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International

Le G7 condamne l’attaque d’Israël et avertit l’Iran de ne pas continuer à déstabiliser la région

Les pays du G7 ont « condamné vigoureusement » l’attaque iranienne contre Israël, à laquelle ils ont montré « leur plein soutien » et ont appelé à la modération « pour éviter une plus grande escalade » au Moyen-Orient, après la réunion de moins d’une heure qu’ils ont tenue samedi par vidéoconférence, présidée par la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, qui occupe la présidence de service.

Dans un communiqué, le gouvernement italien a expliqué que les dirigeants de l’Italie, de l’Allemagne, du Royaume-Uni, des États-Unis, du Japon, de l’Allemagne et du Canada, en plus de ceux de l’Union européenne (UE), « exhortent les parties à s’abstenir de toute action visant à accroître la tension dans la région ».

Le Moyen-Orient fait face à un moment de tension maximale après l’attaque d’Israël par l’Iran, qui a lancé hier soir plus de 300 drones, missiles et missiles balistiques dans ce qui est la première attaque de ce type depuis le sol iranien, en attendant de voir quelle sera la réponse israélienne possible.

Les présidents et premiers ministres des pays de l’Union européenne (UE) discuteront de la situation au Moyen-Orient lors du sommet des dirigeants prévu à Bruxelles le jeudi 18 avril prochain, a annoncé dimanche le président du Conseil européen, Charles Michel.

Les chefs d’État et de gouvernement des Vingt-sept discuteront de cette question après les attaques lancées hier soir par l’Iran contre Israël en réponse au bombardement de l’ambassade iranienne à Damas le 1er avril dernier.

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Pour l’instant, l’ordre du jour provisoire du sommet de jeudi prochain ne comprenait que deux points de la journée : discuter d’un nouvel accord européen pour la compétitivité et de la situation en Turquie et de ses relations avec l’UE.

Michel a annoncé l’inclusion de la crise au Moyen-Orient dans les discussions du sommet des dirigeants de l’UE par le biais d’un message sur le réseau social X juste à la fin de la réunion qu’il a tenue ce dimanche par vidéoconférence avec les autres dirigeants du G7 pour analyser les conséquences de l’attaque iranienne contre Israël.

Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a confirmé dimanche que des avions de l’armée de l’air britannique déployés au Moyen-Orient ont abattu « un nombre », qu’il n’a pas déterminé, de drones iraniens en réponse à l’attaque d’Israël de Téhéran samedi.

Dans une déclaration à la BBC, le leader conservateur, a déclaré que « grâce à l’effort international de collaboration, auquel le Royaume-Uni a participé, presque tous les missiles ont été interceptés, non seulement en Israël mais aussi dans les pays voisins, comme la Jordanie ».

Dans la déclaration depuis les portes de sa résidence et de son bureau officiel sur Downing Street, Sunak a rendu « hommage au courage et au professionnalisme » des pilotes de son pays, « qui ont volé devant le visage du danger pour protéger les civils ».

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Les ministres des Affaires étrangères de la Russie, Segueï Lavrov, et de l’Iran, Hosein Amir Abdolahian, ont mis en garde dimanche lors d’une conversation téléphonique contre une plus grande escalade au Moyen-Orient et « de nouvelles actions dangereuses de provocation » qui peuvent conduire à une augmentation des tensions dans la région.

Au cours de la conversation, les deux ministres ont noté qu’ »une plus grande escalade de la situation dans la région et de nouvelles actions de provocation dangereuses pourraient entraîner une augmentation de la tension au Moyen-Orient », a indiqué le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.

« La prévention d’un tel scénario et l’élimination de ses causes doivent faire l’objet d’une attention particulière et prioritaire de la part du Conseil de sécurité de l’ONU », ont déclaré les deux diplomates.

Abdolahian, ajoute-t-il, a informé son pair russe de « les mesures prises par Téhéran en réponse à l’attaque aérienne israélienne du 1er avril contre le département consulaire de l’ambassade iranienne à Damas ».

Il s’agit de la deuxième conversation téléphonique entre les ministres des Affaires étrangères de la Russie et de l’Iran au cours des dernières 24 heures.

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Le président du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, a exprimé dimanche la condamnation de l’Espagne à l’attaque et a appelé à la « responsabilité et au confinement » dans la réponse de tous les dirigeants internationaux, afin d’éviter « à tout prix une escalade » de la violence.

Sánchez a indiqué dans un message en X que « après une longue et angoissante nuit où l’ampleur de l’attaque perpétrée par l’Iran a été confirmée, le gouvernement espagnol le condamne, comme il l’a condamné et condamnera toujours toute forme de violence qui porte atteinte à la sécurité et au bien-être des civils innocents ».

Le président français Emmanuel Macron a également condamné « l’attaque sans précédent » lancée par l’Iran contre Israël et a assuré qu’elle « menace de déstabiliser la région ». Dans le même sens, le Premier ministre du Portugal, le conservateur Luis Montenegro, a condamné « véhémence » l’attaque et a demandé un « confinement » pour que le conflit ne s’intensifie pas.

Le nouveau Premier ministre irlandais, Simon Harris, a condamné « toutement » l’attaque et a exhorté les deux parties à éviter « toute escalade de l’action militaire ».

De son côté, les Émirats arabes unis (EAU) ont demandé aux parties au conflit au Moyen-Orient d’éviter les mesures qui pourraient « exacerber la tension ». Un communiqué du ministère des Affaires étrangères des Émirats a exhorté les parties à « exercer une modération maximale pour éviter les répercussions dangereuses », et à ce que la région « ne soit pas entraînée à de nouveaux niveaux d’instabilité ».

