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International

L’emploi aux Etats-Unis toujours très solide en novembre

| Par AFP | Julie Chabanas |

Le marché de l’emploi américain a de nouveau surpris en novembre, montrant une santé de fer avec des créations d’emplois nombreuses, semblant repousser toujours la perspective d’une récession, qui plane cependant sur la première économie du monde.

En novembre, 263 000 emplois ont été créés aux Etats-Unis, a annoncé vendredi le département du Travail, bien plus que les 200 000 qui étaient attendus par les analystes.

En octobre, 284 000 emplois avaient été créés.

Le taux de chômage est lui resté stable à 3,7 % en novembre, un niveau très bas. 

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Ces chiffres pourraient pousser la banque centrale américaine, la Fed, à continuer de resserrer fortement les conditions monétaires afin de lutter contre l’inflation, limitant l’accès au crédit pour les entreprises comme pour les particuliers.

L’excellente santé du marché du travail montre en effet que la demande reste très forte de la part des consommateurs, et que, par conséquent, les entreprises ont besoin de main d’œuvre, ce qui maintient une pression sur les prix.

La prochaine réunion de la Fed est prévue les 13 et 14 décembre.

L’inflation a ralenti en octobre, à 7,7 % sur un an aux Etats-Unis, contre 8,2 % en septembre, un plus bas depuis janvier 2022, selon l’indice CPI qui fait référence.

Le président américain Joe Biden a cependant averti jeudi qu’ »il faudra du temps pour ramener l’inflation à la normale – et il pourrait y avoir des revers en cours de route ».

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Le président de la Fed Jerome Powell s’est cependant montré mercredi optimiste sur les chances de parvenir à ramener l’inflation dans les clous, sans pour autant faire plonger les Etats-Unis dans la récession.

Les signaux sont mitigés. D’un côté la consommation reste soutenue et l’emploi toujours très solide. De l’autre, l’activité manufacturière s’est contractée en novembre, pour la première fois depuis mai 2020, a montré jeudi l’indice ISM.

Malgré une hausse des annonces de suppressions de postes, le nombre d’emplois supprimés depuis le début de l’année (320 173) reste particulièrement bas, selon une étude du cabinet de consultants Challenger, Gray & Christmas, publiée jeudi.

A une exception près: le secteur de la tech, qui connaît son niveau de licenciements le plus élevé des 20 dernières années, après avoir embauché à tour de bras depuis le début de la pandémie, détaille l’étude.

Plusieurs entreprises de la Silicon Valley, comme Meta, Twitter, Lyft, ou encore HP, ont récemment annoncé des réductions d’effectifs conséquentes.

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International

Washington vote une loi contre la « pornographie vengeresse » réelle ou générée par IA

La Chambre des représentants des États-Unis a voté ce lundi, presque à l’unanimité, en faveur de la criminalisation de la diffusion de “pornographie vengeresse”, qu’elle soit réelle ou générée par intelligence artificielle (IA). Le projet de loi a été transmis au président Donald Trump pour sa promulgation.

La loi intitulée « Take it Down » (Supprimez-la) a été approuvée par 409 voix contre 2. Elle sanctionnera la publication non consentie d’images intimes en ligne et exigera leur suppression immédiate des plateformes, a déclaré le président de la Chambre, le républicain Mike Johnson.

En mars, Trump s’était engagé à signer cette loi lors d’une session conjointe du Congrès :
« J’ai hâte de signer ce projet de loi. Merci », a-t-il déclaré. « Et je vais aussi l’utiliser pour moi, si cela ne vous dérange pas, parce que personne n’est traité plus mal que moi sur internet. »

Ce vote fait suite à l’adoption unanime du texte par le Sénat en février. Johnson a salué un « pas fondamental dans la lutte contre un problème croissant sur internet ».

Les “deepfakes”, ou vidéos ultra-réalistes truquées créées par IA, sont souvent utilisées pour générer des contenus pornographiques mettant en scène de façon fictive des femmes réelles, diffusés ensuite sans leur consentement.

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La première dame Melania Trump a soutenu la loi dès le début du mois de mars, et a salué ce lundi l’approbation bipartisane comme une « déclaration forte » en faveur de la protection de « la dignité, la vie privée et la sécurité ».

Certains États américains comme la Californie et la Floride ont déjà adopté des lois pénalisant les deepfakes sexuellement explicites.
Des critiques ont cependant mis en garde contre les pouvoirs accrus de censure que cette loi pourrait conférer aux autorités.

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International

Les républicains veulent faire payer 1 000 dollars aux demandeurs d’asile aux États-Unis

Les républicains du Congrès souhaitent accorder au président Donald Trump de vastes pouvoirs pour imposer des frais d’au moins 1 000 dollars aux migrants demandant l’asile aux États-Unis.

De plus, la commission judiciaire de la Chambre des représentants, dirigée par les républicains, envisage d’augmenter les coûts ou de créer de nouvelles taxes à l’égard des migrants. En 2023, environ 54 000 étrangers ont obtenu l’asile aux États-Unis, selon les dernières données de l’Office des statistiques de la sécurité intérieure.

Les principaux pays d’origine des demandeurs étaient l’Afghanistan – où 1 000 dollars représentent environ deux ans et demi de salaire – et le Venezuela, où il faut environ trois mois pour gagner une telle somme.

« Le président Trump et les républicains de la Chambre des représentants sont déterminés à restaurer l’intégrité migratoire, à renforcer la sécurité nationale et à contrôler l’État administratif devenu incontrôlable », a déclaré la commission dans un communiqué accompagnant la publication du texte.

Les républicains cherchent à intégrer les questions migratoires dans un projet de loi global qui comprend également des mesures phares de l’agenda de Trump : baisses d’impôts, restrictions à l’immigration et augmentation de la production énergétique.

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Une partie du texte donnerait à Trump le pouvoir d’imposer des frais considérables aux demandeurs d’asile et autres migrants comme condition pour rester sur le sol américain.

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International

Maduro affirme que le Venezuela vit son « meilleur moment politique » neuf mois après sa réélection

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a affirmé ce lundi que le pays traverse son « meilleur moment politique », neuf mois après l’élection présidentielle au cours de laquelle le Conseil national électoral (CNE) a proclamé sa victoire, un résultat contesté par la majorité de l’opposition et une partie de la communauté internationale.

« Neuf mois après la bataille que nous avons menée pour la paix, la liberté, la souveraineté et la démocratie, nous sommes dans notre meilleur moment politique, le meilleur moment de la paix au Venezuela », a déclaré le dirigeant chaviste lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a réaffirmé qu’après sa « victoire », la souveraineté « réside de manière intransférable dans le peuple », qui l’exerce « de manière permanente », comme ce fut le cas « hier (dimanche) lors de la consultation populaire communale, un succès », faisant référence à une élection au cours de laquelle les communautés ont voté pour des projets financés par le gouvernement.

« Nous avons organisé 31 élections constitutionnelles, nous en avons gagné 29. La dernière, il y a neuf mois. Maintenant, nous allons vers la 32ᵉ élection, le 25 mai (élections régionales et législatives), ce sera un record mondial. La décision finale reste entre les mains du peuple pour continuer à avancer sur notre agenda constructif 2025-2031 », a-t-il conclu.

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