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International

Douze militaires américains tués à Kaboul, Washington menace le groupe EI de représailles

AFP

Douze militaires américains ont été tués et quinze autres blessés dans les attentats-suicides qui ont frappé les abords de l’aéroport de Kaboul jeudi, a indiqué un haut responsable militaire américain, en précisant que les évacuations d’Afghanistan se poursuivaient malgré tout.

« Deux jihadistes considérés comme appartenant à l’EI se sont fait sauter à Abbey Gate, suivis par des jihadistes de l’EI armés qui ont fait feu sur les civils et les militaires », a précisé le général Kenneth McKenzie, chef du commandement central américain en charge de l’Afghanistan.

Il a prévenu que les Etats-Unis étaient prêts à mener des représailles contre le groupe Etat islamique en Afghanistan.

« Si nous pouvons trouver qui est lié à cela, nous nous lancerons à leur poursuite », a déclaré le général McKenzie.

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« Nous avons dit clairement depuis le début que nous nous réservions le droit d’agir contre l’EI en Afghanistan » malgré le retrait des militaires, a-t-il souligné. « Et nous travaillons très dur actuellement pour déterminer qui est lié à cette attaque lâche, et nous sommes prêts à agir contre eux », a-t-il martelé.

Il a également prévenu que de nouveaux attentats étaient possibles.

« Nous pensons qu’ils entendent continuer ces attaques et nous nous attendons à ce que de telles attaques continuent », a dit le général McKenzie, estimant que par le passé, ce groupe avait eu tendance à mener « des attaques multiples ». Il a notamment affirmé que « la menace d’un attentat-suicide avec un véhicule » était « actuellement très élevée ».

Malgré la situation, le Pentagone a tenu à assurer que les évacuations d’étrangers et d’Afghans jugés « à risque » depuis l’arrivée au pouvoir des talibans se poursuivaient.

« Nous continuons de mener à bien notre mission numéro un qui est d’évacuer autant d’Américains et d’autres personnes que possible d’Afghanistan », a-t-il dit.

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Le département d’Etat a pour sa part affirmé jeudi être en contact avec le millier d’Américains qu’il pense être encore en Afghanistan. 

« La grande majorité, plus des deux tiers, nous ont dit qu’ils prenaient leurs dispositions pour partir », a dit un responsable.

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International

Le gouvernement colombien exhorte l’ELN à cesser la violence dans le Catatumbo

La délégation du gouvernement colombien engagée dans les négociations de paix avec l’Armée de libération nationale (ELN) a demandé ce vendredi à la guérilla de mettre fin aux violences dans la région du Catatumbo, où elle affronte depuis le 16 janvier le Front 33 des dissidences des FARC dans un conflit sanglant.

« La société colombienne exige de l’ELN qu’elle cesse son agression contre la population civile du Catatumbo », a déclaré la délégation qui mène les pourparlers de paix avec ce groupe armé.

Depuis le 16 janvier, les affrontements entre l’ELN et le Front 33 des dissidences des FARC, dans cette région frontalière du Venezuela, ont causé entre 60 et 80 morts, selon les estimations de la Défenseure du peuple et du gouverneur de Norte de Santander. Par ailleurs, le nombre de déplacés dépasse les 50 000 personnes.

Les autorités n’ont toutefois pu récupérer que 47 corps en raison des conditions difficiles dans les zones rurales les plus reculées, où l’accès reste encore impossible.

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International

Les États-Unis rétablissent des programmes d’aide pour les migrants en Amérique latine

La directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope, a salué la poursuite des programmes d’aide aux migrants retournés, grâce à l’engagement des États-Unis à reprendre les activités humanitaires essentielles après l’approbation de plusieurs exemptions, faisant suite à la décision initiale de geler l’aide extérieure américaine.

« L’OIM accueille favorablement l’engagement des États-Unis à reprendre des activités humanitaires vitales, offrant ainsi une stabilité face aux défis complexes des déplacements », a déclaré Pope dans un communiqué envoyé ce vendredi à l’agence EFE.

Elle a souligné qu’en raison de la demande croissante d’assistance au retour en Amérique latine et aux Caraïbes, l’OIM intensifie ses efforts pour aider les migrants à rentrer chez eux, se réintégrer et reconstruire leur vie.

Pope a également indiqué que l’OIM a réactivé ses programmes régionaux de Retour Volontaire Assisté (RVA) au Mexique, au Guatemala, au Honduras et au Panama, afin d’offrir un soutien urgent aux migrants vulnérables qui ne peuvent ou ne souhaitent pas rester là où ils sont et ont besoin d’une assistance pour retourner dans leur pays en toute sécurité et dignité.

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International

La Colombie propose de financer le rapatriement de ses citoyens expulsés des États-Unis

Le gouvernement colombien s’est proposé de prendre en charge les frais de transport aérien et maritime de ses citoyens expulsés des États-Unis afin de garantir leur retour dans des conditions dignes, a annoncé le ministère des Affaires étrangères ce vendredi.

« Nous avons proposé à Mauricio Claver-Carone, envoyé spécial du président Donald Trump pour l’Amérique latine, d’assumer immédiatement le transfert de tous les citoyens expulsés par les États-Unis », indique un communiqué de presse. « Toutes les options de transport, aérien et maritime, sont actuellement en cours d’évaluation », précise le document.

Les conditions du retour des Colombiens ont provoqué une tension diplomatique ce week-end. Le président Gustavo Petro a dénoncé de prétendus mauvais traitements infligés à ses compatriotes et a interdit l’entrée sur le territoire de deux avions militaires américains, qui devaient atterrir dimanche avec plusieurs dizaines de Colombiens à bord.

En réponse, Donald Trump a imposé des tarifs douaniers et menacé de révoquer les visas des fonctionnaires du premier gouvernement de gauche en Colombie.

Cependant, l’incident diplomatique s’est calmé en quelques heures, après que la Maison-Blanche a assuré que la Colombie avait accepté ses conditions, conduisant ainsi Washington à annuler ses mesures de rétorsion.

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