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Le Qatar, principal médiateur dans le conflit au Moyen-Orient, a également exprimé sa « profonde inquiétude » après l’attaque iranienne et a demandé aux parties une « modération maximale » pour freiner l’escalade dans le Moyen-Orient tumultueux.

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International

Deux prisonniers politiques nicaraguayens bénéficient de mesures de protection de la CIDH

La Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH) a accordé des mesures conservatoires en faveur de deux autres opposants nicaraguayens emprisonnés, critiques du gouvernement du Nicaragua dirigé par Daniel Ortega et son épouse Rosario Murillo, a annoncé ce jeudi la partie requérante.

Les bénéficiaires sont Carlos Alberto Vanegas Gómez et Efrén Antonio Vílchez López, qui font partie des 45 opposants et critiques du gouvernement sandiniste incarcérés au Nicaragua et considérés comme des prisonniers politiques par les organisations humanitaires. Dans sa résolution, la CIDH a expliqué qu’elle avait accordé des mesures conservatoires en faveur de Vanegas Gómez et Vílchez López après avoir constaté qu’ils se trouvaient dans une situation de gravité et d’urgence, car leurs droits à la vie et à l’intégrité personnelle sont exposés à un risque de dommage irréparable au Nicaragua.

La partie requérante, selon la CIDH, a indiqué que les personnes bénéficiaires sont privées de liberté dans des conditions insalubres et inhumaines, tant au Système pénitentiaire de Granada (au sud-ouest) qu’au Système pénitentiaire national « Jorge Navarro », en périphérie de Managua.

« Il a été allégué qu’ils ne recevaient pas les soins médicaux nécessaires pour leurs problèmes de santé, ni une alimentation adéquate. Des allégations de torture possible ont été présentées », a noté l’organisme, qui a estimé que les deux bénéficiaires se trouvaient dans une situation de risque.

Pour sa part, l’État du Nicaragua n’a fourni aucune information sur l’état actuel de ces personnes, ni transmis d’informations à la CIDH.

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En conséquence, en vertu de l’article 25 de son règlement, l’organisme a demandé à l’État du Nicaragua de prendre les mesures nécessaires pour protéger les droits à la vie, à l’intégrité personnelle et à la santé des bénéficiaires.

Il a également demandé que l’État prenne les mesures nécessaires pour s’assurer que les conditions de détention des bénéficiaires soient conformes aux normes internationales en la matière, en garantissant notamment qu’ils ne soient pas victimes de violence, de menaces, d’intimidations et d’agressions au sein de l’établissement pénitentiaire.

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International

La famille royale espagnole visite discrètement une ville dévastée par les inondations en Valence

Le roi d’Espagne, Felipe VI, la reine Letizia et leurs deux filles ont effectué une visite surprise dimanche dans une commune de la région de Valence (est) durement touchée par des inondations mortelles survenues le 29 octobre, a annoncé la Maison royale.

La visite de la famille royale, organisée deux jours avant Noël, « est de caractère privé », a précisé un porte-parole de la Maison royale à l’AFP, qui n’avait pas annoncé ce déplacement à l’avance.

Elle s’est déroulée à Catarroja, une ville de 30 000 habitants située au sud de la ville de Valence. Cette municipalité a enregistré 25 morts, selon les autorités.

Des vidéos publiées par des particuliers sur les réseaux sociaux montrent les habitants discutant et prenant des photos, souriants, avec le roi et la reine, ainsi qu’avec leurs deux filles, la princesse Leonor et l’infante Sofía.

Le couple royal avait effectué une première visite dans la région de Valence le 3 novembre, accompagné du président du gouvernement espagnol Pedro Sánchez et du président de la communauté valencienne Carlos Mazón.

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Cette visite avait été marquée par des huées et des jets de boue, ce qui avait contraint Sánchez, puis Mazón, à quitter les lieux. Le couple royal était resté, avec des vêtements tachés de boue, mais avait écourté sa visite.

Felipe VI et Letizia étaient revenus dans la région 15 jours plus tard, le 19 novembre, sans incidents.

Le 9 décembre, ils avaient également assisté à une messe à la cathédrale de Valence en mémoire des victimes.

La princesse Leonor et l’infante Sofía n’avaient pas encore visité les zones touchées par la tempête, considérée comme la plus grande catastrophe naturelle en Espagne depuis le début du XXIe siècle.

Selon les autorités, 231 personnes ont perdu la vie dans ces inondations, dont 223 dans la région de Valence. De plus, quatre personnes sont toujours portées disparues, près de deux mois après la catastrophe.

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La secrétaire à la Gouvernance du Mexique présente un plan pour héberger les migrants expulsés

La secrétaire à la Gouvernance du Mexique, Rosa Icela Rodríguez, a annoncé ce samedi la construction de 25 centres d’accueil dans la région frontalière avec les États-Unis afin de fournir un abri à la possible vague d’immigrants mexicains qui pourraient être expulsés par les autorités américaines.

Le plan mexicain prévoit la création de 25 installations ayant une capacité d’accueil de jusqu’à 2 500 personnes et s’inscrit dans l’initiative lancée par la présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum, visant à protéger les migrants.

Rodríguez a tenu une réunion ce samedi avec les gouverneurs des États frontaliers du Mexique : Samuel García, gouverneur de Nuevo León ; Marina del Pilar Ávila, gouverneure de Baja California ; Alfonso Durazo, gouverneur de Sonora ; Américo Villarreal, gouverneur de Tamaulipas ; et Manolo Jiménez, gouverneur de Coahuila.

Rodríguez a souligné que cette rencontre visait à faire le point sur les efforts de coordination en matière de gestion migratoire.

« Avec mes collègues gouverneurs de la frontière, nous priorisons un traitement humain et le bien-être des migrants qui traversent notre pays », a déclaré la responsable mexicaine.

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