlin.

Les deux dirigeants tiendront une conférence de presse commune dimanche en fin de matinée, avant une entrevue entre Mme Merkel et le nouveau président israélien, le travailliste Isaac Herzog.

La chancelière visitera dans la foulée avec M. Bennett le Mémorial de Yad Vashem, consacré aux victimes de la Shoah.

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« L’Allemagne et Israël sont liés par une amitié unique que nous voulons renforcer encore », avait souligné le 13 juin la chancelière après la nomination de M. Bennett, qui a succédé à Benjamin Netanyahu, au pouvoir pendant 12 ans.

Mme Merkel avait mis en garde le 22 mai contre des débordements racistes ou antisémites au cours de manifestations en faveur de la cause palestinienne en Allemagne au printemps, au cours desquelles des drapeaux israéliens avaient notamment été brûlés.

L’Allemagne s’inquiète d’une résurgence de l’antisémitisme en particulier suscitée par l’extrême droite, notamment depuis un attentat manqué en octobre 2019 contre une synagogue à Halle perpétré par un extrémiste adepte de thèses révisionnistes.

La communauté juive, en pleine renaissance depuis la Réunification allemande et l’arrivée de centaines de milliers de juifs de l’ex-Union soviétique, a en outre montré du doigt l’antisémitisme prévalant dans certains cercles musulmans, en particulier après l’arrivée de réfugiés en 2015 et 2016 en provenance de pays arabes hostiles à Israël.

Soixante-seize ans après la fin de la Seconde guerre mondiale, les deux pays entretiennent d’étroites relations, marquées notamment en août 2020 par des exercices inédits menés en Allemagne par l’armée de l’air israélienne, placés sous le signe de la mémoire avec en particulier un survol de l’ancien camp nazi de Dachau.

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L’armée de l’air allemande avait elle participé à des exercices conjoints en 2019 dans le désert israélien du Néguev.

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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