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International

La nuit la plus violente dans la bande de Gaza en raison des bombardements israéliens

La nuit la plus violente dans la bande de Gaza en raison des bombardements israéliens
Photo: @madeleintlSUR

23 octobre |

Les forces armées israéliennes ont lancé une série d’attaques dans la bande de Gaza aux premières heures de la matinée de lundi, décrites par les médias de la région comme les plus violentes depuis le 7 octobre, date du début de l’opération Al Aqsa Flood de la résistance palestinienne.

Dans le quartier d’Al-Zaytoun, à l’est de la ville, quatre maisons ont été bombardées, faisant de nombreuses victimes. Le nord du territoire a également subi de violents barrages d’artillerie, de navires militaires et d’avions de chasse.

Le camp d’Al-Bureij, dans le centre de la bande de Gaza, a également été visé. Selon le correspondant d’Al-Mayadeen, l’aviation israélienne a pilonné des maisons habitées dans ce camp et dans le camp d’Al-Nuseirat.

Des actions très violentes ont également eu lieu au nord de Jabalia contre un camp de réfugiés dans la région d’Al-Ternis. Un grand nombre de blessés, dont des enfants, sont arrivés à l’hôpital Shouhada Al-Aqsa.

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Le directeur des médias de la Société du Croissant-Rouge palestinien a déclaré que l’armée menaçait de bombarder l’hôpital Al-Quds à tout moment, puis la zone environnante.

Une autre incursion a eu lieu dans le quartier de Sheikh Radwan, puis dans les environs du complexe médical Al-Shifa, où plusieurs personnes ont été tuées et beaucoup d’autres blessées.

Le ministère palestinien de la santé a annoncé que le nombre de morts s’élevait à 4 741 et celui des blessés à 15 898. Le bilan de la journée de dimanche dans la bande de Gaza comprend 57 martyrs à Rafah, 44 à Khan Younis, 168 dans la région centrale, 66 dans la ville de Gaza et 44 dans le nord.

Le ministère de la santé a déclaré qu’en l’absence de carburant dans les hôpitaux, 140 blessés et patients sous assistance respiratoire pourraient perdre la vie.

La bande de Gaza est en proie à une crise humanitaire : coupures d’électricité, épuisement du matériel médical et manque de médicaments obligent à pratiquer des opérations chirurgicales sans anesthésie.

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International

Le gouvernement colombien exhorte l’ELN à cesser la violence dans le Catatumbo

La délégation du gouvernement colombien engagée dans les négociations de paix avec l’Armée de libération nationale (ELN) a demandé ce vendredi à la guérilla de mettre fin aux violences dans la région du Catatumbo, où elle affronte depuis le 16 janvier le Front 33 des dissidences des FARC dans un conflit sanglant.

« La société colombienne exige de l’ELN qu’elle cesse son agression contre la population civile du Catatumbo », a déclaré la délégation qui mène les pourparlers de paix avec ce groupe armé.

Depuis le 16 janvier, les affrontements entre l’ELN et le Front 33 des dissidences des FARC, dans cette région frontalière du Venezuela, ont causé entre 60 et 80 morts, selon les estimations de la Défenseure du peuple et du gouverneur de Norte de Santander. Par ailleurs, le nombre de déplacés dépasse les 50 000 personnes.

Les autorités n’ont toutefois pu récupérer que 47 corps en raison des conditions difficiles dans les zones rurales les plus reculées, où l’accès reste encore impossible.

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International

Les États-Unis rétablissent des programmes d’aide pour les migrants en Amérique latine

La directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope, a salué la poursuite des programmes d’aide aux migrants retournés, grâce à l’engagement des États-Unis à reprendre les activités humanitaires essentielles après l’approbation de plusieurs exemptions, faisant suite à la décision initiale de geler l’aide extérieure américaine.

« L’OIM accueille favorablement l’engagement des États-Unis à reprendre des activités humanitaires vitales, offrant ainsi une stabilité face aux défis complexes des déplacements », a déclaré Pope dans un communiqué envoyé ce vendredi à l’agence EFE.

Elle a souligné qu’en raison de la demande croissante d’assistance au retour en Amérique latine et aux Caraïbes, l’OIM intensifie ses efforts pour aider les migrants à rentrer chez eux, se réintégrer et reconstruire leur vie.

Pope a également indiqué que l’OIM a réactivé ses programmes régionaux de Retour Volontaire Assisté (RVA) au Mexique, au Guatemala, au Honduras et au Panama, afin d’offrir un soutien urgent aux migrants vulnérables qui ne peuvent ou ne souhaitent pas rester là où ils sont et ont besoin d’une assistance pour retourner dans leur pays en toute sécurité et dignité.

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International

La Colombie propose de financer le rapatriement de ses citoyens expulsés des États-Unis

Le gouvernement colombien s’est proposé de prendre en charge les frais de transport aérien et maritime de ses citoyens expulsés des États-Unis afin de garantir leur retour dans des conditions dignes, a annoncé le ministère des Affaires étrangères ce vendredi.

« Nous avons proposé à Mauricio Claver-Carone, envoyé spécial du président Donald Trump pour l’Amérique latine, d’assumer immédiatement le transfert de tous les citoyens expulsés par les États-Unis », indique un communiqué de presse. « Toutes les options de transport, aérien et maritime, sont actuellement en cours d’évaluation », précise le document.

Les conditions du retour des Colombiens ont provoqué une tension diplomatique ce week-end. Le président Gustavo Petro a dénoncé de prétendus mauvais traitements infligés à ses compatriotes et a interdit l’entrée sur le territoire de deux avions militaires américains, qui devaient atterrir dimanche avec plusieurs dizaines de Colombiens à bord.

En réponse, Donald Trump a imposé des tarifs douaniers et menacé de révoquer les visas des fonctionnaires du premier gouvernement de gauche en Colombie.

Cependant, l’incident diplomatique s’est calmé en quelques heures, après que la Maison-Blanche a assuré que la Colombie avait accepté ses conditions, conduisant ainsi Washington à annuler ses mesures de rétorsion.

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