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International

Melania Trump se lance dans les NFT

AFP

Melania Trump investit à son tour le champ en expansion rapide des NFT, ces objets numériques authentifiés, en lançant une plateforme sur laquelle sont proposés à partir de jeudi des exemplaires numériques d’une aquarelle représentant ses yeux « bleu cobalt ».

L’épouse de Donald Trump se dit dans un communiqué « fière de ce nouveau projet NFT, qui incarne (sa) passion pour les arts et soutiendra son engagement à l’œuvre pour l’enfance ».

Seule « une partie des bénéfices », fraction non précisée dans le communiqué, ira à des projets d’aide à des enfants en foyers, visant à les initier à la programmation informatique.

Cette œuvre numérique, accompagnée d’un message audio « de paix » de l’ancienne Première dame des Etats-Unis, sera disponible à la vente jusqu’au 31 décembre 2021 au prix de 1 SOL, une cryptomonnaie qui s’échangeait autour de 185 dollars vers 10H00 (15H00 GMT) jeudi, selon le site spécialisé coinbase.com.

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L’aquarelle, intitulée « Melania’s Vision » (« Le regard de Melania »), a été produite par l’artiste français Marc-Antoine Coulon, un illustrateur de mode ayant collaboré, selon son site internet, avec des magazines tels que Vogue, Vanity Fair ou ELLE.

« +Melanias’s Vision+ est une aquarelle à couper le souffle de Marc-Antoine Coulon et représente les yeux bleu cobalt de Mme Trump, fournissant au collectionneur une amulette qui suscite l’inspiration », s’enthousiasme le communiqué.

Les NFT (pour « jetons non fongibles ») sont des certificats d’authenticité associés à un objet virtuel qu’ils rendent ainsi unique. Quasiment inconnus voici encore un an, ils représentent pour certains la nouvelle poule aux œufs d’or du marché de l’art contemporain.

L’ancienne Première dame annonce qu’elle proposera des NFT « à intervalles réguliers » sur sa plateforme et indique qu’une vente aux enchères aura lieu en janvier 2022, au cours de laquelle les collectionneurs pourront acquérir un lot comprenant une œuvre numérique, une œuvre physique et un « accessoire unique en son genre ».

Les ventes se feront sur une plateforme alimentée par le réseau social Parler, prisé des conservateurs et brièvement mis hors-ligne après l’assaut du Capitole de Washington le 6 janvier par des partisans de Donald Trump.

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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