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International

Brésil: les défilés du carnaval de Rio de Janeiro reportés en avril pour cause de pandémie (officiel)

AFP

Les défilés du carnaval de Rio de Janeiro et de Sao Paulo, prévus fin février, ont été reportés à avril en raison de la nouvelle vague de Covid-19, ont indiqué vendredi les autorités.

La nouvelle date prévue est celle du 21 avril, qui marque le début d’un long week-end férié.

« Les mairies de Rio de Janeiro et de Sao Paulo ont décidé de reporter les défilés des écoles de samba » pour la fin avril, « en raison de la situation actuelle de la pandémie au Brésil et de la nécessité de préserver des vies », ont annoncé dans un communiqué les autorités des deux plus grandes villes brésiliennes.

La décision de reporter les défilés du sambadrome de Rio, qui attirent des touristes du monde entier, ainsi que ceux de Sao Paulo, a été annoncée après une rencontre virtuelle entre les maires, leurs secrétaires à la Santé et les représentants des écoles de samba des deux Etats.

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Le Brésil, deuxième pays le plus touché au monde par la pandémie avec plus de 622.000 décès, a battu cette semaine son record quotidien d’infections avec 204.854 nouveaux cas enregistrés en une journée.

« C’est un report nécessaire, nous aurons beaucoup plus de sécurité pour réaliser (le carnaval) fin avril », a déclaré le secrétaire à la Santé de Rio de Janeiro, Daniel Soranz.

« En suivant la courbe de la pandémie dans les autres pays, nous pensons qu’il est très difficile que la vague actuelle se prolonge jusqu’à avril », a-t-il ajouté.

Les ligues représentant les écoles de samba de Rio et Sao Paulo ont déclaré appuyer la décision des autorités.

« C’est la bonne attitude, elle a le plein soutien des écoles de samba et nous espérons que le 21 avril nous pourrons avoir une fête pleine d’allégresse comme le carnaval l’exige », a déclaré Sideni Carriuolo, président de la ligue des écoles de samba de Sao Paulo, qui a assisté aux discussions avec les autorités.

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Les écoles de samba, des organisations de quartier qui comptent jusqu’à 4.000 membres chacune, passent des mois à préparer leurs défilés composés de carrosses sophistiqués, de milliers de costumes fabriqués à la main, avec des danseurs et musiciens répétant pendant des mois pour briller devant les jurés du Sambadrome.

Le carnaval de rue dans les deux villes avait déjà été annulé au début du mois en raison de la situation sanitaire.

Le Brésil a vacciné près de 70% de ses 213 millions d’habitants avec deux doses de vaccin contre le Covid-19.

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International

Le gouvernement colombien exhorte l’ELN à cesser la violence dans le Catatumbo

La délégation du gouvernement colombien engagée dans les négociations de paix avec l’Armée de libération nationale (ELN) a demandé ce vendredi à la guérilla de mettre fin aux violences dans la région du Catatumbo, où elle affronte depuis le 16 janvier le Front 33 des dissidences des FARC dans un conflit sanglant.

« La société colombienne exige de l’ELN qu’elle cesse son agression contre la population civile du Catatumbo », a déclaré la délégation qui mène les pourparlers de paix avec ce groupe armé.

Depuis le 16 janvier, les affrontements entre l’ELN et le Front 33 des dissidences des FARC, dans cette région frontalière du Venezuela, ont causé entre 60 et 80 morts, selon les estimations de la Défenseure du peuple et du gouverneur de Norte de Santander. Par ailleurs, le nombre de déplacés dépasse les 50 000 personnes.

Les autorités n’ont toutefois pu récupérer que 47 corps en raison des conditions difficiles dans les zones rurales les plus reculées, où l’accès reste encore impossible.

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International

Les États-Unis rétablissent des programmes d’aide pour les migrants en Amérique latine

La directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope, a salué la poursuite des programmes d’aide aux migrants retournés, grâce à l’engagement des États-Unis à reprendre les activités humanitaires essentielles après l’approbation de plusieurs exemptions, faisant suite à la décision initiale de geler l’aide extérieure américaine.

« L’OIM accueille favorablement l’engagement des États-Unis à reprendre des activités humanitaires vitales, offrant ainsi une stabilité face aux défis complexes des déplacements », a déclaré Pope dans un communiqué envoyé ce vendredi à l’agence EFE.

Elle a souligné qu’en raison de la demande croissante d’assistance au retour en Amérique latine et aux Caraïbes, l’OIM intensifie ses efforts pour aider les migrants à rentrer chez eux, se réintégrer et reconstruire leur vie.

Pope a également indiqué que l’OIM a réactivé ses programmes régionaux de Retour Volontaire Assisté (RVA) au Mexique, au Guatemala, au Honduras et au Panama, afin d’offrir un soutien urgent aux migrants vulnérables qui ne peuvent ou ne souhaitent pas rester là où ils sont et ont besoin d’une assistance pour retourner dans leur pays en toute sécurité et dignité.

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International

La Colombie propose de financer le rapatriement de ses citoyens expulsés des États-Unis

Le gouvernement colombien s’est proposé de prendre en charge les frais de transport aérien et maritime de ses citoyens expulsés des États-Unis afin de garantir leur retour dans des conditions dignes, a annoncé le ministère des Affaires étrangères ce vendredi.

« Nous avons proposé à Mauricio Claver-Carone, envoyé spécial du président Donald Trump pour l’Amérique latine, d’assumer immédiatement le transfert de tous les citoyens expulsés par les États-Unis », indique un communiqué de presse. « Toutes les options de transport, aérien et maritime, sont actuellement en cours d’évaluation », précise le document.

Les conditions du retour des Colombiens ont provoqué une tension diplomatique ce week-end. Le président Gustavo Petro a dénoncé de prétendus mauvais traitements infligés à ses compatriotes et a interdit l’entrée sur le territoire de deux avions militaires américains, qui devaient atterrir dimanche avec plusieurs dizaines de Colombiens à bord.

En réponse, Donald Trump a imposé des tarifs douaniers et menacé de révoquer les visas des fonctionnaires du premier gouvernement de gauche en Colombie.

Cependant, l’incident diplomatique s’est calmé en quelques heures, après que la Maison-Blanche a assuré que la Colombie avait accepté ses conditions, conduisant ainsi Washington à annuler ses mesures de rétorsion.

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