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Un Russe, source d’un rapport controversé liant Trump à Moscou, arrêté aux Etats-Unis

AFP

Le ministère américain de la Justice a annoncé jeudi l’arrestation d’un analyste russe qui fut l’une des sources d’un ancien espion britannique ayant compilé pendant la campagne de 2016 des informations non vérifiées liant Donald Trump au Kremlin.

Igor Danchenko, 43 ans, a été inculpé de faux témoignage par un grand jury qui l’accuse d’avoir menti à des enquêteurs fédéraux à cinq reprises en 2017, au sujet « des sources de certaines informations qu’il a fournies » à l’ancien officier du MI6 Christopher Steele, selon un communiqué du ministère.

Interpellé jeudi matin, cet ancien consultant en affaires russes au sein du think tank Brookings Institution, doit être présenté dans la journée à une juge fédérale dans l’Etat de Virginie.

Les poursuites contre lui s’inscrivent dans le cadre d’une enquête menée par le procureur spécial John Durham, nommé à la fin du mandat de Donald Trump pour faire la lumière sur l’origine et la gestion par le FBI de « l’enquête russe ».

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Initiées lors de la campagne présidentielle de 2016, ces investigations tentaculaires sur une possible collusion entre le magnat de l’immobilier et la Russie ont toujours été dénoncées par Donald Trump comme une « chasse aux sorcières » orchestrée par ses adversaires.

Et pour lui, le « rapport Steele » a joué un rôle majeur dans cette saga.

Mandaté par le camp démocrate pendant la campagne pour l’élection américaine de 2016, Christopher Steele avait compilé des renseignements bruts non-vérifiés liant le candidat républicain à la Russie.

Son rapport, qui contenait des accusations salaces jamais confirmées et d’autres qui se sont avérées fausses, avait été publié par le site internet Buzzfeed dix jours avant l’investiture de Donald Trump en janvier 2017.

Le Britannique l’avait auparavant transmis au FBI, qui s’était appuyé sur certains passages pour mettre des proches du milliardaire républicain sous surveillance.

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Mais l’enquête de la police fédérale avait débuté auparavant, sur la base d’informations des services du renseignement.

En mai 2017, cette enquête avait été confiée au procureur spécial Robert Mueller qui, au terme de deux ans passés sur cette affaire, a conclu qu’il existait de nombreuses preuves d’ingérences russes dans la campagne électorale mais pas de « preuves suffisantes » d’une entente entre la Russie et l’entourage du candidat Trump.

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International

Le gouvernement colombien exhorte l’ELN à cesser la violence dans le Catatumbo

La délégation du gouvernement colombien engagée dans les négociations de paix avec l’Armée de libération nationale (ELN) a demandé ce vendredi à la guérilla de mettre fin aux violences dans la région du Catatumbo, où elle affronte depuis le 16 janvier le Front 33 des dissidences des FARC dans un conflit sanglant.

« La société colombienne exige de l’ELN qu’elle cesse son agression contre la population civile du Catatumbo », a déclaré la délégation qui mène les pourparlers de paix avec ce groupe armé.

Depuis le 16 janvier, les affrontements entre l’ELN et le Front 33 des dissidences des FARC, dans cette région frontalière du Venezuela, ont causé entre 60 et 80 morts, selon les estimations de la Défenseure du peuple et du gouverneur de Norte de Santander. Par ailleurs, le nombre de déplacés dépasse les 50 000 personnes.

Les autorités n’ont toutefois pu récupérer que 47 corps en raison des conditions difficiles dans les zones rurales les plus reculées, où l’accès reste encore impossible.

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International

Les États-Unis rétablissent des programmes d’aide pour les migrants en Amérique latine

La directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope, a salué la poursuite des programmes d’aide aux migrants retournés, grâce à l’engagement des États-Unis à reprendre les activités humanitaires essentielles après l’approbation de plusieurs exemptions, faisant suite à la décision initiale de geler l’aide extérieure américaine.

« L’OIM accueille favorablement l’engagement des États-Unis à reprendre des activités humanitaires vitales, offrant ainsi une stabilité face aux défis complexes des déplacements », a déclaré Pope dans un communiqué envoyé ce vendredi à l’agence EFE.

Elle a souligné qu’en raison de la demande croissante d’assistance au retour en Amérique latine et aux Caraïbes, l’OIM intensifie ses efforts pour aider les migrants à rentrer chez eux, se réintégrer et reconstruire leur vie.

Pope a également indiqué que l’OIM a réactivé ses programmes régionaux de Retour Volontaire Assisté (RVA) au Mexique, au Guatemala, au Honduras et au Panama, afin d’offrir un soutien urgent aux migrants vulnérables qui ne peuvent ou ne souhaitent pas rester là où ils sont et ont besoin d’une assistance pour retourner dans leur pays en toute sécurité et dignité.

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International

La Colombie propose de financer le rapatriement de ses citoyens expulsés des États-Unis

Le gouvernement colombien s’est proposé de prendre en charge les frais de transport aérien et maritime de ses citoyens expulsés des États-Unis afin de garantir leur retour dans des conditions dignes, a annoncé le ministère des Affaires étrangères ce vendredi.

« Nous avons proposé à Mauricio Claver-Carone, envoyé spécial du président Donald Trump pour l’Amérique latine, d’assumer immédiatement le transfert de tous les citoyens expulsés par les États-Unis », indique un communiqué de presse. « Toutes les options de transport, aérien et maritime, sont actuellement en cours d’évaluation », précise le document.

Les conditions du retour des Colombiens ont provoqué une tension diplomatique ce week-end. Le président Gustavo Petro a dénoncé de prétendus mauvais traitements infligés à ses compatriotes et a interdit l’entrée sur le territoire de deux avions militaires américains, qui devaient atterrir dimanche avec plusieurs dizaines de Colombiens à bord.

En réponse, Donald Trump a imposé des tarifs douaniers et menacé de révoquer les visas des fonctionnaires du premier gouvernement de gauche en Colombie.

Cependant, l’incident diplomatique s’est calmé en quelques heures, après que la Maison-Blanche a assuré que la Colombie avait accepté ses conditions, conduisant ainsi Washington à annuler ses mesures de rétorsion.

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