Connect with us

International

Biden annonce un projet d’accord sur les émissions de méthane avant la COP26

AFP

A quelques semaines de la COP26, le président Biden a dévoilé vendredi un projet d’accord avec l’Union européenne sur la réduction des émissions de méthane, exhortant le monde à afficher « ses plus grandes ambitions » pour combattre le réchauffement climatique.

« Nous travaillons avec l’Union européenne et d’autres partenaires (…) sur une promesse mondiale de réduction des émissions de méthane d’au moins 30% d’ici 2030 par rapport aux niveaux de 2020 », a annoncé le président américain lors d’un sommet virtuel avec la présidente de la Commission européenne, le chef de l’ONU et les dirigeants de plusieurs grandes économies de la planète.

Cela « permettra non seulement de réduire la vitesse du réchauffement de la planète, mais générera également d’autres bénéfices très importants, notamment en matière de santé publique », a-t-il déclaré, qualifiant cet objectif d’ »ambitieux, mais réaliste ». 

Le Premier ministre britannique Boris Johnson, qui participait à la réunion, s’est engagé à ce que le Royaume-Uni soit un des premiers signataires de cet accord.

Advertisement
20250407_mh_renta_728x90
20250301_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Joe Biden a assuré que les Etats-Unis prenaient aussi d’autres mesures concrètes pour respecter leurs engagements de l’Accord de Paris, comme la promesse de réduire de 50-52% les émissions des gaz à effet de serre d’ici 2030 par rapport au niveau de 2005.

Mais il a déploré les phénomènes météorologiques extrêmes auxquels le monde doit déjà faire face en dépit de ces engagements, prenant pour exemple les récentes inondations et les incendies dévastateurs de cet été aux Etats-Unis.

Cela constitue une « alerte rouge pour l’humanité » et souligne « la nécessité pour nous tous d’agir immédiatement », a plaidé le président Biden.

« Nous devons venir à Glasgow avec nos plus grandes ambitions. Pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, le temps presse », a-t-il insisté.

Le mois dernier, le dernier rapport des scientifiques du Giec mettait en garde contre un risque d’atteindre le seuil de 1,5°C autour de 2030, dix ans plus tôt qu’estimé, menaçant l’humanité de nouveaux désastres sans précédent.

Advertisement
20250407_mh_renta_728x90
20250301_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Le locataire de la Maison Blanche a convoqué ce sommet virtuel — avec les absences notables du président chinois Xi Jinping et des leaders brésiliens et indiens —  afin de préparer au mieux la COP26 prévue en novembre.

Mais « sans des engagements concrets de la part de chaque pays dans cette pièce, l’objectif de limiter le réchauffement à 1,5°C nous échappera, ce qui serait un désastre », a alerté M. Biden.

Une quarantaine de dirigeants se réuniront aussi lors d’un sommet à huis clos le 20 septembre à la veille de l’ouverture officielle des débats de l’Assemblée générale des Nations unies à New York, soucieux de doper la mobilisation des Etats avant Glasgow.

« Notre objectif cette année est de renforcer les ambitions en se préparant à Glasgow », a-t-il assuré, « mais Glasgow n’est pas notre destination finale ».

Advertisement
20250407_mh_renta_728x90
20250301_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow
Continue Reading
Advertisement
20250407_mh_renta_300x250
20250301_vacunacion_vph-300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

Advertisement

20250407_mh_renta_728x90
20250301_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL

previous arrow
next arrow

« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

Advertisement

20250407_mh_renta_728x90
20250301_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL

previous arrow
next arrow

Continue Reading

International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

Advertisement

20250407_mh_renta_728x90
20250301_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL

previous arrow
next arrow

Continue Reading

International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

Continue Reading

Trending

News Central