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International

Le président irakien renonce à participer à la COP26 (proche)

AFP

Le président irakien, dont le pays est l’un des plus vulnérables au changement climatique, a annulé sa participation à la COP26 « en raison de la situation politique et sécuritaire » dans son pays, a-t-on appris mardi auprès d’une source proche du chef de l’Etat.

Barham Saleh, dont la fonction est largement honorifique, devait prononcer un discours à Glasgow mardi, mais il a « annulé son déplacement », a indiqué à l’AFP cette source qui s’exprimait sous le couvert de l’anonymat. 

La décision a été prise « à la dernière minute en raison de l’évolution sécuritaire dans les provinces de Diyala et Kirkouk et de la crise politique liée aux élections législatives » du 10 octobre, a-t-elle ajouté.

A Diyala (est), 15 civils ont été tués la semaine dernière dans une attaque revendiquée par le groupe Etat islamique contre un village majoritairement chiite, une offensive rare par son ampleur dans cette zone où des cellules jihadistes sont toujours actives. 

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En représailles, des villageois ont attaqué un village voisin à majorité sunnite, faisant 11 morts.

Et dans la province de Kirkouk (nord), deux combattants kurdes ont été tués dans une attaque attribuée à l’EI samedi soir.

Au plan politique, plusieurs centaines de partisans de la coalition d’ex-paramilitaires pro-Iran du Hachd al-Chaabi ont entamé il y a deux semaines un sit-in à Bagdad pour protester contre « l’escroquerie » des législatives.

Les résultats définitifs n’ont pas encore été publiés mais selon des résultats préliminaires, la vitrine politique du Hachd, l’Alliance de la conquête, a vu le nombre de ses sièges fondre au Parlement. 

Le réchauffement climatique et la gestion de l’eau sont des questions ultra-sensibles pour l’Irak.

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Le pays est le cinquième pays le plus vulnérable au changement climatique, selon l’ONU. Largement désertique, l’Irak souffre de sécheresses à répétition et de l’abaissement du niveau des cours d’eau à cause de barrages construits en amont en Turquie et en Iran. 

Dans une tribune publiée lundi dans le Financial Times, Barham Saleh a estimé que la « lutte contre le changement climatique doit être une priorité nationale », mais qu’elle constituait aussi une « opportunité de diversifier l’économie irakienne en soutenant les énergies renouvelables ».

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International

Le gouvernement colombien exhorte l’ELN à cesser la violence dans le Catatumbo

La délégation du gouvernement colombien engagée dans les négociations de paix avec l’Armée de libération nationale (ELN) a demandé ce vendredi à la guérilla de mettre fin aux violences dans la région du Catatumbo, où elle affronte depuis le 16 janvier le Front 33 des dissidences des FARC dans un conflit sanglant.

« La société colombienne exige de l’ELN qu’elle cesse son agression contre la population civile du Catatumbo », a déclaré la délégation qui mène les pourparlers de paix avec ce groupe armé.

Depuis le 16 janvier, les affrontements entre l’ELN et le Front 33 des dissidences des FARC, dans cette région frontalière du Venezuela, ont causé entre 60 et 80 morts, selon les estimations de la Défenseure du peuple et du gouverneur de Norte de Santander. Par ailleurs, le nombre de déplacés dépasse les 50 000 personnes.

Les autorités n’ont toutefois pu récupérer que 47 corps en raison des conditions difficiles dans les zones rurales les plus reculées, où l’accès reste encore impossible.

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International

Les États-Unis rétablissent des programmes d’aide pour les migrants en Amérique latine

La directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope, a salué la poursuite des programmes d’aide aux migrants retournés, grâce à l’engagement des États-Unis à reprendre les activités humanitaires essentielles après l’approbation de plusieurs exemptions, faisant suite à la décision initiale de geler l’aide extérieure américaine.

« L’OIM accueille favorablement l’engagement des États-Unis à reprendre des activités humanitaires vitales, offrant ainsi une stabilité face aux défis complexes des déplacements », a déclaré Pope dans un communiqué envoyé ce vendredi à l’agence EFE.

Elle a souligné qu’en raison de la demande croissante d’assistance au retour en Amérique latine et aux Caraïbes, l’OIM intensifie ses efforts pour aider les migrants à rentrer chez eux, se réintégrer et reconstruire leur vie.

Pope a également indiqué que l’OIM a réactivé ses programmes régionaux de Retour Volontaire Assisté (RVA) au Mexique, au Guatemala, au Honduras et au Panama, afin d’offrir un soutien urgent aux migrants vulnérables qui ne peuvent ou ne souhaitent pas rester là où ils sont et ont besoin d’une assistance pour retourner dans leur pays en toute sécurité et dignité.

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International

La Colombie propose de financer le rapatriement de ses citoyens expulsés des États-Unis

Le gouvernement colombien s’est proposé de prendre en charge les frais de transport aérien et maritime de ses citoyens expulsés des États-Unis afin de garantir leur retour dans des conditions dignes, a annoncé le ministère des Affaires étrangères ce vendredi.

« Nous avons proposé à Mauricio Claver-Carone, envoyé spécial du président Donald Trump pour l’Amérique latine, d’assumer immédiatement le transfert de tous les citoyens expulsés par les États-Unis », indique un communiqué de presse. « Toutes les options de transport, aérien et maritime, sont actuellement en cours d’évaluation », précise le document.

Les conditions du retour des Colombiens ont provoqué une tension diplomatique ce week-end. Le président Gustavo Petro a dénoncé de prétendus mauvais traitements infligés à ses compatriotes et a interdit l’entrée sur le territoire de deux avions militaires américains, qui devaient atterrir dimanche avec plusieurs dizaines de Colombiens à bord.

En réponse, Donald Trump a imposé des tarifs douaniers et menacé de révoquer les visas des fonctionnaires du premier gouvernement de gauche en Colombie.

Cependant, l’incident diplomatique s’est calmé en quelques heures, après que la Maison-Blanche a assuré que la Colombie avait accepté ses conditions, conduisant ainsi Washington à annuler ses mesures de rétorsion.

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