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International

Une deuxième capsule temporelle découverte sous une statue confédérée américaine

AFP

Une capsule temporelle a été découverte lundi dans le socle d’une statue d’un général confédéré déboulonnée en septembre, relançant les espoirs de découvrir une photo d’Abraham Lincoln très attendue par les collectionneurs.

« Ils l’ont trouvée! », a tweeté le gouverneur de Virginie Ralph Northam, une semaine après l’ouverture d’une première capsule qui avait déçu les experts.

« C’est vraisemblablement la capsule temporelle que tout le monde cherchait », a-t-il ajouté lundi, joignant à son message des photos d’une boîte rectangulaire en métal d’une trentaine de centimètres de long.

La boîte sera ouverte mardi à 13H00 (18H00 GMT), a-t-il encore précisé plus tard, indiquant que la capsule avait été passée aux rayons X.

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« Les experts pensent qu’il pourrait s’y trouver des pièces de monnaie, des livres, des insignes et même des munitions de la Guerre civile », a-t-il tweeté.

Une capsule témoin est un réceptacle contenant des objets ou documents représentatifs d’une époque, destinés aux générations futures.

Elle a été trouvée sous le socle de l’imposante statue équestre du général Robert Lee, chef de l’armée confédérée qui a notamment défendu l’esclavage pendant la guerre de Sécession (1861-1865), inaugurée en 1890 à Richmond, l’ex-capitale des sécessionnistes située en Virginie.

Vue comme un symbole du passé esclavagiste du pays par de nombreux Américains, la statue a été déboulonnée en septembre, dans un contexte de remise en cause des monuments confédérés.

Une fois la statue démontée, des experts ont entamé la recherche dans son socle d’une mystérieuse capsule temporelle placée là en 1887, qui devait contenir des reliques de la guerre de Sécession, comme des boutons ou des balles, de la monnaie confédérée, une bible, mais surtout une photo montrant le président Abraham Lincoln dans son cercueil, un cliché présenté comme une bombe historique, susceptible d’affoler le marché des collectionneurs.

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Une première boîte avait été exhumée, puis ouverte avec soin, mais elle ne contenait que trois livres et une enveloppe en tissu avec une photographie, tous endommagés par l’eau, ainsi qu’une pièce de monnaie d’origine inconnue.

Cette capsule semble avoir été placée dans le socle par travailleurs ayant participé à l’érection de la statue.

L’un des ouvrages était un guide pour les astronomes et les navigateurs datant de 1875.

Mais un autre semblait avoir été publié en 1889, soit deux ans après l’enterrement supposé de la capsule, laissant penser qu’un autre réceptacle de ce type pouvait se trouver sous le socle.

La statue du général Lee à Richmond était devenue la cible de manifestations anti-racistes après la mort en mai 2020 de George Floyd, Afro-Américain asphyxié sous le genou d’un policier blanc à Minneapolis, et la montée du mouvement Black Lives Matter.

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Pendant la guerre de Sécession, le Sud confédéré a combattu pour le maintien de l’esclavage, aboli durant le conflit dans le reste du pays.

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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