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International

Venezuela: 12 heures pour recueillir 4,2 millions de signatures contre Maduro

AFP

L’autorité électorale du Venezuela a donné 12 heures mercredi prochain aux promoteurs d’un référendum révocatoire contre le président Nicolas Maduro pour recueillir les plus de 4,2 millions de signatures nécessaires à l’organisation d’une telle consultation.

La collecte des signatures sera organisée « le 26 janvier, entre 6h00 et 18h00, dans 1.200 centres » à travers le pays, a annoncé vendredi soir le Conseil national électoral (CNE) sur Twitter.

Les organisations d’opposition, qui ont lancé lundi la procédure pour un référendum révocatoire contre le mandat du président socialiste (2019-2025), devront recueillir un nombre de signatures équivalant à 20% des électeurs inscrits à Caracas et dans chacun des 23 États du pays, soit au total plus de 4,2 millions de signatures sur 20,9 millions d’électeurs.

Si une seule région n’atteint pas la barre des 20%, l’ensemble de la procédure sera annulée.

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« De quoi as-tu peur, Maduro? Tu n’autorises même pas quelques signatures (…) La dictature ne soigne même pas la forme », s’est indigné sur Twitter le chef de l’opposition Juan Guaido.

« C’est une bouffonnerie d’annoncer (…) 1.200 centres de collecte pour que 20 millions de citoyens puissent exercer leur droit. C’est comme mettre 1.000 litres d’eau dans un récipient de 5 litres », a critiqué César Pérez Vivas, l’un des promoteurs du référendum contre Maduro.

L’opposition vénézuélienne a déjà tenté sans succès en 2016 de réclamer un référendum révocatoire contre le premier mandat de Nicolas Maduro (2013-2019). Il avait été réélu en 2018 lors d’un scrutin qualifié de « fraude » par ses opposants et rejeté par les États-Unis, l’Union européenne et plusieurs pays d’Amérique latine.

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International

Le gouvernement colombien exhorte l’ELN à cesser la violence dans le Catatumbo

La délégation du gouvernement colombien engagée dans les négociations de paix avec l’Armée de libération nationale (ELN) a demandé ce vendredi à la guérilla de mettre fin aux violences dans la région du Catatumbo, où elle affronte depuis le 16 janvier le Front 33 des dissidences des FARC dans un conflit sanglant.

« La société colombienne exige de l’ELN qu’elle cesse son agression contre la population civile du Catatumbo », a déclaré la délégation qui mène les pourparlers de paix avec ce groupe armé.

Depuis le 16 janvier, les affrontements entre l’ELN et le Front 33 des dissidences des FARC, dans cette région frontalière du Venezuela, ont causé entre 60 et 80 morts, selon les estimations de la Défenseure du peuple et du gouverneur de Norte de Santander. Par ailleurs, le nombre de déplacés dépasse les 50 000 personnes.

Les autorités n’ont toutefois pu récupérer que 47 corps en raison des conditions difficiles dans les zones rurales les plus reculées, où l’accès reste encore impossible.

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International

Les États-Unis rétablissent des programmes d’aide pour les migrants en Amérique latine

La directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope, a salué la poursuite des programmes d’aide aux migrants retournés, grâce à l’engagement des États-Unis à reprendre les activités humanitaires essentielles après l’approbation de plusieurs exemptions, faisant suite à la décision initiale de geler l’aide extérieure américaine.

« L’OIM accueille favorablement l’engagement des États-Unis à reprendre des activités humanitaires vitales, offrant ainsi une stabilité face aux défis complexes des déplacements », a déclaré Pope dans un communiqué envoyé ce vendredi à l’agence EFE.

Elle a souligné qu’en raison de la demande croissante d’assistance au retour en Amérique latine et aux Caraïbes, l’OIM intensifie ses efforts pour aider les migrants à rentrer chez eux, se réintégrer et reconstruire leur vie.

Pope a également indiqué que l’OIM a réactivé ses programmes régionaux de Retour Volontaire Assisté (RVA) au Mexique, au Guatemala, au Honduras et au Panama, afin d’offrir un soutien urgent aux migrants vulnérables qui ne peuvent ou ne souhaitent pas rester là où ils sont et ont besoin d’une assistance pour retourner dans leur pays en toute sécurité et dignité.

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International

La Colombie propose de financer le rapatriement de ses citoyens expulsés des États-Unis

Le gouvernement colombien s’est proposé de prendre en charge les frais de transport aérien et maritime de ses citoyens expulsés des États-Unis afin de garantir leur retour dans des conditions dignes, a annoncé le ministère des Affaires étrangères ce vendredi.

« Nous avons proposé à Mauricio Claver-Carone, envoyé spécial du président Donald Trump pour l’Amérique latine, d’assumer immédiatement le transfert de tous les citoyens expulsés par les États-Unis », indique un communiqué de presse. « Toutes les options de transport, aérien et maritime, sont actuellement en cours d’évaluation », précise le document.

Les conditions du retour des Colombiens ont provoqué une tension diplomatique ce week-end. Le président Gustavo Petro a dénoncé de prétendus mauvais traitements infligés à ses compatriotes et a interdit l’entrée sur le territoire de deux avions militaires américains, qui devaient atterrir dimanche avec plusieurs dizaines de Colombiens à bord.

En réponse, Donald Trump a imposé des tarifs douaniers et menacé de révoquer les visas des fonctionnaires du premier gouvernement de gauche en Colombie.

Cependant, l’incident diplomatique s’est calmé en quelques heures, après que la Maison-Blanche a assuré que la Colombie avait accepté ses conditions, conduisant ainsi Washington à annuler ses mesures de rétorsion.

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