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Amérique centrale

Très peu de barrages routiers ont été signalés entre le Guatemala et le Salvador

Très peu de barrages routiers ont été signalés entre le Guatemala et le Salvador.
Photo: DEM / Provial

17 octobre |

Dans la dernière mise à jour de la carte des barrages routiers au Guatemala, la Direction de la protection et de la sécurité routière (Provial) a indiqué lundi soir qu’à 21 heures, il y avait 14 barrages actifs, un dans la capitale et les autres dans l’ouest du pays.

Selon le Provial, les routes reliant le Guatemala au Salvador sont désormais ouvertes après la levée du barrage au carrefour Moyuta Jutiapa menant à La Hachadura, Ahuachapán.

La route qui connaît des difficultés momentanées est la sortie El Boquerón, Cuilapa à Santa Rosa. Cette route est utilisée pour le transport de passagers entre Guatemala City et Las Chinamas, à Ahuachapán.

Les tronçons qui étaient restés fermés sur la frontière de San Cristobal, reliant le Guatemala à l’ouest de Santa Ana, ont également été rouverts, de même que la route menant au point de passage de Paso Coco, au sud-ouest de Santa Ana.

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Les barrages routiers près de la frontière d’Anguiatú, au nord de Santa Ana, une route qui relie Puerto Barrios, au Guatemala, ont été levés après l’enlèvement de 18 barrages routiers le long de la route qui entravaient également le passage à Esquipulas.

Une semaine avec moins de barrages routiers

Dans sa dernière mise à jour, du 12 octobre jusqu’à 20 h 21, l’entité a fait état de 92 barrages routiers sur l’ensemble du territoire guatémaltèque, tandis que le 13 octobre jusqu’à 21 h 00, il y en avait 35.

Le 14 octobre, 31 routes étaient bloquées et la nuit dernière, à 21 heures, 20 blocages ont été signalés sur l’ensemble du territoire guatémaltèque, selon les rapports de Provial.

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Amérique centrale

Présence militaire américaine au Panama : accord sensible autour du canal

Le Panama autorisera la présence de troupes américaines dans des zones d’accès et adjacentes au canal interocéanique, selon un accord bilatéral diffusé ce jeudi par le gouvernement panaméen, qui précise qu’il ne s’agit pas de bases militaires.

La présence de troupes américaines reste un sujet sensible dans ce pays d’Amérique centrale, rappelant l’époque où les États-Unis disposaient d’un enclave avec des bases militaires, avant de restituer le canal au Panama en décembre 1999.

Selon l’accord signé par le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, et le ministre panaméen de la Sécurité, Frank Ábrego, les militaires et contractuels américains « pourront utiliser les emplacements autorisés, les installations et les zones désignées pour fournir de la formation, mener des actions humanitaires (…) et des exercices ».

L’accord, d’une durée initiale de trois ans renouvelable, stipule que les installations resteront la propriété de l’État panaméen et seront utilisées de manière conjointe avec les forces de sécurité des deux pays.

Mercredi, Hegseth avait déclaré lors d’une conférence de presse à Panama que les exercices conjoints de défense représentaient « une opportunité de faire revivre » une « base militaire » opérée par des troupes américaines, des propos qui ont suscité de vives réactions.

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« Nous ne pouvons accepter ni bases militaires ni sites de défense », a réagi Ábrego lors de la même conférence.

Depuis son retour au pouvoir en janvier dernier, le président Donald Trump a menacé de « récupérer » le canal de Panama, construit par les États-Unis, en affirmant qu’il se trouve désormais sous influence chinoise.

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Amérique centrale

Le Salvador reçoit la meilleure note de sécurité du Département d’État des États-Unis

Mardi, le Département d’État des États-Unis a amélioré son avis de voyage pour le Salvador, qualifiant désormais le pays d’Amérique centrale comme étant plus sûr que plusieurs pays européens.

Le secrétaire d’État Marco Rubio a reconnu le leadership du président salvadorien Nayib Bukele comme « crucial pour améliorer la sécurité de son pays pour les voyageurs étrangers ».

« L’activité des gangs, la criminalité violente et les meurtres au Salvador ont diminué de manière significative », a écrit Rubio sur X, annonçant que l’avis de voyage des États-Unis pour le Salvador a été mis à jour à « Niveau 1 : Exercer des précautions normales ». L’avis de voyage indique que « l’activité des gangs a diminué au cours des trois dernières années », ce qui a entraîné une baisse des crimes violents et des meurtres.

« La sécurité des Américains à l’étranger est notre priorité absolue », a écrit Rubio.

De nombreux utilisateurs des médias sociaux ont souligné que les avis de voyage pour l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni, l’Espagne, l’Italie, les Pays-Bas et la Suède demeurent tous au « Niveau 2 : Faire preuve de prudence accrue ».

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Le Département d’État avertit également de l’augmentation du risque de « terrorisme » dans tous ces pays. Dans le cas de la France et de l’Espagne, « les troubles civils » sont également considérés comme un motif de préoccupation pour les voyageurs américains.

« Le Salvador vient de recevoir l’étoile d’or des voyages du Département d’État des États-Unis : Niveau 1 : le plus sûr », a écrit Bukele.

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Amérique centrale

Le gouvernement argentin rejette la Déclaration de Tegucigalpa de la CELAC

Le gouvernement argentin a dénoncé, ce jeudi, une violation des procédures régissant la Communauté des États latino-américains et caribéens (CELAC), après avoir affirmé qu’une déclaration avait été émise lors du sommet de cet organisme au Honduras sans le consensus nécessaire.

« L’Argentine exige le respect du principe de consensus au sein de la CELAC et dénonce la violation des procédures », a indiqué le ministère des Affaires étrangères argentin dans un communiqué, soulignant en outre que l’Argentine « fait une déclaration formelle selon laquelle la dite ‘Déclaration de Tegucigalpa’ est invalide et ne peut être considérée comme un document officiel de la CELAC ».

La ‘Déclaration de Tegucigalpa’ a été émise mercredi à l’issue du IXe Sommet des Chefs d’État et de Gouvernement de la CELAC, qui s’est tenu au Honduras et auquel le président argentin, Javier Milei, n’a pas participé.

Dans un contexte de turbulences causées par les tarifs douaniers annoncés le 2 avril par le président des États-Unis, Donald Trump, la déclaration rejette « l’imposition de mesures coercitives unilatérales contraires au droit international, y compris celles qui restreignent le commerce international ».

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