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International

Plénière de soutien à la vice-présidente Cristina Fernandez en Argentine

Plénière de soutien à la vice-présidente Cristina Fernandez en Argentine
Photo: BAE

23 avril |

Une séance plénière de soutien à la vice-présidente argentine, Cristina Fernández, a eu lieu ce samedi à Buenos Aires (capitale) sous le slogan « La ville avec Cristina ».

Les participants ont manifesté contre la proscription et la répression lors de la troisième réunion organisée dans le cadre de l’opération « clameur » visant à dénoncer les attaques contre Mme Fernández et à soutenir sa candidature aux élections présidentielles de cette année.

La réunion a été clôturée par le député national Máximo Kirchner, qui a critiqué les secteurs d’opposition et a affirmé qu’il était nécessaire de débattre des erreurs commises par l’ancien président Mauricio Macri afin de concevoir un nouveau programme de gouvernement.

« Il y a un sud négligé, qui attend une plus grande dignité, c’est celui qui souffre le plus et qui a les taux de pauvreté, de mortalité infantile et d’homicide les plus élevés. Le sud a besoin de travail, de sécurité et de soins pour ses enfants », a-t-il souligné.

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Il a également fait référence à l’attentat contre Cristina Fernández et a souligné que le 1er septembre marquera une année « sans que le pouvoir judiciaire ne puisse nous dire ce qui s’est passé ».

Le débat a débuté à 11 heures (heure locale) en présence d’activistes proches de la vice-présidente, et le document intitulé « Nous briserons la proscription par le militantisme et l’organisation » a été approuvé.

Le texte avertit que l’Amérique latine est confrontée à « une nouvelle offensive du néolibéralisme » qui est mise en œuvre au moyen d’une guerre juridique contre les dirigeants populaires.

Suite à l’annonce faite la veille par le président Alberto Fernández de ne pas se représenter, la plénière prend tout son sens alors que la « clameur opérative » cherche à faire du vice-président le candidat du Frente de Todos (Front pour tous).

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Amérique centrale

Présence militaire américaine au Panama : accord sensible autour du canal

Le Panama autorisera la présence de troupes américaines dans des zones d’accès et adjacentes au canal interocéanique, selon un accord bilatéral diffusé ce jeudi par le gouvernement panaméen, qui précise qu’il ne s’agit pas de bases militaires.

La présence de troupes américaines reste un sujet sensible dans ce pays d’Amérique centrale, rappelant l’époque où les États-Unis disposaient d’un enclave avec des bases militaires, avant de restituer le canal au Panama en décembre 1999.

Selon l’accord signé par le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, et le ministre panaméen de la Sécurité, Frank Ábrego, les militaires et contractuels américains « pourront utiliser les emplacements autorisés, les installations et les zones désignées pour fournir de la formation, mener des actions humanitaires (…) et des exercices ».

L’accord, d’une durée initiale de trois ans renouvelable, stipule que les installations resteront la propriété de l’État panaméen et seront utilisées de manière conjointe avec les forces de sécurité des deux pays.

Mercredi, Hegseth avait déclaré lors d’une conférence de presse à Panama que les exercices conjoints de défense représentaient « une opportunité de faire revivre » une « base militaire » opérée par des troupes américaines, des propos qui ont suscité de vives réactions.

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« Nous ne pouvons accepter ni bases militaires ni sites de défense », a réagi Ábrego lors de la même conférence.

Depuis son retour au pouvoir en janvier dernier, le président Donald Trump a menacé de « récupérer » le canal de Panama, construit par les États-Unis, en affirmant qu’il se trouve désormais sous influence chinoise.

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International

Le Nicaragua rejette la déclaration finale du sommet de la Celac : « Aucun consensus »

Le Nicaragua a dénoncé ce jeudi l’absence de consensus autour de la déclaration finale de la IXe Sommet des chefs d’État et de gouvernement de la Communauté des États latino-américains et caribéens (Celac), tenue mercredi au Honduras, a indiqué le ministère des Affaires étrangères à Managua. L’Argentine et le Paraguay ont exprimé des réserves similaires.

« Une déclaration de ce Sommet devrait aborder les graves conséquences des politiques tarifaires décrétées par les États-Unis contre le monde, et convenir d’actions et de mesures communes pour faire face à leurs effets », a déclaré le ministre nicaraguayen des Affaires étrangères, Valdrack Jaentschke, qui représentait son pays lors de cette réunion.

Il a ajouté : « Une déclaration de la Celac doit inclure un message de solidarité envers les sœurs et frères qui ont dû émigrer hors de leurs pays, et exiger un traitement digne pour ceux qui sont renvoyés dans leurs patries. »

Le message officiel, intitulé « Le Nicaragua à la Celac : Il n’y avait pas, et il n’y a pas de consensus », critique le document final connu sous le nom de Déclaration de Tegucigalpa, adopté mercredi à l’issue du sommet, auquel les coprésidents nicaraguayens Daniel Ortega et Rosario Murillo n’ont pas assisté.

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International

Le Pérou demande à l’OEA de classer le Tren de Aragua comme organisation terroriste

La présidente du Pérou, Dina Boluarte, a annoncé ce jeudi que son pays a demandé à l’Organisation des États américains (OEA) de déclarer le groupe criminel transnational Tren de Aragua comme une organisation terroriste internationale.

La cheffe de l’État a fait cette déclaration à l’issue de la réunion quotidienne tenue au Palais présidentiel avec les ministres et les hauts responsables des forces de sécurité, afin de suivre les actions contre la criminalité à Lima et dans la province voisine du Callao, toutes deux déclarées en état d’urgence face à la montée de la délinquance.

À ce sujet, le ministre des Affaires étrangères, Elmer Schialer, a précisé que, lors de son intervention à Washington devant l’OEA, il a souligné que le Tren de Aragua — un gang né dans les prisons vénézuéliennes — ainsi que d’autres groupes criminels similaires, « représentent l’un des principaux défis pour la sécurité des peuples latino-américains ».

Il a ajouté que leurs actions sont « de nature terroriste » et nécessitent donc « une évaluation des alternatives pour les combattre de manière conjointe ».

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