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International

L’Ukraine peut compter sur l’Otan « aussi longtemps qu’il le faudra » (Stoltenberg)

AFP

L’Ukraine peut compter sur le soutien de l’Otan « aussi longtemps qu’il le faudra », a déclaré mercredi à Madrid le secrétaire général de l’Alliance atlantique, dont les pays membres ont dénoncé la « cruauté épouvantable » de Moscou.

« L’Ukraine peut compter sur nous aussi longtemps qu’il faudra », a déclaré Jens Stoltenberg lors du sommet de l’organisation à Madrid.

Dans une déclaration commune, les dirigeants de l’Alliance atlantique s’engagent ainsi à « renforcer encore leur soutien politique et pratique » à l’Ukraine. 

Ils disent s’être mis d’accord avec Kiev sur un nouveau plan d’aide, qui doit en particulier « accélérer la livraison d’équipements militaires non létaux » et améliorer les défenses » ukrainiennes contre les cyber-attaques. 

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Les pays de l’Otan ont déjà fourni des milliards de dollars d’équipements militaires à l’Ukraine dont le président Volodymyr Zelensky leur a demandé mercredi par visioconférence de l’artillerie moderne et un soutien financier.

Les dirigeants des pays de l’Otan, qui ont adopté mercredi une nouvelle feuille de route stratégique, ont qualifié la Russie « de menace la plus significative et directe pour la sécurité des alliés ».

« Nous ne pouvons pas écarter la possibilité d’une attaque contre la souveraineté ou l’intégrité territoriale des alliés », disent-ils dans ce document qui n’avait pas été révisé depuis 2010 et dont la dernière version qualifiait Moscou de « partenaire stratégique ».

Face à la menace russe, les membres de l’Otan ont décidé de renforcer leurs « groupements tactiques » sur le flanc oriental de l’Alliance en « déployant des forces additionnelles prêtes au combat ». 

Alors que l’invasion russe est entrée dans son cinquième mois, les pays de l’Otan ont dénoncé « l’épouvantable cruauté de la Russie » qui « provoque d’immenses souffrances humaines et des déplacements massifs, touchant de manière disproportionnée les femmes et les enfants ». 

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« La Russie porte l’entière responsabilité de cette catastrophe humanitaire », poursuivent-ils.

Ils somment Moscou de fournir un accès humanitaire « sans entrave » aux zones touchées et de retirer « immédiatement » ses troupes, et promettent d’oeuvrer pour poursuivre les responsables de crimes de guerre, « y compris les violences sexuelles liées au conflit ».

Les 30 pays membres de l’Alliance atlantique disent « travailler étroitement » pour permettre les exportations de céréales ukrainiennes, accusant la Russie d’ »exacerber intentionnellement la crise alimentaire et énergétique mondiale ».

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Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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