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International

La Cour intéraméricaine des droits de l’homme demande au Pérou de ne pas libérer Fujimori

AFP

La Cour interaméricaine des droits de l’homme a demandé mercredi au gouvernement du Pérou de « s’abstenir » d’exécuter un ordre de la Cour constitutionnelle ordonnant la libération de l’ancien président Alberto Fujimori, a indiqué une ONG impliquée dans la procédure.

Selon la directrice du Centre pour la justice et le droit international (Cejil), Viviana Krsticevic, la Cour a demandé de surseoir à la libération de M. Fujimori en attendant de se prononcer sur un recours. Celui-ci a été intenté par les familles des victimes de massacres commis pendant que M. Fujimori était au pouvoir et pour lesquels il a été condamné en 2009 à 25 ans de prison.

La Cour constitutionnelle du Pérou avait ordonné le 17 mars la libération de l’ancien chef d’Etat, âgé de 83 ans et qui souffre de nombreux problèmes de santé. Le Cejil et d’autres organisations avaient demandé la suspension de cette libération, estimant que « les victimes n’ont été ni informées ni entendues » dans la procédure.

M. Fujimori est le seul détenu de la petite prison de Barbadillo, située dans les casernes de la direction des opérations spéciales de la police dans l’est de Lima.

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Il a gouverné le Pérou d’une main de fer (1990-2000) mais face à une opposition croissante il s’était enfui au Japon, d’où sa famille est originaire, en novembre 2000 après avoir démissionné par fax.

Il était arrivé par surprise au Chili en 2005 et arrêté, puis extradé vers le Pérou en 2007. Il a été reconnu coupable par la justice péruvienne de crime contre l’humanité pour avoir commandité deux massacres perpétrés par un escadron de la mort en 1991-1992, dans le cadre de la lutte contre la guérilla maoïste du Sentier lumineux.

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International

Trump annonce un délai supplémentaire pour les droits de douane sur les voitures du Mexique et du Canada

La Maison Blanche a annoncé mercredi qu’elle repousserait au 2 avril l’imposition de droits de douane de 25 % sur les automobiles en provenance du Mexique et du Canada.

Cela fait suite à une conversation entre le président Donald Trump et les trois plus grands fabricants américains qui assemblent des véhicules dans les deux pays voisins.

Auparavant, le secrétaire au Commerce, Howard Lutnick, avait informé que le président Trump mettrait à jour ses projets de droits de douane par une annonce mercredi après-midi, en excluant possiblement certains secteurs comme celui des automobiles.

« Des droits de douane seront appliqués, soyons clairs », a déclaré Lutnick. « Mais ce qu’il envisage, c’est quelles sections du marché pourraient peut-être — peut-être — bénéficier d’un allégement d’ici, bien sûr, le 2 avril. »

« Nous nous attendons à faire une annonce cet après-midi. Et je pense que ce sera une solution intermédiaire (…) Parce que le Mexique et le Canada font un grand effort. Je pense donc qu’un résultat probable serait un compromis », a ajouté Lutnick.

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International

JD Vance met en avant les politiques d’immigration strictes lors de sa visite à la frontière entre les États-Unis et le Mexique

Le vice-président JD Vance a visité la frontière entre les États-Unis et le Mexique mercredi pour mettre en avant les politiques d’immigration plus strictes qui, selon la Maison Blanche, ont entraîné une baisse drastique des arrestations pour traversées illégales depuis que Donald Trump a entamé son second mandat.

Vance sera accompagné à Eagle Pass, au Texas, par le secrétaire à la Défense Pete Hegseth et la directrice du renseignement national Tulsi Gabbard, les membres les plus hauts placés de l’administration républicaine de Trump à visiter la frontière sud.

La Maison Blanche informe que Vance prévoit de parcourir la frontière, de tenir une table ronde avec des responsables locaux, étatiques et fédéraux, et de visiter un centre de détention. Les autorités locales et les militants indiquent que l’itinéraire de Vance comprendra probablement également une visite de Shelby Park, un espace vert municipal le long du Río Bravo (Río Grande), que le gouverneur républicain Greg Abbott a confisqué aux autorités fédérales l’année dernière dans un différend avec l’administration Biden. Abbott a accusé cette administration de ne pas faire assez pour empêcher les traversées illégales.

« La sécurité des frontières est une question de sécurité nationale », a déclaré Hegseth à Fox News avant le voyage. Il a ajouté : « Nous renvoyons ces personnes chez elles et nous n’en laissons pas entrer davantage. Et cela se voit actuellement. »

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International

La menace russe, une priorité pour la France, selon Emmanuel Macron

Le président de la France, Emmanuel Macron, a exprimé son souhait que les États-Unis continuent de contribuer à la défense de l’Europe, mais a souligné qu’il fallait « se préparer au cas où ce ne serait pas le cas », tout en qualifiant les tarifs douaniers imposés par Washington d’ « incompréhensibles ».

« L’avenir de l’Europe ne peut pas être décidé à Washington ou à Moscou. La menace vient de l’Est, la situation de stabilité après la chute du mur (de Berlin) n’existe plus », a déclaré Macron dans un discours à la nation, justifiant un effort militaire accru pour le pays.

« La menace russe est là et elle touche les pays européens, elle nous touche », a souligné Macron, rappelant que la Russie « a déjà transformé le conflit ukrainien en un conflit mondial », « viole nos frontières pour assassiner des opposants, manipule les élections en Roumanie et en Moldavie », « organise des cyberattaques contre nos hôpitaux » et « essaie de manipuler nos opinions avec des mensonges diffusés sur les réseaux sociaux ».

« Qui peut croire que la Russie se contentera de l’Ukraine ? », a interrogé Macron. « Nous ne pouvons pas croire la parole de la Russie. L’Ukraine a droit à la paix et à la sécurité », a-t-il ajouté.

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