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International

L’Equateur prévoit un projet photovoltaïque aux Galapagos

AFP

L’Equateur prévoit de créer une installation photovoltaïque de 14,8 mégawatts sur les îles Santa Cruz et Baltra des Galapagos, après l’attribution des travaux à l’entreprise privée Gransolar Total Eren, a annoncé dimanche le ministère de l’Énergie.

Le projet propose « l’installation de 14,8 MW de production photovoltaïque avec des batteries de 40,9 MWh (mégawattheures) dans les îles Santa Cruz et Baltra », a indiqué le ministre de l’Energie Juan Carlos Bermeo, cité dans un communiqué.

« Il sera exécuté grâce à un investissement de 63 millions de dollars, à 100% des capitaux privés », a-t-il précisé. 

Le gouvernement a attribué la concession du « Projet de micro-réseau d’énergies renouvelables Conolophus à l’association Gransolar Total Eren », selon le ministère.

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L’entreprise privée construira une sous-station d’interconnexion entre les deux îles et déploiera des lignes électriques entre les sous-stations Conolophus et Santa Cruz, a indiqué le ministère. 

Elle sera en charge de l’exploitation pendant 25 ans, selon le contrat de concession.

Ce projet fait partie de l’initiative Zero Fossil Fuels aux Galapagos. 

« Avec le démarrage de Conolophus, l’émission de 16.400 tonnes de CO2 par an dans l’environnement serait évitée », a affirmé le ministère. 

Santa Cruz, après Isabela, est la deuxième plus grande île de l’archipel des Galapagos et la plus habitée, avec environ 15.000 habitants. Baltra est séparée d’environ 150 mètres de Santa Cruz par le canal d’Itabaca.

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Les Galapagos, qui tirent leur nom des gigantesques tortues endémiques qui peuplent cet archipel, sont situées à 1.000 km au large de l’Équateur, dans le Pacifique Sud, et ont inspiré la théorie de l’évolution des espèces de l’Anglais Charles Darwin.

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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