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International

Plus de 700 000 décès dus à la Covid-19 au Brésil estimés à plus de 700 000

Plus de 700 000 décès dus à la Covid-19 au Brésil estimés à plus de 700 000
Photo: EFE

29 mars |

Le ministère brésilien de la santé a annoncé mardi que le pays sud-américain avait dépassé les 700 000 décès associés au Covid-19 depuis le premier décès survenu le 12 mars 2020.

« Dans la lutte contre la plus grande crise sanitaire de l’histoire du pays, la science montre que la principale forme de protection contre les cas graves et les décès est le vaccin », ont affirmé les autorités sanitaires.

Selon les données du Conseil national des secrétaires à la santé (Conass), 700 239 Brésiliens sont décédés des suites de la pandémie, dont 322 au cours des derniers jours.

La ministre de la santé, Nísia Trindade, a déclaré sur Twitter : « Derrière les chiffres, il y a des vies perdues et des familles victimes. Nous devons regarder le passé et en même temps dire que nous ne pouvons plus commettre l’erreur de ne pas prendre soin de notre population.

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Selon les chiffres internationaux, le Brésil est le deuxième pays qui enregistre le plus grand nombre de décès dus à la maladie de Covid-19, juste derrière les États-Unis (1,1 million de morts).

Le contexte des trois années de pandémie au Brésil a été marqué par le négationnisme du gouvernement de l’ancien président Jair Bolsonaro, qui a minimisé la gravité de la maladie, nié les mesures d’isolement et l’utilisation de masques, et remis en cause l’efficacité des vaccins.

Suite à l’arrivée au pouvoir de Luiz Inácio Lula da Silva, leader du Parti des Travailleurs (PT), le 1er janvier dernier, le nouveau gouvernement a exhorté la population à mettre à jour ses doses de rappel, en particulier les enfants, dont le taux de vaccination reste faible.

Amérique centrale

Tensions après l’arrestation d’un Guatémaltèque en attente d’asile aux États-Unis

Une famille est engagée dans une confrontation tendue avec le Service de l’immigration et des douanes des États-Unis (ICE) après que des agents ont brisé la vitre d’une voiture et arrêté un homme que la famille affirme être un demandeur d’asile.

L’incident, survenu lundi, soulève de sérieuses questions sur les procédures et les pratiques de ciblage de l’agence.

Juan Francisco Méndez se rendait apparemment à un rendez-vous chez le dentiste lorsque des agents de l’ICE ont intercepté son véhicule. L’avocate de la famille, Ondine Gálvez-Sniffin, a expliqué que les agents ont utilisé un marteau pour briser la vitre de la voiture avant d’arrêter Méndez et son épouse. Selon Gálvez-Sniffin, les agents ont d’abord affirmé qu’ils recherchaient une autre personne, mais ont tout de même procédé à l’arrestation de Méndez malgré ce qui semble être une erreur d’identité.

La famille et ses représentants légaux exigent désormais des réponses de l’ICE concernant les tactiques agressives employées lors de l’arrestation ainsi que la justification de la détention de Méndez, d’autant plus que sa demande d’asile est en cours d’examen.

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International

Le gouvernement colombien met fin au cessez-le-feu avec les dissidences des FARC, un revers pour la « Paz Total » de Petro

Le gouvernement de la Colombie a informé un secteur des dissidences de l’ex-guérilla des FARC qu’il ne prorogerait pas le cessez-le-feu en vigueur depuis octobre 2023 et jusqu’à ce mardi, dans un nouvel échec de la politique de « Paz Total » du président Gustavo Petro.

L’annonce a été faite par le Bureau du Haut Commissariat à la Paix, dans une lettre envoyée aux délégués de l’autoproclamé État-Major des blocs Magdalena Medio commandé par Gentil Duarte, le commandant Jorge Suárez Briceño et le Front Raúl Reyes des dissidences de l’ex-guérilla des FARC, selon une copie du document obtenue par CNN par une source proche du processus de paix en Colombie.

Dans la lettre, il est précisé que les parties, conformément aux protocoles convenus en novembre 2023, disposent de 72 heures pour se rendre dans des zones offrant des conditions de sécurité et de protection avant que ne commencent les mesures militaires pour reprendre le contrôle des territoires où sont présents ces groupes armés en dehors de la loi.

Le gouvernement et les délégués de ces dissidences sous la direction d’Alexander Díaz, alias « Calarcá », et d’Andrey Avendaño, se sont rencontrés ce lundi dans la municipalité de La Macarena, dans le département du Meta, au sud de la Colombie, où les guérilleros dissidents ont demandé une prolongation du cessez-le-feu.

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International

Donald Trump défend son autorité migratoire après un jugement de mépris du tribunal

Le président américain, Donald Trump, a déclaré ce jeudi qu’il ne comprenait pas comment les tribunaux pouvaient remettre en question son autorité en matière de questions migratoires, après qu’un juge fédéral ait indiqué que son gouvernement avait délibérément désobéi à un ordre visant à bloquer une expulsion controversée de migrants vers le Salvador.

« Je ne comprends pas comment les juges peuvent enlever cette autorité à un président. Nous avons accompli un travail incroyable », a assuré Trump lors d’une rencontre dans le Bureau Ovale de la Maison Blanche avec la Première ministre italienne, Giorgia Meloni.

« Personne ne peut croire le travail que nous avons accompli. C’est bien mieux que ce que nous avions promis », a-t-il ajouté, après avoir félicité le travail de sa secrétaire à la Sécurité nationale, Kristi Noem, et de son responsable des frontières, Tom Homan.

Mercredi, le juge fédéral James Boasberg a entamé une procédure pour déclarer le gouvernement en contempt of court (mépris du tribunal) pour avoir ignoré une de ses ordonnances judiciaires et avoir envoyé plus de 200 migrants, pour la plupart vénézuéliens, dans une prison de haute sécurité au Salvador le 15 mars dernier. Trump a de nouveau justifié aujourd’hui les mesures de son gouvernement, affirmant que l’administration de son prédécesseur, Joe Biden (2021-2025), avait permis l’entrée incontrôlée de « millions de personnes », dont beaucoup sont des « meurtriers ».

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