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International

Des détenus libérés après avoir manifesté contre la réforme à Jujuy

Des détenus libérés après avoir manifesté contre la réforme à Jujuy
Photo: Prensa Obrera

18 juillet |

Lundi soir, neuf personnes arrêtées le 20 juin, jour de la prestation de serment de la réforme de la Constitution de Jujuy promue par le gouvernement de Gerardo Morales et rejetée par le peuple de Jujuy, ont été libérées.

Il s’agit de Santiago Zamora, Walter Armando Puca, Martín Antonio Abad, Mayuk Nasib Mamani, Dan Leonel Liborio, Héctor Luis Gerónimo, Gabino Cruz, José Darío Donaire et José Iván Blacutt.

La justice locale n’a pas été en mesure de soutenir les accusations infondées portées contre les manifestants le 20 juin, lorsque la réforme critiquée de la constitution a été adoptée par l’Assemblée législative tandis que la police réprimait des centaines de manifestants.

M. Morales avait ordonné l’arrestation de plusieurs militants, accusés d’avoir participé à un plan orchestré pour perturber l’ordre public, et avait demandé 40 jours de détention préventive.

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Cependant, des barrages routiers dans toute la province et des marches à San Salvador et à Buenos Aires ont fait pression sur le système judiciaire pour qu’il indique qu’il n’y avait aucune raison de soutenir l’accusation de l’accusation.

L’ordre de libération a été donné avant midi par le juge de contrôle Rodolfo Fernández après une audience avec les avocats de la défense des détenus.

À ce jour, trois personnes sont toujours détenues à Humahuaca et la lutte pour leur libération se poursuit.

Parmi les personnes libérées figure Ivan Blacutt, dirigeant de Izquierda Socialista et pré-candidat au poste de député national du Frente de Izquierda y de Trabajadores-Unidad (FIT-UFIT) sur la liste qui inclut Myriam Bregman – Del Caño sur le ticket présidentiel.

Malgré la violence déclenchée par le gouvernement de Gerardo Morales, la protestation sociale contre la Constitution réformée qui restreint les droits se poursuit.

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Amérique centrale

Présence militaire américaine au Panama : accord sensible autour du canal

Le Panama autorisera la présence de troupes américaines dans des zones d’accès et adjacentes au canal interocéanique, selon un accord bilatéral diffusé ce jeudi par le gouvernement panaméen, qui précise qu’il ne s’agit pas de bases militaires.

La présence de troupes américaines reste un sujet sensible dans ce pays d’Amérique centrale, rappelant l’époque où les États-Unis disposaient d’un enclave avec des bases militaires, avant de restituer le canal au Panama en décembre 1999.

Selon l’accord signé par le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, et le ministre panaméen de la Sécurité, Frank Ábrego, les militaires et contractuels américains « pourront utiliser les emplacements autorisés, les installations et les zones désignées pour fournir de la formation, mener des actions humanitaires (…) et des exercices ».

L’accord, d’une durée initiale de trois ans renouvelable, stipule que les installations resteront la propriété de l’État panaméen et seront utilisées de manière conjointe avec les forces de sécurité des deux pays.

Mercredi, Hegseth avait déclaré lors d’une conférence de presse à Panama que les exercices conjoints de défense représentaient « une opportunité de faire revivre » une « base militaire » opérée par des troupes américaines, des propos qui ont suscité de vives réactions.

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« Nous ne pouvons accepter ni bases militaires ni sites de défense », a réagi Ábrego lors de la même conférence.

Depuis son retour au pouvoir en janvier dernier, le président Donald Trump a menacé de « récupérer » le canal de Panama, construit par les États-Unis, en affirmant qu’il se trouve désormais sous influence chinoise.

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International

Le Nicaragua rejette la déclaration finale du sommet de la Celac : « Aucun consensus »

Le Nicaragua a dénoncé ce jeudi l’absence de consensus autour de la déclaration finale de la IXe Sommet des chefs d’État et de gouvernement de la Communauté des États latino-américains et caribéens (Celac), tenue mercredi au Honduras, a indiqué le ministère des Affaires étrangères à Managua. L’Argentine et le Paraguay ont exprimé des réserves similaires.

« Une déclaration de ce Sommet devrait aborder les graves conséquences des politiques tarifaires décrétées par les États-Unis contre le monde, et convenir d’actions et de mesures communes pour faire face à leurs effets », a déclaré le ministre nicaraguayen des Affaires étrangères, Valdrack Jaentschke, qui représentait son pays lors de cette réunion.

Il a ajouté : « Une déclaration de la Celac doit inclure un message de solidarité envers les sœurs et frères qui ont dû émigrer hors de leurs pays, et exiger un traitement digne pour ceux qui sont renvoyés dans leurs patries. »

Le message officiel, intitulé « Le Nicaragua à la Celac : Il n’y avait pas, et il n’y a pas de consensus », critique le document final connu sous le nom de Déclaration de Tegucigalpa, adopté mercredi à l’issue du sommet, auquel les coprésidents nicaraguayens Daniel Ortega et Rosario Murillo n’ont pas assisté.

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International

Le Pérou demande à l’OEA de classer le Tren de Aragua comme organisation terroriste

La présidente du Pérou, Dina Boluarte, a annoncé ce jeudi que son pays a demandé à l’Organisation des États américains (OEA) de déclarer le groupe criminel transnational Tren de Aragua comme une organisation terroriste internationale.

La cheffe de l’État a fait cette déclaration à l’issue de la réunion quotidienne tenue au Palais présidentiel avec les ministres et les hauts responsables des forces de sécurité, afin de suivre les actions contre la criminalité à Lima et dans la province voisine du Callao, toutes deux déclarées en état d’urgence face à la montée de la délinquance.

À ce sujet, le ministre des Affaires étrangères, Elmer Schialer, a précisé que, lors de son intervention à Washington devant l’OEA, il a souligné que le Tren de Aragua — un gang né dans les prisons vénézuéliennes — ainsi que d’autres groupes criminels similaires, « représentent l’un des principaux défis pour la sécurité des peuples latino-américains ».

Il a ajouté que leurs actions sont « de nature terroriste » et nécessitent donc « une évaluation des alternatives pour les combattre de manière conjointe ».

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