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International

En 2021, les Etats-Unis ont enregistré un record plus de 107.000 décès par overdose

AFP

Les Etats-Unis ont dénombré quelque 107.000 décès par overdose en 2021, une hausse de 15% par rapport à l’année précédente et un sombre nouveau record, selon des données préliminaires publiées mercredi par les autorités sanitaires américaines. 

Ces chiffres signifient qu’une personne meurt d’overdose toutes les 5 minutes dans le pays.

Parmi ces décès, plus de 70.000 sont dus aux opiacés de synthèse comme le fentanyl, selon les données des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC).

Suivent les stimulants comme la méthamphétamine (plus de 30.000 décès), la cocaïne (près de 25.000), et les opiacés naturels ou semi-synthétiques (héroïne…).

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Les Etats-Unis avaient pour la première fois dépassé la barre symbolique des 100.000 décès sur 12 mois en avril 2021. 

La hausse de 15% enregistrée pour l’année 2021 est toutefois moindre que l’augmentation de 30% qui avait été enregistrée entre 2019 et 2020.

La crise des opiacés américaine a été aggravée par la pandémie de Covid-19, qui a accru l’isolement de certaines populations, selon les experts. 

La plus forte hausse en 2021 a été observée en Alaska, où les décès ont augmenté de plus de 75%.

Le fentanyl, hautement addictif et bon marché à fabriquer, est de plus en plus mélangé par les trafiquants à d’autres drogues, selon l’agence américaine de lutte antidrogue (DEA). Il est aussi ajouté à des pilules contrefaites en vente sur internet — par exemple des anti-douleurs. 

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Fin avril, le gouvernement de Joe Biden a annoncé un plan d’action pour lutter contre cette crise, axé sur deux aspects: davantage de soins pour les personnes dépendantes, et la lutte contre le trafic de drogue. 

Le gouvernement américain souhaite notamment mettre l’accent sur les pratiques dites de « réduction des risques », comme la distribution de naloxone (un antidote capable de réanimer une personne en train de faire une overdose), de bandes permettant de vérifier la présence ou non de fentanyl, ou les programmes d’échanges de seringues. 

Il veut également améliorer l’accès aux traitements (méthadone, buprénorphine…). « Nous allons doubler le nombre d’admissions pour traitement pour les populations étant le plus à risque de mourir par overdose », avait promis en avril lors d’une conférence de presse le Dr. Rahul Gupta, directeur du bureau chargé de la lutte contre les drogues à la Maison Blanche.

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International

Drame à Saint-Domingue : les causes de l’effondrement restent inconnues

Alors que les questions s’accumulent autour de l’effondrement du toit de la discothèque Jet Set à Saint-Domingue, les enquêtes commencent pour déterminer les causes de l’accident. Pendant ce temps, les familles des victimes perdent patience dans les morgues, dans l’attente de pouvoir identifier leurs proches.

Quatre jours se sont écoulés depuis que le toit de la célèbre discothèque Jet Set, haut lieu de la vie nocturne à Saint-Domingue, capitale de la République dominicaine, s’est effondré sur environ 400 personnes présentes dans l’établissement. Le dernier bilan officiel fait état de 221 morts et 189 blessés, mais les causes de cette tragédie restent encore floues.

Le gouvernement dominicain a publié un rapport préliminaire vendredi concernant l’effondrement, mais celui-ci n’éclaircit pas les raisons de la catastrophe. Des experts nationaux et internationaux poursuivent les investigations afin de déterminer les éventuelles défaillances structurelles.

Témoignant de l’inquiétude générale, le président dominicain Luis Abinader a déclaré vendredi que le pays doit désormais obtenir des réponses claires sur « ce qui s’est passé, pourquoi cela s’est produit, et comment cela a pu arriver ».

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International

Saint-Domingue : le bilan de l’effondrement d’une discothèque grimpe à 225 morts

Le nombre de victimes décédées suite à l’effondrement du toit d’une discothèque à Saint-Domingue, survenu mardi dernier, s’élève désormais à 225, ont annoncé les autorités sanitaires dominicaines ce samedi.

Le ministre de la Santé publique, Víctor Atallah, a communiqué ces chiffres aux médias. Jusqu’à hier, le bilan faisait état de 221 morts et 189 blessés.

Selon Atallah, quatre nouveaux décès ont été enregistrés dans des établissements de santé entre la nuit de vendredi et la matinée de ce samedi.

« Le nombre actuel de décès est de 225, mais ce chiffre pourrait encore augmenter, espérons que non », a déclaré le ministre lors d’une conférence de presse à l’Institut de Pathologie Médico-légale (IPF).

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Amérique centrale

Présence militaire américaine au Panama : accord sensible autour du canal

Le Panama autorisera la présence de troupes américaines dans des zones d’accès et adjacentes au canal interocéanique, selon un accord bilatéral diffusé ce jeudi par le gouvernement panaméen, qui précise qu’il ne s’agit pas de bases militaires.

La présence de troupes américaines reste un sujet sensible dans ce pays d’Amérique centrale, rappelant l’époque où les États-Unis disposaient d’un enclave avec des bases militaires, avant de restituer le canal au Panama en décembre 1999.

Selon l’accord signé par le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, et le ministre panaméen de la Sécurité, Frank Ábrego, les militaires et contractuels américains « pourront utiliser les emplacements autorisés, les installations et les zones désignées pour fournir de la formation, mener des actions humanitaires (…) et des exercices ».

L’accord, d’une durée initiale de trois ans renouvelable, stipule que les installations resteront la propriété de l’État panaméen et seront utilisées de manière conjointe avec les forces de sécurité des deux pays.

Mercredi, Hegseth avait déclaré lors d’une conférence de presse à Panama que les exercices conjoints de défense représentaient « une opportunité de faire revivre » une « base militaire » opérée par des troupes américaines, des propos qui ont suscité de vives réactions.

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« Nous ne pouvons accepter ni bases militaires ni sites de défense », a réagi Ábrego lors de la même conférence.

Depuis son retour au pouvoir en janvier dernier, le président Donald Trump a menacé de « récupérer » le canal de Panama, construit par les États-Unis, en affirmant qu’il se trouve désormais sous influence chinoise.

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