Connect with us

International

Covid: un vaccin différent pour la dose de rappel semble plus efficace, selon l’EMA

AFP

L’administration d’une dose de rappel d’un vaccin contre le Covid-19 différent de celui reçu lors des premières injections pourrait susciter une réponse immunitaire plus forte qu’un rappel avec le même vaccin, a souligné jeudi le régulateur européen.

L’Agence européenne des médicaments (EMA), basée à La Haye, a indiqué qu’elle étudiait des données pour décider si elle s’alignerait sur une décision de l’Agence américaine des médicaments (FDA) qui a autorisé mercredi l’injection d’un vaccin différent pour la dose de rappel de celui utilisé pour les premières doses.

Les vaccins Pfizer-BioNTech, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca sont autorisés actuellement dans l’Union européenne. L’EMA a approuvé le principe d’une troisième dose de Pfizer/BioNTech pour les plus de 18 ans, laissant aux Etats le choix plus précis des populations éligibles.

« Nous constatons quelques résultats prometteurs dans des études qui confirment que cette approche suscite, avec certaines combinaisons de vaccins, une réponse immunitaire plus forte que lorsque le même vaccin est utilisé pour une injection supplémentaire », a déclaré lors d’une conférence de presse Marco Cavaleri, responsable de la stratégie vaccinale à l’EMA.

Advertisement
20241211_mh_noexigencia_dui_728x90
20240813_lechematerna_728x91
20240701_vacunacion_728x90
20231124_etesal_728x90_1
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
20230816_dgs_728x90
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
CEL
previous arrow
next arrow

Plusieurs pays ont approuvé une dose de rappel pour renforcer l’immunité des personnes vaccinées, qui semble baisser après plusieurs mois, bien qu’utilisant habituellement le même type de vaccin.

Une étude rendue publique aux Etats-Unis la semaine dernière a montré que les personnes ayant reçu le vaccin Johnson & Johnson qui, comme AstraZeneca utilise la technologie classique à vecteur viral, semblaient mieux protégées par une dose de rappel d’un vaccin à ARN messager comme Pfizer ou Moderna.

Les vaccins à ARN messager administrés en dose de rappel « semblent fonctionner beaucoup mieux » pour stimuler les défenses immunitaires « et sont capables de susciter une réponse immunitaire vraiment forte », a déclaré M. Cavaleri.

L’EMA doit également décider le 25 octobre si elle approuve les rappels avec le vaccin Moderna, a-t-il ajouté.

Une étude rendue publique jeudi par l’alliance Pfizer/BioNTech a indiqué qu’une troisième dose de leur vaccin est efficace à 95,6% contre les formes symptomatiques de la maladie.

Advertisement
20241211_mh_noexigencia_dui_728x90
20240813_lechematerna_728x91
20240701_vacunacion_728x90
20231124_etesal_728x90_1
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
20230816_dgs_728x90
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
CEL
previous arrow
next arrow

L’EMA compte décider dans les deux mois à venir si elle approuve le vaccin Pfizer/BioNTech pour les enfants âgés de 5 à 11 ans, après que les deux laboratoires lui eurent soumis leurs données la semaine dernière.

L’Agence doit également examiner la semaine prochaine un médicament anti-Covid à administration orale produit par le laboratoire pharmaceutique américain Merck, a indiqué M. Cavaleri.

Continue Reading
Advertisement
20241211_mh_noexigencia_dui_300x250
20240813_lechematerna_300x200_1
20240813_lechematerna_300x200_2
20240701_vacunacion_300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230816_dgs_300x250
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

International

Le gouvernement colombien exhorte l’ELN à cesser la violence dans le Catatumbo

La délégation du gouvernement colombien engagée dans les négociations de paix avec l’Armée de libération nationale (ELN) a demandé ce vendredi à la guérilla de mettre fin aux violences dans la région du Catatumbo, où elle affronte depuis le 16 janvier le Front 33 des dissidences des FARC dans un conflit sanglant.

« La société colombienne exige de l’ELN qu’elle cesse son agression contre la population civile du Catatumbo », a déclaré la délégation qui mène les pourparlers de paix avec ce groupe armé.

Depuis le 16 janvier, les affrontements entre l’ELN et le Front 33 des dissidences des FARC, dans cette région frontalière du Venezuela, ont causé entre 60 et 80 morts, selon les estimations de la Défenseure du peuple et du gouverneur de Norte de Santander. Par ailleurs, le nombre de déplacés dépasse les 50 000 personnes.

Les autorités n’ont toutefois pu récupérer que 47 corps en raison des conditions difficiles dans les zones rurales les plus reculées, où l’accès reste encore impossible.

Continue Reading

International

Les États-Unis rétablissent des programmes d’aide pour les migrants en Amérique latine

La directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope, a salué la poursuite des programmes d’aide aux migrants retournés, grâce à l’engagement des États-Unis à reprendre les activités humanitaires essentielles après l’approbation de plusieurs exemptions, faisant suite à la décision initiale de geler l’aide extérieure américaine.

« L’OIM accueille favorablement l’engagement des États-Unis à reprendre des activités humanitaires vitales, offrant ainsi une stabilité face aux défis complexes des déplacements », a déclaré Pope dans un communiqué envoyé ce vendredi à l’agence EFE.

Elle a souligné qu’en raison de la demande croissante d’assistance au retour en Amérique latine et aux Caraïbes, l’OIM intensifie ses efforts pour aider les migrants à rentrer chez eux, se réintégrer et reconstruire leur vie.

Pope a également indiqué que l’OIM a réactivé ses programmes régionaux de Retour Volontaire Assisté (RVA) au Mexique, au Guatemala, au Honduras et au Panama, afin d’offrir un soutien urgent aux migrants vulnérables qui ne peuvent ou ne souhaitent pas rester là où ils sont et ont besoin d’une assistance pour retourner dans leur pays en toute sécurité et dignité.

Continue Reading

International

La Colombie propose de financer le rapatriement de ses citoyens expulsés des États-Unis

Le gouvernement colombien s’est proposé de prendre en charge les frais de transport aérien et maritime de ses citoyens expulsés des États-Unis afin de garantir leur retour dans des conditions dignes, a annoncé le ministère des Affaires étrangères ce vendredi.

« Nous avons proposé à Mauricio Claver-Carone, envoyé spécial du président Donald Trump pour l’Amérique latine, d’assumer immédiatement le transfert de tous les citoyens expulsés par les États-Unis », indique un communiqué de presse. « Toutes les options de transport, aérien et maritime, sont actuellement en cours d’évaluation », précise le document.

Les conditions du retour des Colombiens ont provoqué une tension diplomatique ce week-end. Le président Gustavo Petro a dénoncé de prétendus mauvais traitements infligés à ses compatriotes et a interdit l’entrée sur le territoire de deux avions militaires américains, qui devaient atterrir dimanche avec plusieurs dizaines de Colombiens à bord.

En réponse, Donald Trump a imposé des tarifs douaniers et menacé de révoquer les visas des fonctionnaires du premier gouvernement de gauche en Colombie.

Cependant, l’incident diplomatique s’est calmé en quelques heures, après que la Maison-Blanche a assuré que la Colombie avait accepté ses conditions, conduisant ainsi Washington à annuler ses mesures de rétorsion.

Continue Reading

Trending

News Central