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International

Ministérielle OMC: « l’une des plus réussies depuis longtemps », juge l’Inde

AFP

La conférence ministérielle de l’OMC qui se tient depuis cinq jours à Genève sera « l’une des plus réussies depuis longtemps », a estimé jeudi le ministre indien du Commerce Piyush Goyal.

Les négociations devaient entrer dans la dernière ligne droite, mais l’OMC a encore reporté de plusieurs heures la réunion finale des chefs de délégation, qui aurait dû se tenir à 15H00 GMT.

« L’Inde est convaincue que cette réunion ministérielle sera l’une des plus réussies que l’OMC ait connues depuis longtemps », a déclaré M. Goyal à des journalistes, sans donner de détails sur d’éventuels accords.

L’Inde a été accusée cette semaine par de nombreux diplomates d’avoir fait preuve d’une trop grande intransigeance sur plusieurs dossiers. A ce propos, M. Goyal a dénoncé les « idées fausses » qui circulent sur son pays.

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Il a également relevé le « véritable esprit de camaraderie » qui anime les discussions.

Les représentants des 164 pays membres de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), réunis depuis dimanche à Genève, ont entamé ces dernières 24 heures un véritable marathon de tractations.

L’objectif est de supprimer des subventions qui facilitent la surpêche et vident les océans, de lever temporairement les brevets qui protègent les vaccins anti-Covid-19, d’assurer la sécurité alimentaire ou encore de réformer l’OMC elle-même.

La pression pour aboutir est forte sur ces sujets, d’autant que l’OMC n’est parvenue à aucun accord majeur depuis celui conclu en 2013 à Bali sur la facilitation des échanges, élargi deux ans plus tard aux technologies de l’information.

« Nous avons pris de solides décisions, probablement pour la première fois depuis sept ans, sous réserve que quelques questions soient réglées dans les prochaines minutes », a affirmé M. Goyal.

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« Ce qui est bien, c’est que rien n’est convenu tant que tout n’est pas convenu et je suis sûr que cet esprit nous aidera à surmonter l’obstacle », a-t-il ajouté, très souriant et entouré de plusieurs dizaines de journalistes.

Plusieurs sources proches des discussions assurent que le projet d’accord sur la pêche a été sévèrement édulcoré, après que l’Inde a fait part cette semaine de son opposition à toute mesure contraignante avant 25 ans.

« Nous travaillons tous ensemble pour trouver des solutions. Il est temps d’attendre que les résultats finaux soient annoncés par la directrice générale », la Nigériane Ngozi Okonjo-Iweala, a indiqué M. Goyal, qu’il a qualifiée de « merveilleuse négociatrice ».

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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