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International

La Cour constitutionnelle du Chili approuve le texte de la nouvelle constitution

La Cour constitutionnelle du Chili approuve le texte de la nouvelle constitution
Photo: EFE

31 octobre |

Le Conseil constitutionnel du Chili a approuvé lundi le texte de la nouvelle Magna Carta proposée, qui sera soumise à un plébiscite le 17 décembre, tandis que les secteurs de gauche dénoncent le fait qu’elle ne garantit pas les droits sociaux.

Avec 33 voix pour, 17 voix contre et aucune abstention, les travaux de l’organe de rédaction ont été achevés dans le cadre du deuxième processus constitutionnel en moins de quatre ans.

Le 7 novembre, le conseil élu en mai dernier remettra au président Gabriel Boric la proposition de remplacement de la Constitution de 1980, adoptée sous la dictature d’Augusto Pinochet.

Cependant, la gauche chilienne dénonce l’absence de garanties pour les droits sociaux tout en affirmant que le texte approuve constitutionnellement le système de santé privé, ainsi que le modèle de retraite par capitalisation individuelle.

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« Ils ont construit une constitution sans garantie des droits sociaux, avec un état de droit social et démocratique sur le papier (…) c’est une proposition constitutionnelle mesquine et mauvaise », a déclaré Fernando Viveros, militant du Parti communiste.

Dans le même temps, la conseillère de la Révolution démocratique (RD), Paloma Zúñiga, a déclaré que le document « va à l’encontre des droits des femmes », et a appelé à une lecture attentive des petits caractères.

Pour sa part, la présidente du Conseil constitutionnel, Beatriz Hevia, a souligné que le texte « a le potentiel de devenir un outil fondamental pour sortir le pays de la stagnation, de l’insécurité et de l’instabilité politique et sociale ».

En septembre 2022, le peuple chilien a rejeté à 62 % environ la proposition de la Convention constitutionnelle, qui consacrait le droit à l’éducation, à la santé, à l’eau, à un logement décent, au travail, entre autres.

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International

Le Brésil admet avoir espionné le Paraguay sous Bolsonaro

Brésil: le procès s'ouvre pour décider de l'avenir politique de Bolsonaro

Le gouvernement brésilien a reconnu lundi que son agence de renseignement avait espionné des autorités paraguayennes pendant la présidence de Jair Bolsonaro, prédécesseur de l’actuel président Luiz Inácio Lula da Silva. Ces activités ont cessé en mars 2023, soit trois mois après l’investiture de Lula.

Cette déclaration du ministère des Relations extérieures du Brésil est intervenue après la publication d’un rapport par le média UOL, accusant le gouvernement de Lula d’avoir mené des activités d’espionnage contre le Paraguay. L’agence de renseignement n’a pas précisé quels responsables paraguayens étaient concernés, mais a souligné que les opérations ont été immédiatement suspendues dès que l’administration actuelle en a eu connaissance.

« Le gouvernement de Lula rejette catégoriquement toute implication dans les opérations de renseignementrévélées aujourd’hui contre le Paraguay, un pays membre du Mercosur, avec lequel le Brésil entretient des relations historiques et un partenariat étroit », a déclaré le ministère des Relations extérieures du Brésil.

De son côté, le ministre paraguayen des Affaires étrangères, Rubén Ramírez Lezcano, a affirmé plus tôt dans la journée à la presse à Asunción ne disposer d’aucune preuve indiquant que le Brésil ait attaqué les systèmes paraguayens.

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International

Déploiement de véhicules blindés américains à la frontière mexicaine inquiète les migrants

Le récent déploiement de véhicules blindés ‘Stryker’ de l’armée américaine à la frontière avec le Mexique a suscité des inquiétudes et une vive préoccupation parmi la communauté migrante et les défenseurs des droits humains à Ciudad Juárez, dans l’État de Chihuahua, au nord du Mexique.

Alors que les autorités américaines affirment que cette mesure vise à renforcer la sécurité frontalière, des dirigeants locaux du côté mexicain estiment qu’elle envoie un message implicite d’intimidation, tant aux migrants qu’aux groupes criminels.

Le pasteur Juan Fierro García, directeur du refuge El Buen Samaritano, a exprimé à EFE son inquiétude quant à la présence militaire dans la région et son impact sur ceux qui tentent de traverser la frontière pour demander l’asile.

« Nous voyons cela comme un message subliminal destiné à semer la peur, pour dissuader les gens d’entrer aux États-Unis, et pas seulement les migrants, mais aussi les groupes criminels », a déclaré Fierro García.

Il a également remis en question la portée de cette surveillance : « Est-ce que cette présence militaire s’étend à toute la frontière nord des États-Unis avec le Mexique, ou seulement à certains endroits pour attirer l’attention ? »

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L’installation de ces véhicules à la frontière entre le Texas et le Mexique s’inscrit dans le cadre d’une opération conjointe entre le Département de la Défense des États-Unis et la Patrouille Frontalière.

Du côté américain, à quelques mètres de la ligne frontalière, Claudio Herrera Baeza, membre du secteur d’El Paso de la Patrouille Frontalière, a expliqué cette mesure aux médias mexicains. Il a souligné qu’ »il s’agit d’une démonstration de coopération entre différentes agences de sécurité », en précisant la collaboration entre le Département de la Défense des États-Unis et la Patrouille Frontalière.

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International

Trump annonce un « Jour de la Libération » avec de nouveaux tarifs douaniers

Le président Donald Trump a déclaré que mercredi serait le « Jour de la Libération », un moment où il prévoit de mettre en place une série de tarifs douaniers censés libérer les États-Unis des produits étrangers.

Les détails de cette nouvelle vague de taxes sur les importations restent flous. La plupart des analyses économiques indiquent que les ménages américains moyens devront absorber le coût de ces mesures sous forme de prix plus élevés et de revenus plus faibles. Cependant, Trump, imperturbable, invite des PDG à la Maison-Blanche pour annoncer qu’ils investissent des centaines de milliards de dollars dans de nouveaux projets afin d’éviter ces taxes.

Il est également possible que ces tarifs ne soient que temporaires si Trump estime qu’un accord peut être trouvé après leur mise en place.

« Je suis certainement ouvert à cette possibilité, si nous pouvons trouver un accord », a déclaré Trump aux journalistes. « Nous obtiendrons quelque chose en échange. »

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