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International

Les menaces visant l’aéroport de Kaboul restent « réelles » et « précises » (Pentagone)

AFP

Les menaces visant l’aéroport de Kaboul restent « réelles » et « précises », a déclaré lundi le porte-parole du Pentagone, John Kirby, à la veille de l’achèvement du retrait américain d’Afghanistan.

« Cette opération a toujours été dangereuse, mais nous sommes à un moment particulièrement dangereux », a souligné M. Kirby au cours d’un point de presse. « Les menaces sont encore réelles, actuelles et souvent précises. »

« Nous sommes en communication avec les talibans (…) pour nous assurer qu’il n’y a pas d’erreurs ou de malentendus », a-t-il ajouté, refusant de dire quand le retrait américain total, prévu mardi, serait effectif. 

Depuis l’attentat de jeudi aux abords de l’aéroport, revendiqué par l’État islamique au Khorasan (EI-K) et qui a fait plus d’une centaine de morts dont 13 militaires américains, l’armée américaine a dit avoir déjoué dimanche un attentat à la voiture piégée et contré lundi des tirs de roquettes sur l’aéroport de Kaboul.

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Le Pentagone a ouvert une enquête sur la frappe de dimanche, qui aurait, selon le Washington Post, tué 10 civils, y compris plusieurs enfants, tous membres d’une même famille.

« Nous enquêtons », a dit M. Kirby. « Si nous avons des informations vérifiables selon lesquelles nous aurions ôté la vie à des innocents, nous serons transparents ».

« Personne ne veut de ce genre de choses », a poursuivi le porte-parole du ministère américain de la Défense. Mais « il existait une menace très réelle, très spécifique et très imminente contre l’aéroport, nos forces sur cet aéroport et les civils autour de l’aéroport ».

Le général Hank Taylor a précisé que plus de 122.000 personnes avaient été évacuées d’Afghanistan depuis juillet, dont 5.400 Américains.

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International

Le gouvernement colombien exhorte l’ELN à cesser la violence dans le Catatumbo

La délégation du gouvernement colombien engagée dans les négociations de paix avec l’Armée de libération nationale (ELN) a demandé ce vendredi à la guérilla de mettre fin aux violences dans la région du Catatumbo, où elle affronte depuis le 16 janvier le Front 33 des dissidences des FARC dans un conflit sanglant.

« La société colombienne exige de l’ELN qu’elle cesse son agression contre la population civile du Catatumbo », a déclaré la délégation qui mène les pourparlers de paix avec ce groupe armé.

Depuis le 16 janvier, les affrontements entre l’ELN et le Front 33 des dissidences des FARC, dans cette région frontalière du Venezuela, ont causé entre 60 et 80 morts, selon les estimations de la Défenseure du peuple et du gouverneur de Norte de Santander. Par ailleurs, le nombre de déplacés dépasse les 50 000 personnes.

Les autorités n’ont toutefois pu récupérer que 47 corps en raison des conditions difficiles dans les zones rurales les plus reculées, où l’accès reste encore impossible.

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International

Les États-Unis rétablissent des programmes d’aide pour les migrants en Amérique latine

La directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope, a salué la poursuite des programmes d’aide aux migrants retournés, grâce à l’engagement des États-Unis à reprendre les activités humanitaires essentielles après l’approbation de plusieurs exemptions, faisant suite à la décision initiale de geler l’aide extérieure américaine.

« L’OIM accueille favorablement l’engagement des États-Unis à reprendre des activités humanitaires vitales, offrant ainsi une stabilité face aux défis complexes des déplacements », a déclaré Pope dans un communiqué envoyé ce vendredi à l’agence EFE.

Elle a souligné qu’en raison de la demande croissante d’assistance au retour en Amérique latine et aux Caraïbes, l’OIM intensifie ses efforts pour aider les migrants à rentrer chez eux, se réintégrer et reconstruire leur vie.

Pope a également indiqué que l’OIM a réactivé ses programmes régionaux de Retour Volontaire Assisté (RVA) au Mexique, au Guatemala, au Honduras et au Panama, afin d’offrir un soutien urgent aux migrants vulnérables qui ne peuvent ou ne souhaitent pas rester là où ils sont et ont besoin d’une assistance pour retourner dans leur pays en toute sécurité et dignité.

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International

La Colombie propose de financer le rapatriement de ses citoyens expulsés des États-Unis

Le gouvernement colombien s’est proposé de prendre en charge les frais de transport aérien et maritime de ses citoyens expulsés des États-Unis afin de garantir leur retour dans des conditions dignes, a annoncé le ministère des Affaires étrangères ce vendredi.

« Nous avons proposé à Mauricio Claver-Carone, envoyé spécial du président Donald Trump pour l’Amérique latine, d’assumer immédiatement le transfert de tous les citoyens expulsés par les États-Unis », indique un communiqué de presse. « Toutes les options de transport, aérien et maritime, sont actuellement en cours d’évaluation », précise le document.

Les conditions du retour des Colombiens ont provoqué une tension diplomatique ce week-end. Le président Gustavo Petro a dénoncé de prétendus mauvais traitements infligés à ses compatriotes et a interdit l’entrée sur le territoire de deux avions militaires américains, qui devaient atterrir dimanche avec plusieurs dizaines de Colombiens à bord.

En réponse, Donald Trump a imposé des tarifs douaniers et menacé de révoquer les visas des fonctionnaires du premier gouvernement de gauche en Colombie.

Cependant, l’incident diplomatique s’est calmé en quelques heures, après que la Maison-Blanche a assuré que la Colombie avait accepté ses conditions, conduisant ainsi Washington à annuler ses mesures de rétorsion.

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