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International

Le Brésil accorde des visas humanitaires aux Ukrainiens fuyant leur pays

AFP

Le gouvernement du président Jair Bolsonaro a annoncé jeudi qu’il allait accorder des visas humanitaires aux Ukrainiens fuyant l’invasion russe, un conflit sur lequel le chef de l’Etat brésilien affirme rester « neutre ».

Selon une ordonnance conjointe du ministère des Affaires étrangères et du ministère de la Justice en vigueur jusqu’au 31 août, le Brésil accorde « des visas et des permis de séjour temporaires à des fins d’accueil humanitaire pour les citoyens ukrainiens et les apatrides qui ont été affectés ou déplacés par la situation de conflit armé en Ukraine ». 

Le président d’extrême droite avait annoncé lundi cette mesure, devenue officielle jeudi. 

« Nous allons ouvrir la possibilité aux Ukrainiens de venir au Brésil par le biais du visa humanitaire, qui est le moyen le plus simple de venir », avait-il déclaré dans une interview à la radio Jovem Pan. « Nous sommes prêts à recevoir des Ukrainiens », avait-il ajouté. 

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Le visa humanitaire sera « valide pour 180 jours », tandis qu’un permis de séjour d’une durée de deux ans peut également être demandé par les Ukrainiens déjà présents au Brésil « indépendamment du statut migratoire » avec lequel ils sont entrés dans le pays, selon le texte officiel. 

Jeudi, Jair Bolsonaro et le Premier ministre britannique Boris Johnson ont appelé à un cessez-le-feu en Ukraine, a rapporté un porte-parole de Boris Johnson à l’issue d’une conversation entre les deux dirigeants sur l’invasion du pays par la Russie.

Le président brésilien a jusqu’à présent évité de critiquer la Russie pour son invasion de l’Ukraine. Jeudi dernier, il a désavoué le vice-président Hamilton Mourao qui avait déclaré que « le Brésil n’est pas d’accord avec une invasion du territoire ukrainien ».

Le chef d’Etat d’extrême droite a déclaré dimanche que son pays « va continuer dans la neutralité » et ne va pas « prendre parti ».

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International

Le chanteur Arcángel sort de l’hôpital après une opération du cœur

Le reggaetonero portoricain Arcángel a annoncé ce mardi avoir quitté l’hôpital, après avoir subi ce qu’il décrit comme “l’épreuve la plus grande” que Dieu et la vie lui aient imposée, suite à une intervention chirurgicale sur son cœur “malade et gravement blessé”.

“Je traverse et, en même temps, je surmonte l’épreuve la plus GRANDE que DIEU et la VIE m’aient imposée. J’ai un cœur malade et mal en point qui, malgré tout, REFUSE d’arrêter de battre”, a écrit le chanteur, de son vrai nom Austin Santos, dans une publication sur son compte Instagram.

Dans le post, on voit Arcángel torse nu, allongé sur un lit d’hôpital, une plaie bandée sur la poitrine et un tube semblant servir de drainage pour le cœur. Il partage également une photo en compagnie d’un professionnel de santé, ainsi qu’une vidéo émotive de son départ de la chambre où il était hospitalisé.

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International

Affaire Odebrecht : Ollanta Humala reconnu coupable et écroué à Lima

La justice péruvienne a condamné ce mardi l’ancien président Ollanta Humala à 15 ans de prison pour blanchiment d’argent, après l’avoir reconnu coupable d’avoir reçu des fonds illégaux de la part de l’entreprise brésilienne Odebrecht et du gouvernement vénézuélien pour financer ses campagnes électorales de 2011 et 2006, respectivement.

Âgé de 62 ans, Humala a été arrêté dans la salle d’audience à l’issue de la lecture du verdict, mettant ainsi fin à plus de trois années de procès contre cet ancien lieutenant-colonel de gauche modérée, qui a dirigé le Pérou entre 2011 et 2016. Il devient ainsi le deuxième ancien chef d’État péruvien condamné dans le cadre du scandale Odebrecht, parmi les quatre ex-présidents impliqués.

« Une peine privative de liberté effective de 15 ans est imposée à M. Ollanta Humala », a déclaré la juge Nayko Coronado du Troisième Tribunal de la Cour supérieure lors de la lecture du jugement de première instance, que la défense de l’ex-président prévoit de contester en appel.

Le procureur Germán Juárez s’est déclaré satisfait de la décision judiciaire, affirmant qu’elle avait été rendue « dans le respect du droit à un procès équitable, avec objectivité et impartialité ».

Odebrecht, dont le scandale de corruption et de pots-de-vin a ébranlé plusieurs pays d’Amérique latine, avait reconnu en 2016 avoir versé des dizaines de millions de dollars en dessous-de-table et en financements électoraux illégaux au Pérou depuis le début du XXIe siècle.

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Selon le parquet, le scandale a également impliqué d’autres anciens présidents : Alan García (2006–2011), qui s’est suicidé en 2019 avant d’être arrêté ; Pedro Pablo Kuczynski (2016–2018), toujours sous enquête ; et Alejandro Toledo (2001–2006).

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Amérique centrale

Nicaragua : La CIDH dénonce la répression étatique continue sous le régime d’Ortega

La Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH) a dénoncé et condamné ce lundi « la consolidation d’un régime autoritaire » au Nicaragua, un pays dirigé par l’ex-guérillero sandiniste Daniel Ortega depuis 2007, et qui vit depuis sept ans une crise socio-politique et des droits humains.

« A sept ans du début de la crise des droits de l’homme au Nicaragua, la CIDH condamne la répression étatique continue et la consolidation d’un régime autoritaire », a indiqué l’organisme dans une déclaration publique.

En avril 2018, des milliers de Nicaraguayens sont descendus dans les rues pour protester contre des réformes controversées de la sécurité sociale, qui, après une réponse violente de l’État, se sont transformées en une exigence de démission du président, Daniel Ortega.

Les manifestations ont fait au moins 355 morts, selon la CIDH, bien que des organismes nicaraguayens augmentent ce chiffre à 684, tandis qu’Ortega reconnaît « plus de 300 » et maintient qu’il s’agissait d’une tentative de coup d’État.

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