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International

Covid au Brésil: Rio de Janeiro se met au pass sanitaire

AFP

La ville de Rio de Janeiro va exiger à partir du 1er septembre un pass sanitaire à l’entrée de divers lieux publics tels les endroits touristiques, a annoncé vendredi la municipalité confrontée à la progression du variant Delta du coronavirus.

Il faudra alors présenter un certificat de vaccination contre le Covid-19 pour se rendre dans les lieux touristiques, stades, salles de sport, cinémas, galeries d’art, théâtres, musées ou salles de conférence de la ville du sud-est du Brésil.

Mais les restaurants, bars et centres commerciaux ne sont pas concernés par cette mesure.

« Nous allons poser des difficultés à ceux qui ne veulent pas se faire vacciner », a expliqué le maire Eduardo Paes lors d’une conférence de presse.

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Si les Brésiliens devront présenter la preuve qu’ils ont reçu deux doses de vaccin, pour les étrangers un pass sanitaire international sera accepté, a ajouté l’édile.

Rio, ville de 6,8 millions d’habitants, « suit le modèle de pays où la vaccination avance, et enregistre une hausse des contaminations provoquée par le (variant) delta », a déclaré le secrétaire municipal à la Santé, Daniel Soranz.

La ville a enregistré plus de 30.000 morts depuis le début de la pandémie et se considère toujours « en risque élevé » même si plus de 87% de ses habitants de plus de 12 ans ont reçu une dose et 42% la seconde. 

Le pass sanitaire devrait aussi, selon le maire, motiver les quelque 200.000 primo-vaccinés qui ne sont pas revenus pour leur deuxième injection.

« Notre objectif est de protéger les personnes qui croient en la science (..) et faire que les autres se fassent vacciner », a lancé M. Paes, une pique à l’attention du président anti-vaccin Jair Bolsonaro.

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« Il est inconcevable que ceux qui se croient protégés sans se faire vacciner mènent une vie normale », a-t-il insisté.

Rio de Janeiro espère que la généralisation de la vaccination et bientôt une troisième dose pour les personnes les plus à risque permettront l’organisation d’événements de masse emblématiques de la « ville merveilleuse », tel son célèbre carnaval, en février 2022. La plus grande célébration de l’année avait été annulée l’an dernier.

Avec ses célèbres sites iconiques tels le Pain de sucre ou le Christ Rédempteur, Rio est la première destination touristique du Brésil. 

Le Brésil est le deuxième pays le plus endeuillé au monde par le Covid après les Etats-Unis, avec 577.000 morts. 

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International

Le gouvernement colombien exhorte l’ELN à cesser la violence dans le Catatumbo

La délégation du gouvernement colombien engagée dans les négociations de paix avec l’Armée de libération nationale (ELN) a demandé ce vendredi à la guérilla de mettre fin aux violences dans la région du Catatumbo, où elle affronte depuis le 16 janvier le Front 33 des dissidences des FARC dans un conflit sanglant.

« La société colombienne exige de l’ELN qu’elle cesse son agression contre la population civile du Catatumbo », a déclaré la délégation qui mène les pourparlers de paix avec ce groupe armé.

Depuis le 16 janvier, les affrontements entre l’ELN et le Front 33 des dissidences des FARC, dans cette région frontalière du Venezuela, ont causé entre 60 et 80 morts, selon les estimations de la Défenseure du peuple et du gouverneur de Norte de Santander. Par ailleurs, le nombre de déplacés dépasse les 50 000 personnes.

Les autorités n’ont toutefois pu récupérer que 47 corps en raison des conditions difficiles dans les zones rurales les plus reculées, où l’accès reste encore impossible.

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International

Les États-Unis rétablissent des programmes d’aide pour les migrants en Amérique latine

La directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope, a salué la poursuite des programmes d’aide aux migrants retournés, grâce à l’engagement des États-Unis à reprendre les activités humanitaires essentielles après l’approbation de plusieurs exemptions, faisant suite à la décision initiale de geler l’aide extérieure américaine.

« L’OIM accueille favorablement l’engagement des États-Unis à reprendre des activités humanitaires vitales, offrant ainsi une stabilité face aux défis complexes des déplacements », a déclaré Pope dans un communiqué envoyé ce vendredi à l’agence EFE.

Elle a souligné qu’en raison de la demande croissante d’assistance au retour en Amérique latine et aux Caraïbes, l’OIM intensifie ses efforts pour aider les migrants à rentrer chez eux, se réintégrer et reconstruire leur vie.

Pope a également indiqué que l’OIM a réactivé ses programmes régionaux de Retour Volontaire Assisté (RVA) au Mexique, au Guatemala, au Honduras et au Panama, afin d’offrir un soutien urgent aux migrants vulnérables qui ne peuvent ou ne souhaitent pas rester là où ils sont et ont besoin d’une assistance pour retourner dans leur pays en toute sécurité et dignité.

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International

La Colombie propose de financer le rapatriement de ses citoyens expulsés des États-Unis

Le gouvernement colombien s’est proposé de prendre en charge les frais de transport aérien et maritime de ses citoyens expulsés des États-Unis afin de garantir leur retour dans des conditions dignes, a annoncé le ministère des Affaires étrangères ce vendredi.

« Nous avons proposé à Mauricio Claver-Carone, envoyé spécial du président Donald Trump pour l’Amérique latine, d’assumer immédiatement le transfert de tous les citoyens expulsés par les États-Unis », indique un communiqué de presse. « Toutes les options de transport, aérien et maritime, sont actuellement en cours d’évaluation », précise le document.

Les conditions du retour des Colombiens ont provoqué une tension diplomatique ce week-end. Le président Gustavo Petro a dénoncé de prétendus mauvais traitements infligés à ses compatriotes et a interdit l’entrée sur le territoire de deux avions militaires américains, qui devaient atterrir dimanche avec plusieurs dizaines de Colombiens à bord.

En réponse, Donald Trump a imposé des tarifs douaniers et menacé de révoquer les visas des fonctionnaires du premier gouvernement de gauche en Colombie.

Cependant, l’incident diplomatique s’est calmé en quelques heures, après que la Maison-Blanche a assuré que la Colombie avait accepté ses conditions, conduisant ainsi Washington à annuler ses mesures de rétorsion.

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