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International

Tigré: Le chef de l’ONU exprime sa tristesse après l’annonce d’une frappe aérienne meurtrière

AFP

Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres s’est dit « profondément attristé » par des informations faisant état d’une attaque aérienne meurtrière samedi dans la région éthiopienne du Tigré, a indiqué lundi son porte-parole.

Les rebelles tigréens ont accusé samedi le gouvernement éthiopien d’avoir mené une attaque de drone ayant tué selon eux 56 personnes dans un camp de déplacés, tandis qu’un responsable du principal hôpital de la région a fait état de 55 morts et 126 blessés.

Les organisations humanitaires ont suspendu leurs activités dans le nord-ouest du Tigré après cette attaque, a annoncé dimanche l’ONU.

L’attaque a eu lieu quelques heures après l’annonce par le gouvernement éthiopien d’une amnistie de plusieurs hauts responsables du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF) et d’autres dirigeants de l’opposition, lançant un appel à la « réconciliation nationale ».

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« Le secrétaire général (de l’ONU) est profondément attristé par les informations selon lesquelles plus de 50 civils ont été tués et blessés lors d’une frappe aérienne dans le nord de l’Ethiopie à minuit le 7 janvier », a déclaré son porte-parole Stéphane Dujarric dans un communiqué.

« Les Nations unies et leurs partenaires humanitaires travaillent avec les autorités pour mobiliser rapidement une aide d’urgence dans la région, malgré les difficultés persistantes liées à de graves pénuries de carburant, d’argent et de fournitures à travers le Tigré », a-t-il ajouté.

« Le secrétaire général est profondément préoccupé par l’impact que le conflit continue à avoir sur les civils en Ethiopie. Il exprime ses sincères condoléances aux victimes et à leurs familles », a ajouté le porte-parole.

L’AFP n’ a pas été en mesure de vérifier ces affirmations de manière indépendante, l’accès au Tigré étant très restreint et les communications coupées dans cette région. Les responsables du gouvernement éthiopien n’ont pas répondu aux sollicitations de l’AFP concernant cette attaque.

Cette dernière s’est produite quelques jours après un autre raid aérien au Tigré qui a causé la mort de trois réfugiés érythréens dont deux enfants, avait rapporté l’ONU la semaine dernière.

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Le conflit au Tigré, peuplé de six millions d’habitants, a fait des milliers de morts et la région, soumise à ce que les Nations unies qualifient de « blocus de facto » de l’aide humanitaire, manque de nourriture et de médicaments.

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International

Le gouvernement colombien exhorte l’ELN à cesser la violence dans le Catatumbo

La délégation du gouvernement colombien engagée dans les négociations de paix avec l’Armée de libération nationale (ELN) a demandé ce vendredi à la guérilla de mettre fin aux violences dans la région du Catatumbo, où elle affronte depuis le 16 janvier le Front 33 des dissidences des FARC dans un conflit sanglant.

« La société colombienne exige de l’ELN qu’elle cesse son agression contre la population civile du Catatumbo », a déclaré la délégation qui mène les pourparlers de paix avec ce groupe armé.

Depuis le 16 janvier, les affrontements entre l’ELN et le Front 33 des dissidences des FARC, dans cette région frontalière du Venezuela, ont causé entre 60 et 80 morts, selon les estimations de la Défenseure du peuple et du gouverneur de Norte de Santander. Par ailleurs, le nombre de déplacés dépasse les 50 000 personnes.

Les autorités n’ont toutefois pu récupérer que 47 corps en raison des conditions difficiles dans les zones rurales les plus reculées, où l’accès reste encore impossible.

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International

Les États-Unis rétablissent des programmes d’aide pour les migrants en Amérique latine

La directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope, a salué la poursuite des programmes d’aide aux migrants retournés, grâce à l’engagement des États-Unis à reprendre les activités humanitaires essentielles après l’approbation de plusieurs exemptions, faisant suite à la décision initiale de geler l’aide extérieure américaine.

« L’OIM accueille favorablement l’engagement des États-Unis à reprendre des activités humanitaires vitales, offrant ainsi une stabilité face aux défis complexes des déplacements », a déclaré Pope dans un communiqué envoyé ce vendredi à l’agence EFE.

Elle a souligné qu’en raison de la demande croissante d’assistance au retour en Amérique latine et aux Caraïbes, l’OIM intensifie ses efforts pour aider les migrants à rentrer chez eux, se réintégrer et reconstruire leur vie.

Pope a également indiqué que l’OIM a réactivé ses programmes régionaux de Retour Volontaire Assisté (RVA) au Mexique, au Guatemala, au Honduras et au Panama, afin d’offrir un soutien urgent aux migrants vulnérables qui ne peuvent ou ne souhaitent pas rester là où ils sont et ont besoin d’une assistance pour retourner dans leur pays en toute sécurité et dignité.

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International

La Colombie propose de financer le rapatriement de ses citoyens expulsés des États-Unis

Le gouvernement colombien s’est proposé de prendre en charge les frais de transport aérien et maritime de ses citoyens expulsés des États-Unis afin de garantir leur retour dans des conditions dignes, a annoncé le ministère des Affaires étrangères ce vendredi.

« Nous avons proposé à Mauricio Claver-Carone, envoyé spécial du président Donald Trump pour l’Amérique latine, d’assumer immédiatement le transfert de tous les citoyens expulsés par les États-Unis », indique un communiqué de presse. « Toutes les options de transport, aérien et maritime, sont actuellement en cours d’évaluation », précise le document.

Les conditions du retour des Colombiens ont provoqué une tension diplomatique ce week-end. Le président Gustavo Petro a dénoncé de prétendus mauvais traitements infligés à ses compatriotes et a interdit l’entrée sur le territoire de deux avions militaires américains, qui devaient atterrir dimanche avec plusieurs dizaines de Colombiens à bord.

En réponse, Donald Trump a imposé des tarifs douaniers et menacé de révoquer les visas des fonctionnaires du premier gouvernement de gauche en Colombie.

Cependant, l’incident diplomatique s’est calmé en quelques heures, après que la Maison-Blanche a assuré que la Colombie avait accepté ses conditions, conduisant ainsi Washington à annuler ses mesures de rétorsion.

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