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International

Le pape François se rendra prochainement en Grèce, à Chypre et à Malte

AFP

Le pape François a annoncé qu’il se rendra prochainement en Grèce, à Chypre et à Malte, confirmant aussi sa volonté d’assister à la conférence mondiale sur le climat (COP 26) de Glasgow, dans un entretien diffusé mercredi par la radio espagnole Cope.

« La Slovaquie est maintenant au programme, puis Chypre, la Grèce et Malte », a indiqué le souverain pontife, en réitérant sa propension à privilégier les petits pays européens depuis le début de son pontificat entamé en 2013.

Le pape a confirmé qu’il prononcera sans doute un discours, « déjà en préparation », devant la COP 26 à Glasgow en novembre. « En principe, le programme est que j’y aille. Tout dépendra de comment je me sens à ce moment là », a-t-il commenté. 

Interrogé sur son éventuel déplacement en Espagne en 2022 pour l’année sainte de Saint-Jacques-de-Compostelle, le pape argentin n’a pas exclu cette possibilité, mais il a pris le soin de préciser qu’il ne s’agirait pas alors d’une visite d’Etat. 

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Le pape s’était rendu ainsi à Strasbourg pour prononcer un discours devant le Parlement européen. 

« Je suis allé à Strasbourg mais je ne suis pas allé en France. Je suis allé à Strasbourg à cause de l’UE. Et si je vais à Santiago, je vais à Santiago, mais pas en Espagne, soyons clairs », a-t-il dit à la radio de l’épiscopat espagnol. 

François, adepte des « périphéries » et des communautés catholiques petites mais ferventes, a rappelé que son premier voyage en Europe s’était déroulé en Albanie. « D’abord, c’était l’Albanie et ensuite tous les pays étaient petits. Je voulais prendre cette option: d’abord vers les petits pays », a-t-il commenté.

Le pape avait déjà annoncé son voyage en Slovaquie, où il se rendra du 12 au 15 septembre, après un arrêt d’une demi-journée à Budapest où il présidera la messe de clôture du 52e Congrès eucharistique international.

Si son bref passage en Hongrie n’est pas une visite d’Etat, une double « rencontre » à huis clos est néanmoins prévue dès son arrivée, avec le président Janos Ader et le Premier ministre hongrois Viktor Orban, indique le programme officiel.

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Interrogé sur ce qu’il aimerait dire à Viktor Orban, aux antipodes de ses idées sur la question migratoire, le pape a semblé éluder la question: « je ne sais pas si je vais le rencontrer, je sais que les autorités du pays viendront m’accueillir ».

Il a toutefois rappelé sa démarche avec les responsables politiques, des rencontres sans « script préalable », en les regardant « dans les yeux ».

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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