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International

Au moins sept morts après l’effondrement du toit d’une église au Mexique

Au moins sept morts après l'effondrement du toit d'une église au Mexique
Photo: EFE

2 octobre |

Sept morts et une dizaine de blessés, tel est le bilan provisoire de l’effondrement du toit d’une église en pleine messe dominicale à Ciudad Madero, dans l’État de Tamaupilas, au sud du Mexique, sur la côte du golfe du Mexique.

Le rapport officiel souligne que l’événement s’est produit dans la paroisse de Santa Cruz lorsqu’une défaillance structurelle présumée a provoqué l’effondrement de toute la partie supérieure de l’enceinte religieuse où, selon des témoins, un baptême était célébré.

Américo Villareal, gouverneur de Tamaulipas, a déploré la tragédie sur ses réseaux sociaux et a indiqué que les forces de secours avaient été mobilisées pour s’occuper des victimes. « Les forces de sécurité et de protection civile s’occupent déjà de la situation (…) elles se rendent sur les lieux pour coordonner les opérations de sauvetage », a-t-il écrit.

Les sauveteurs ont été vus en train de lever le poing pour demander le silence et être en mesure d’identifier les éventuels cris des personnes prises au piège. Une vidéo prise par une caméra de sécurité montrerait le moment où l’église a commencé à s’effondrer dans un épais nuage de poussière. La zone a été encerclée par plusieurs ambulances, voitures de patrouille, policiers et militaires.

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Sur les réseaux sociaux, des messages ont été diffusés pour demander des outils, tels que du bois, des vérins hydrauliques ou des marteaux, tout ce qui pourrait être utilisé pour enlever les débris. « Nous vivons un moment très difficile (…) le toit d’une église s’est effondré pendant la célébration de l’Eucharistie », a déclaré le père José Armando Álvarez, évêque du diocèse de Tampico.

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Amérique centrale

Tensions après l’arrestation d’un Guatémaltèque en attente d’asile aux États-Unis

Une famille est engagée dans une confrontation tendue avec le Service de l’immigration et des douanes des États-Unis (ICE) après que des agents ont brisé la vitre d’une voiture et arrêté un homme que la famille affirme être un demandeur d’asile.

L’incident, survenu lundi, soulève de sérieuses questions sur les procédures et les pratiques de ciblage de l’agence.

Juan Francisco Méndez se rendait apparemment à un rendez-vous chez le dentiste lorsque des agents de l’ICE ont intercepté son véhicule. L’avocate de la famille, Ondine Gálvez-Sniffin, a expliqué que les agents ont utilisé un marteau pour briser la vitre de la voiture avant d’arrêter Méndez et son épouse. Selon Gálvez-Sniffin, les agents ont d’abord affirmé qu’ils recherchaient une autre personne, mais ont tout de même procédé à l’arrestation de Méndez malgré ce qui semble être une erreur d’identité.

La famille et ses représentants légaux exigent désormais des réponses de l’ICE concernant les tactiques agressives employées lors de l’arrestation ainsi que la justification de la détention de Méndez, d’autant plus que sa demande d’asile est en cours d’examen.

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International

Le gouvernement colombien met fin au cessez-le-feu avec les dissidences des FARC, un revers pour la « Paz Total » de Petro

Le gouvernement de la Colombie a informé un secteur des dissidences de l’ex-guérilla des FARC qu’il ne prorogerait pas le cessez-le-feu en vigueur depuis octobre 2023 et jusqu’à ce mardi, dans un nouvel échec de la politique de « Paz Total » du président Gustavo Petro.

L’annonce a été faite par le Bureau du Haut Commissariat à la Paix, dans une lettre envoyée aux délégués de l’autoproclamé État-Major des blocs Magdalena Medio commandé par Gentil Duarte, le commandant Jorge Suárez Briceño et le Front Raúl Reyes des dissidences de l’ex-guérilla des FARC, selon une copie du document obtenue par CNN par une source proche du processus de paix en Colombie.

Dans la lettre, il est précisé que les parties, conformément aux protocoles convenus en novembre 2023, disposent de 72 heures pour se rendre dans des zones offrant des conditions de sécurité et de protection avant que ne commencent les mesures militaires pour reprendre le contrôle des territoires où sont présents ces groupes armés en dehors de la loi.

Le gouvernement et les délégués de ces dissidences sous la direction d’Alexander Díaz, alias « Calarcá », et d’Andrey Avendaño, se sont rencontrés ce lundi dans la municipalité de La Macarena, dans le département du Meta, au sud de la Colombie, où les guérilleros dissidents ont demandé une prolongation du cessez-le-feu.

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International

Donald Trump défend son autorité migratoire après un jugement de mépris du tribunal

Le président américain, Donald Trump, a déclaré ce jeudi qu’il ne comprenait pas comment les tribunaux pouvaient remettre en question son autorité en matière de questions migratoires, après qu’un juge fédéral ait indiqué que son gouvernement avait délibérément désobéi à un ordre visant à bloquer une expulsion controversée de migrants vers le Salvador.

« Je ne comprends pas comment les juges peuvent enlever cette autorité à un président. Nous avons accompli un travail incroyable », a assuré Trump lors d’une rencontre dans le Bureau Ovale de la Maison Blanche avec la Première ministre italienne, Giorgia Meloni.

« Personne ne peut croire le travail que nous avons accompli. C’est bien mieux que ce que nous avions promis », a-t-il ajouté, après avoir félicité le travail de sa secrétaire à la Sécurité nationale, Kristi Noem, et de son responsable des frontières, Tom Homan.

Mercredi, le juge fédéral James Boasberg a entamé une procédure pour déclarer le gouvernement en contempt of court (mépris du tribunal) pour avoir ignoré une de ses ordonnances judiciaires et avoir envoyé plus de 200 migrants, pour la plupart vénézuéliens, dans une prison de haute sécurité au Salvador le 15 mars dernier. Trump a de nouveau justifié aujourd’hui les mesures de son gouvernement, affirmant que l’administration de son prédécesseur, Joe Biden (2021-2025), avait permis l’entrée incontrôlée de « millions de personnes », dont beaucoup sont des « meurtriers ».

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