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International

Brésil: feu vert pour la vaccination des 5-11 ans avec Pfizer

AFP

Le régulateur sanitaire brésilien Anvisa a approuvé jeudi l’utilisation du vaccin Pfizer-BioNTech contre le Covid-19 pour des enfants de 5 à 11 ans, comme l’ont fait récemment d’autres pays à travers le monde.

Cette approbation ne signifie pas toutefois que les enfants pourront être vaccinés dans l’immédiat. 

Pour cela, le ministère de la Santé doit d’abord décider s’il va acquérir des doses spéciales pour les enfants (un tiers du dosage d’un adulte) et s’il va inclure cette tranche d’âge dans son plan national d’immunisation.

« La vaccination collective réduit la transmission du SARS-CoV-2 pour cette tranche d’âge et réduit par conséquent la transmission des enfants aux adolescents, aux adultes et aux personnes âgées », a argumenté Meiruze Freitas, directrice de l’Anvisa, au moment d’annoncer sa décision.

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« Les enfants pourront donc être éligibles à la vaccination dès l’âge de cinq ans », a-t-elle ajouté.

La pandémie a fait plus de 617.000 morts au Brésil, deuxième pays le plus endeuillé au monde après les Etats-Unis.

Mais le nombre de décès et de nouvelles contaminations a fortement baissé ces derniers mois, grâce à l’avancée de la vaccination, qui concerne à ce jour la population à partir de 12 ans.

Près de 66% de la population de cet immense pays de 213 millions d’habitants a été totalement immunisée.

– Bolsonaro veut des noms –

La campagne de vaccination avait pourtant débuté tardivement et de façon chaotique, tandis que le président d’extrême droite Jair Bolsonaro multipliait les critiques contre les vaccins.

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Il a d’ailleurs réagi jeudi en affirmant qu’il avait demandé « officieusement » le nom des personnes ayant approuvé la vaccination des enfants, et que les parents « ont la responsabilité » de lire la note dans laquelle l’Anvisa mentionne d’éventuelles contre-indications après l’injection.

« Vous avez le droit de connaître le nom des personnes qui ont approuvé le vaccin pour vos enfants. Vous décidez si ça vaut la peine ou pas », a-t-il déclaré dans son émission hebdomadaire sur les réseaux sociaux.

Le chef de l’Etat, qui a toujours refusé de se faire vacciner, avait déclaré par le passé sur un ton ironique que le vaccin de Pfizer pourrait « transformer (les gens) en crocodile » à cause d’éventuels effets secondaires.

En donnant le feu vert à la vaccination des enfants à partir de 5 ans, le Brésil rejoint notamment le Canada, les Etats-Unis, Israël, le Chili, le Portugal, l’Italie ou la Grèce.

En France, seule la vaccination des enfants risquant de développer des formes graves a été approuvée, mais le gouvernement a dit envisager de l’élargir « à tous les enfants » sur la base du « volontariat ».

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International

Le gouvernement colombien exhorte l’ELN à cesser la violence dans le Catatumbo

La délégation du gouvernement colombien engagée dans les négociations de paix avec l’Armée de libération nationale (ELN) a demandé ce vendredi à la guérilla de mettre fin aux violences dans la région du Catatumbo, où elle affronte depuis le 16 janvier le Front 33 des dissidences des FARC dans un conflit sanglant.

« La société colombienne exige de l’ELN qu’elle cesse son agression contre la population civile du Catatumbo », a déclaré la délégation qui mène les pourparlers de paix avec ce groupe armé.

Depuis le 16 janvier, les affrontements entre l’ELN et le Front 33 des dissidences des FARC, dans cette région frontalière du Venezuela, ont causé entre 60 et 80 morts, selon les estimations de la Défenseure du peuple et du gouverneur de Norte de Santander. Par ailleurs, le nombre de déplacés dépasse les 50 000 personnes.

Les autorités n’ont toutefois pu récupérer que 47 corps en raison des conditions difficiles dans les zones rurales les plus reculées, où l’accès reste encore impossible.

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International

Les États-Unis rétablissent des programmes d’aide pour les migrants en Amérique latine

La directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope, a salué la poursuite des programmes d’aide aux migrants retournés, grâce à l’engagement des États-Unis à reprendre les activités humanitaires essentielles après l’approbation de plusieurs exemptions, faisant suite à la décision initiale de geler l’aide extérieure américaine.

« L’OIM accueille favorablement l’engagement des États-Unis à reprendre des activités humanitaires vitales, offrant ainsi une stabilité face aux défis complexes des déplacements », a déclaré Pope dans un communiqué envoyé ce vendredi à l’agence EFE.

Elle a souligné qu’en raison de la demande croissante d’assistance au retour en Amérique latine et aux Caraïbes, l’OIM intensifie ses efforts pour aider les migrants à rentrer chez eux, se réintégrer et reconstruire leur vie.

Pope a également indiqué que l’OIM a réactivé ses programmes régionaux de Retour Volontaire Assisté (RVA) au Mexique, au Guatemala, au Honduras et au Panama, afin d’offrir un soutien urgent aux migrants vulnérables qui ne peuvent ou ne souhaitent pas rester là où ils sont et ont besoin d’une assistance pour retourner dans leur pays en toute sécurité et dignité.

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International

La Colombie propose de financer le rapatriement de ses citoyens expulsés des États-Unis

Le gouvernement colombien s’est proposé de prendre en charge les frais de transport aérien et maritime de ses citoyens expulsés des États-Unis afin de garantir leur retour dans des conditions dignes, a annoncé le ministère des Affaires étrangères ce vendredi.

« Nous avons proposé à Mauricio Claver-Carone, envoyé spécial du président Donald Trump pour l’Amérique latine, d’assumer immédiatement le transfert de tous les citoyens expulsés par les États-Unis », indique un communiqué de presse. « Toutes les options de transport, aérien et maritime, sont actuellement en cours d’évaluation », précise le document.

Les conditions du retour des Colombiens ont provoqué une tension diplomatique ce week-end. Le président Gustavo Petro a dénoncé de prétendus mauvais traitements infligés à ses compatriotes et a interdit l’entrée sur le territoire de deux avions militaires américains, qui devaient atterrir dimanche avec plusieurs dizaines de Colombiens à bord.

En réponse, Donald Trump a imposé des tarifs douaniers et menacé de révoquer les visas des fonctionnaires du premier gouvernement de gauche en Colombie.

Cependant, l’incident diplomatique s’est calmé en quelques heures, après que la Maison-Blanche a assuré que la Colombie avait accepté ses conditions, conduisant ainsi Washington à annuler ses mesures de rétorsion.

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