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International

Google essaie de donner plus de contrôle aux internautes sur les publicités

Image d'illustration

| AFP |

Google, le numéro un mondial de la publicité numérique, a lancé jeudi une nouvelle fonctionnalité pour donner plus de contrôle aux internautes sur les contenus des annonces qui s’affichent pendant leur navigation en ligne.

« Les publicités en ligne ne devraient pas être une source de confusion ou de frustration pour les internautes », a reconnu Jerry Dischler, le vice-président chargé de la publicité, dans un communiqué.

Le nouvel outil baptisé « Mes préférences publicitaires » est censé permettre de facilement changer ses préférences, sur le moteur de recherche et sur YouTube notamment.

Les internautes devraient pouvoir « choisir les thèmes et les marques à montrer et à masquer », et « gérer (leurs) préférences publicitaires sans interrompre (leurs) activités en ligne », assure Jerry Dischler.

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Le groupe californien entend ainsi rallier ses milliards d’utilisateurs avec des réclames plus pertinentes, qui se fondent dans leur décor numérique, alors qu’il subit la concurrence accrue de plateformes comme TikTok, où les pubs se mélangent aux contenus originaux.

Google fait face à de nombreux vents contraires sur son terrain de jeu favori, des accusations d’abus de position dominante aux plaintes des consommateurs sur la confidentialité des données personnelles.

Et comme Meta (Facebook, Instagram), le numéro deux du secteur, Google a dû se plier, sur les iPhone, aux récentes règles d’Apple qui forcent les applications à demander le consentement des utilisateurs avant de pouvoir les suivre à la trace.

La nouvelle fonctionnalité permet d’ailleurs aussi de désactiver plus facilement la personnalisation des publicités, parfois vécue comme oppressante par les consommateurs. Et d’exclure les annonces sur des sujets sensibles, comme l’alcool, les rencontres, la perte de poids ou la grossesse.

Les internautes pourront en outre désactiver certains critères de ciblage, comme leur historique des vidéos visionnées sur YouTube, leur statut relationnel ou leur secteur professionnel.

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Google et Facebook ont déjà dû faire évoluer leurs pratiques de ciblage publicitaire à plusieurs reprises, notamment pour donner plus de contrôle sur les « cookies », ces programmes informatiques qui traquent la navigation en ligne à des fins de ciblage publicitaire.

La vente de publicités personnalisées à très grande échelle rapporte chaque année des dizaines de milliards de dollars aux deux voisins de la Silicon Valley.

« Google est bien parti pour générer 174,81 milliards de dollars en revenus publicitaires en 2022, soit 17,3% de plus sur un an », estime le cabinet Insider Intelligence. 

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MARN1

Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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