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International

Argentine: cas de Covid toujours plus hauts, la barre des 100.000 par jour franchie

AFP

L’Argentine continue d’enregistrer une hausse vertigineuse du nombre de personnes positives au Covid, avec un record de 109.608 nouveaux cas jeudi, l’une des plus fortes progressions du virus en Amérique latine ces dernières semaines.

Pour la première fois depuis de début de la pandémie, l’Argentine a franchi la barre des 100.000 nouveaux cas en 24 heures, selon les chiffres du ministère de la Santé. Le précédent record de 95.000 datait de mercredi, et battait celui de 80.000 mardi qui était le double de lundi.

Par rapport aux chiffres qui prévalaient encore mi-décembre –autour de 5.000 nouveaux cas quotidiens– le nombre de nouvelles personnes contaminées chaque jour a été multiplié par plus de 20. 

Sur les sept derniers jours, le nombre de nouveaux cas a augmenté de 155% par rapport aux sept jours précédents, selon un décompte de l’AFP à partir des données officielles.

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Comme dans d’autres pays touchés par le variant Omicron, l’augmentation spectaculaire du nombre de cas se traduit en Argentine par une forte pression sur les centres de test, où plusieurs personnes exprimaient jeudi le sentiment d’une tardive prise de conscience de la menace.

« Je crois qu’il faudrait prendre certaines mesures, il me semble que tout est bien libre, et les gens ne font pas bien attention », se plaignait à l’AFP Sol Castano, une étudiante de 21 ans, dans une file d’attente d’un centre de test de Buenos Aires. « Maintenant on commence à voir plus de masques, plus de gens qui font attention à eux, mais il y a deux semaines, c’était comme s’il n’y avait pas de pandémie ».

Le taux d’occupation des unités de soins intensifs, quoi qu’en légère hausse, restait relatif, à 37,5% jeudi (contre 35,9% mardi), selon le bulletin du ministère.

Quarante décès liés au Covid ont été enregistrés au cours des dernières 24 heures, contre 52 mercredi, 49 mardi, très loin des décès quotidiens –autour de 500– qui étaient relevés au plus fort de la pandémie, fin mai.

Depuis le 1er janvier, un passe sanitaire pour les plus de 13 ans est aussi entré en vigueur, sur fond de vacances (janvier-février) de l’été austral. Il faut un schéma complet de vaccination pour participer à tout rassemblement de masse, y compris en extérieur, ou à des activités culturelles, sportives, religieuses en espace clos. 

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Un peu plus de 73% des 45 millions d’Argentins ont reçu deux doses de vaccin, et près de 15% une dose de rappel. 

Depuis le début de la pandémie, plus de 6 millions ont contracté le virus, pour au moins 117.386 décès.

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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